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Je remercie Babelio et les Editions Albin Michel de m'avoir permis la lecture de ce roman de Stéphanie Janicot. Je découvre la couverture après lecture, j'ai eu la chance de lire les épreuves.
Elle ne rend pas hommage au récit ! Lucie Fersen, Cheffe d'Orchestre hors pair, chanteuse à la voix particulière est assassinée le soir de Noël, en pleine expression de son art. L'assassinat est millimétré à la seconde prêt. Évidemment, un soir de réveillon, les pointures que ce soit dans un journal ou à la PJ ne sont pas là. Mais ce concert est l'évènement de l'année à Paris, cela va permettre à Sibylle, journaliste, et son amie Anouk, flic, de mener l'enquête.
Lucie Fersen, jeune femme de presque 36 ans, a gardé la petite-fille de 5 ans qu'elle a été, prisonnière de sa vie d'adulte. Je m'attendais à une intrigue au coeur de l'orchestre philharmonique qu'elle dirige à la suite de son père. Mais Autour de Lucie gravite une cour d'afficionados, de courtisans, difficile de la cerner. Sybille, sortie de son quotidien de banlieue est intriguée par cette artiste et ses relations ambigües tant avec les femmes qu'avec les hommes de son entourage. La séduction serait-elle un moyen d'arriver à ses fins ? La journaliste ne peut s'empêcher d'être en empathie avec la jeune femme si entourée et seule à la fois.
Je me suis laissée embarquer par l'enquête qui devient vite secondaire et la découverte du parcours de Lucie, de ses amours, sa manipulation, sa volonté de maîtriser sa vie. Un point commun entre les personnages de Stéphanie Janicot, l'abandon et l'émotion. La fin de ce roman m'a surprise. Une sortie à ne pas manquer !
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Fallen Angel...
Comme l'ange qui tombe...
Comme l'ange déchu...
Comme l'ange déçu ?

Le soir du réveillon de Noël, Lucie Fersen dirige le Fersen Orchestra pour la répétition générale de sa deuxième symphonie quand soudain elle s'effondre, touchée par une balle en pleine poitrine.
A qui rapporte le crime ?

Je m'attendais à lire un simple roman policier traditionnel, avec ses potentiels coupables, ses embrouilles infinies et je me suis retrouvée à découvrir le quotidien d'une musicienne précoce et hors pair à travers le regard de ceux et celles qui l'ont côtoyée.
Et c'était passionnant !
La vie et les relations de Lucie Fersen étaient si intenses, si étranges et parfois si irréalistes que je m'y suis plongée corps et âme oubliant que j'étais à la recherche de l'auteur d'une fusillade. J'ai laissé de côté l'intrigue pour me focaliser sur la psychologie des proches de Lucie, leurs liens de sang ou musicaux, leurs amours naissantes ou finissantes...
Ce livre est une somme de mini biographies et d'histoires de vie aussi passionnantes les unes que les autres.
Je découvre avec ce roman l'univers littéraire de Stéphanie Janicot. Et je suis sous le charme.

Merci à Masse Critique, aux Editions Albin Michel et à Babelio pour cette splendide découverte et pour cette partition musicale et littéraire qui m'a enchantée.
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Pour commencer, j'adresse un grand merci aux Éditions Albin Michel et à Babelio pour m'avoir fait découvrir ce livre avant sa sortie officielle et cet auteur grâce à l'opération Masse Critique. Je découvrirai ainsi d'autres livres écrit par elle avec plaisir et curiosité.

Alors, pour être tout à fait honnête, je n'aurais jamais dû embrayer la lecture de ce livre directement derrière « Rêver » de Thilliez. Il ne supporte en effet pas la comparaison hélas, puisqu'ils concourent dans la même catégorie : le thriller. Je vais néanmoins essayé de rester objective.

L'histoire démarre directement sur les derniers détails qui précèdent le meurtre de la très célèbre chef d'orchestre de musique contemporaine, ancienne star de rock, Lucie Fersen lors de la générale de presse de son concert à la Philharmonie à Paris, le soir de Noël.

Sybille quant à elle, y assiste justement en tant que journaliste. Habituellement déléguée à écrire des articles sur la banlieue (sous le prétexte qu'elle est « jeune »), elle est « réquisitionnée » le soir de noël pour faire « un papier » sur le concert de l'année. En fait de concert, sa quête va bientôt tourner à « l'enquête » au ton très « polardisé ».

En effet, elle sera aux premières loges lorsque Lucie sera abattue en plein milieu d'un morceau de sa composition, la « Deuxième Symphonie de l'Apocalypse », pile lorsque les cymbales se déchaineront. Mais Lucie ne meurt pas sur le coup… Ce qui entrainera alors la désorganisation du tueur.

On découvre aussi peu à peu, au travers des auditions qu'effectuera la police de différents témoins dont Sybille se fera la traductrice (eh oui, ils sont américains !), la vie de Lucie, qui elle était ; petite fille introvertie qui a échappée à un terrible accident de voiture à cinq ans qui a couté la vie à se mère, presque asociale, pour qui le chemin semblait tout tracé avec un papa très caractériel, chef de son propre orchestre, le Fersen Orchestra. Cependant, petit prodige, elle fera sa « crise d'adolescence » à dis ans et se lancera dans le rock à treize pour finir par raccrocher et finalement rentrer « dans le rang » sept ans plus tard. On s'attache peu à peu à cette personnalité complètement hors du commun; une écorchée vive qui est bouleversante finalement malgré ses abords abruptes, sans concessions et qui semble être un parangon d'égoïsme.

On a donc deux points de vue qui s'alternent, celui du tireur et celui de la journaliste. Pas de temps mort, tout s'enchaîne parfaitement, c'est fluide. L'enquête est menée tambour-battant par Sybille, aidée dans ses recherches par sa meilleure amie Anouk, qui travaille dans la police – et qui a été réquisitionnée tout comme elle, le soir de noël – et de Benjamin, un ami avocat.

De son côté, Sybille la petite trentaine comme ses deux amis a tendance à ne pas vouloir "grandir" et peine à trouver sa place dans le monde trépidant d'aujourd'hui. Avec leurs questionnements sur leur devenir, ils sont très touchant aussi.

Le ton est léger, il y de l'humour, l'histoire coule bien mais le monde semble un peu trop s'ouvrir facilement devant cette « jeune » journaliste justement. Elle obtient des interviews et des renseignements confidentiels sur l'affaire, un peu trop les « doigts dans le nez » à mon goût, mais bon ça se lit bien, on rentre vite dans l'histoire, c'est plaisant. Certaines descriptions, notamment sur l'analyse technique de la musique sont à mon sens, très fournies avec un vocabulaire très fouillé et précis, pour moi qui suit complètement néophyte sur la question. J'ai donc eu l'impression d'apprendre des choses, ce qui flatte ma curiosité, c'est un bon point.

Alors ici, pas de tortures psychologiques, pas de flashbacks sauvages et déstabilisants, pas de jeu de cache-cache pervers, un style direct, clair sans être simpliste et percutant. Cependant, les phrases parfois construites bizarrement me font un peu tiquer et ont gêné un peu ma lecture, mais ce n'est pas capital.

Pas le thriller de l'année donc, loin s'en faut, mais très intéressant tout de même. J'ai eu l'impression que l'écrivain voulait toucher plutôt un public d'ados. Mais ce n'est qu'un simple avis, parmi tant d'autres…
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Merci à la masse critique Babelio et la Maison d'édition Albin Michel de m'avoir envoyé cette épreuve non corrigé de ce roman qui sort le 1er mars.
Alors tout d'abord je voulais juste faire une remarque visuelle. Après avoir fini le roman qui m'a plus dans l'ensemble, je trouve que la couverture ne lui fait pas honneur du tout. Je la trouve kitch et loin d'être à l'image de ce polar bouleversant. Je n'ai pas mis cette note mitigée à cause de la couverture non c'est pour mon ressenti général.
Sybille journaliste parisienne doit assister à un grand concert philarmonique de Lucy grande prodige mais un meurtre est commis devant tous les spectateurs. Elle se retrouve à enquêter avec sa meilleure amie Anouk policière.
Dans son roman Stéphanie Janicot auteure que je ne connaissais pas du tout traite deux trames : um polar mais aussi le star système (la pression permanente d'être la meilleure). Elle nous raconte la vie d'une prodige de la musique qui commence dès l'âge de 5 ans. A 36 ans elle est assassinée sur scène et Sybille voudra des réponses et le lecteur d'ailleurs aussi.
Dès le départ le ton est donné Lucie est morte et on va apprendre à la connaitre grâce aux recherches de Sybille. Et franchement c'est la partie que j'ai adoré. L'empathie que Sybille éprouve pour cette femme et qui la pousse à aller plus loin dans l'enquête. Et c'est là que je bloque un peu j'aurais aimé que ce soit un peu plus poussé. Je suis restée sur ma faim alors que je commençais à rentrer entièrement dans le roman.
La partie polar aussi m'a laissé perplexe trop rapide alors que l'auteure aurait pu facilement jouer avec nos nerfs. Et même aussi pousser le caractère bien complexe de Sybille et sa relation avec Anouck. Mais je tiens à dire que Stéphanie Janicot m'a quand même surprise même si je commençais à douter du meurtrier (mais plutôt vers la fin ce qui est une bonne chose). Ce reste un bon roman dans l'ensemble j'aime pinailler parfois quand je reste sur ma faim et que je cherche le pourquoi du comment.
Pour conclure juste un manque de profondeur sur ce roman. Dommage car j'ai dévoré en une journée. Merci quand même à la maison d'Edition qui nous permette de connaitre des auteurs et s'ouvrir à autre chose.
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Un grand merci à Babelio et aux éditions Albin Michel pour cette masse critique et ce livre.

Sibylle est une jeune journaliste. Elle est envoyée assister à un concert. Lucie Fersen, un génie, sera le chef d'orchestre. Comparée à un Mozart, elle a révolutionné la musique. Et son orchestre se produit enfin en Europe. La France clôture le bal. Définitivement ? En plein concert Lucie s'effondre, touchée par une balle.

Nous aurions pu avoir une histoire policière toute simple, un meurtre, des enquêteurs qui mènent l'enquête. Non, Sibylle, fouille dans le passé de la victime. Elle assiste aux interrogatoires avec l'aide d'Anouk et d'un subterfuge. Lucie n'est pas juste une victime, elle est une personne. Une petite fille grandiose qui a grandi dans un contexte difficile.

Au fil de l'histoire nous devenons intimes avec cette femme, sans jamais la croiser. Elle apparait seulement quelques secondes, de dos. Et pourtant elle est là, partout dans le livre.

Un livre plus profond qu'il n'y parait, constitué de plusieurs couches. A vous de le mettre à nu.

Envie d'une critique plus longue ? Suivez le lien.
Lien : http://blondes-and-litterair..
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Bonne lecture
Une cheffe d'orchestre est tuée en plein concert et nous suivons l'enquête menée par une policière une journaliste et un de leur ami
Un trio sympa
Le livre est surtout basé sur le personnage de la victime
On décortique sa vie et sa personnalité qui n'est pas simple
L'enquête passe en seconde position
Malheureusement lisant beaucoup de polars j'avais deviné la fin mais cela n'a pas gâché ma lecture
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Sibylle est une jeune femme trentenaire ou presque qui travaille comme journaliste. Elle n'a pas encore sa place d'adulte dans ce monde car chouchoutée par ses parents, pistonnée par un ami de ses parents pour ce travail, elle vit encore en marge d'une certaine société. Son appartement ressemble à une chambre d'adolescente, elle n'est pas certaine de son orientation sexuelle, elle se nourrit de fast food et de pizza en compagnie de Benjamin et Anouk ses amis.

Elle doit assurer la permanence au journal en cette fin d'année et a l'obligation, le soir du réveillon, d'aller écouter le Fersen Orchestra et écrire un article.

Rien ne va se passer comme prévu, lucie Fersen étant abattue en plein spectacle. C'est une amie d'enfance Anouk, jeune commissaire de police qui est chargée de l'enquête. Elle se trouve un peu dans la même situation que Sibylle, elle assure la permanence de fin d'année.

Elles décident de travailler en collaboration, échangeant leurs informations. L'enquête démarre. Elles vont fouiller le passé de Lucie Fersen et découvrir que malgré son talent, son argent, son niveau de vie, c'était une enfant malheureuse.

En parallèle, on a le ressenti et le parcours du tueur.

Je suis vite rentrée dans l'enquête qui ne laisse aucun temps mort, elle est passionnante.



Un grand merci aux Éditions Albin Michel et à Babelio pour cette découverte.


Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Un bon polar! Des personnages qui partent dans tous les sens avec une victime très présente et très bien décrite malgré son absence physique ! Je ne connaissais pas l'auteur que j'ai pu découvrir grâce à Babelio !
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Ce roman est une belle découverte et une bonne surprise. J'ai découvert une autre façon de percevoir une "enquête". La construction de ce roman est assez originale, on a bien une commissaire, mais nous allons pas suivre son enquête par rapport à ce personnage et c'est là que ce roman qui peut paraître totalement basique au premier abord va prendre un nouveau tournant dans le monde littéraire.

C'est sous le regard et la nature curieuse de Sybille, jeune journaliste, que tout le roman va tourner. L'auteure a choisi volontairement d'occulter la part enquête à proprement parler. Sybille va jouer son rôle de journaliste et avoir accès aux interrogatoires de la police grâce à son amie commissaire. C'est donc à travers de témoignages et d'interrogatoires que nous allons parcourir la vie de Lucie Fersen dit Lucifer.

J'ai beaucoup apprécié cette façon d'aborder le roman, ça change de l'enquête classique que nous voyons souvent dans les romans policier. Il y a eu une part beaucoup plus humaine à travers les interrogatoires, j'ai pu imaginer Lucie, sa vie, son enfance, sa souffrance, sa gloire, sa chute... Un roman très bien mené du début à la fin, car il n'a pas duré très longtemps, je l'ai dévoré en une petite journée.

Une victime atypique et énigmatique... un ange, une virtuose, une force de vie mais alors pourquoi ? .... tout le long du roman, on se demande bien pourquoi et qui... on pense toucher du bout des doigts la solution et puis il y a ce retournement de situation final que je n'ai pas vu venir. On découvre une facette cachée de Lucie, qui l'a rendue tellement humaine.

Il y a peut être un point négatif dans ce roman, c'est la facilité de Sybille a obtenir les interrogatoires de la part de son amie commissaire, ça rend la chose un peu moindre crédible et trop facile. Un commissaire qui donne des éléments d'enquête sous une couverture si légère, m'a quelque peu gênée.

Je trouve dommage que la couverture ne soit pas plus attirante. Je pense que je ne serais pas aller vers ce roman si on ne m'avait pas proposé de le lire. La quatrième de couverture pour une fois ne dévoile rien de ce qu'on va trouver dans cette histoire. le résumé est assez banal, mais il a attiré un peu ma curiosité et je suis ravie d'avoir accepté cette lecture.

Je vous conseille malgré tout ce roman qui sort des romans policier classiques. Je dirais presque que ce n'est pas un roman policier, mais plus un roman noir classique.
Lien : http://les-mots-de-gaiange.o..
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Ce roman policier est bien mené et prenant. J'ai vraiment passé un bon moment !

Journaliste de permanence pendant les fêtes de fin d'année, Sibylle se rend à reculons aux dernières répétitions du Fersen Orchestra avant que soient donnés les derniers concerts de leur tournée, se clôturant à Paris. La jeune femme est fascinée par la synesthésie musique/couleur mise en place par Lucie Fersen, fille du fondateur de l'orchestre et musicienne virtuose qui dirige désormais le Fersen Orchestra. Mais lors du final cette dernière est atteinte par une balle qui l'atteint au poumon et au coeur, sous les yeux ahuris du public. Tandis qu'elle est emmenée entre la vie et la mort à l'hôpital, Anouk, commissaire de son état et meilleure amie de Sibylle, est chargée de l'enquête. Les deux jeunes femmes vont alors passer un accord pour que la journaliste puisse avoir accès aux interrogatoires des proches de la victime et autres suspects. Une série d'interrogations vont se succéder dans leurs esprits, car Lucie Fersen semble avoir une personnalité controversée et un tas d'ennemis.

Ce roman est une agréable découverte ! Je ne connaissais pas encore la plume de Stéphanie Janicot, qui compte de nombreux romans à son actif, et elle s'est révélée vraiment plaisante. Outre le contexte idéalement choisi de la société mondaine - la vie privée d'une célébrité, ancienne enfant-star de surcroît, recèle autant de mystères que de faits connus du grand public, ou que celui-ci pense connaître... -, j'ai aimé que l'auteure nous en apprennent plus sur les personnages et potentiels suspects tout au long du roman, principalement grâce aux interrogatoires menés par la police que l'on découvre en même temps que Sibylle. Ces "interviews", comme les appelle cette dernière, sont la matière principale du récit et c'est par leur biais que nous découvrons petit à petit l'histoire de Lucie Fersen et de son entourage. Celle-ci a un caractère fort et son histoire est aussi touchante que déroutante; bien que l'on ne la croise pas réellement en personne dans le roman, on apprend à la connaître par la voix des autres et sa personnalité profonde n'en est que plus délicate à deviner: entre rumeurs et faits véritables, on ne sait jamais vraiment à qui se fier. Néanmoins je me suis sentie proche de ce personnage, son génie musical, sa volonté de réussite et ses ambitions diverses, sont palpables.
L'idée d'ajouter au point de vue de Sibylle celui du tireur en début et fin de roman est intéressante et apporte aussi son lot de questionnements.
Mais puisque nous parlons d'un roman policier, une question se pose: est-il aisé pour le lecteur de se faire une idée du malfaiteur ? Réponse: eh bien, si vous prenez le temps de bien analyser ce que vous lisez, oui, vous pouvez deviner la trame de l'intrigue. L'auteure nous sert sur un plateau tout ce que découvre le duo principal: Sibylle/Anouk. Nous évoluons donc à leur rythme, assistons à leurs déductions, et pouvons dès lors nous faire nos propres idées, en même temps qu'elles. Ceci dit, cela ne veut pas dire que c'est prévisible, au contraire, la supposition est toujours de mise dans ce récit, rien n'est jamais sûr, alors il est possible de douter jusqu'au dénouement tandis que les pistes sont nombreuses. En grande amatrice de séries télévisées policières, j'ai pris un vrai plaisir à prendre part à cette intrigue et, en milieu de roman environ, une certaine logique s'est imposée à moi. Parviendrez-vous à faire de même ?

"Fallen Angel" fut une très bonne découverte ! C'est un roman que je conseille absolument à tous types de lecteurs, il n'est pas besoin d'avoir une préférence pour le genre policier pour apprécier ce récit. On s'attache vite aux personnages et la plume de l'auteure est très agréable !
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