Jennifer St. Giles
Julie Guinard (Traducteur)/5 12 notes
San Francisco, 1873. Pour échapper à son destin de blanchisseuse, Ann Lovell réussit à se faire engager comme préceptrice chez Benedict Trevelyan qui a perdu son épouse dans des circonstances fort mystérieuses. Suicide ou meurtre ? Quoi qu'il en soit, elle est morte défenestrée et laisse deux petits orphelins qu'Ann aura du mal à apprivoiser. C'est pourtant leur père, le sombre maître de Trevelyan ... >Voir plus
Julie Guinard (Traducteur)/5 12 notes
Résumé :
San Francisco, 1873. Pour échapper à son destin de blanchisseuse, Ann Lovell réussit à se faire engager comme préceptrice chez Benedict Trevelyan qui a perdu son épouse dans des circonstances fort mystérieuses. Suicide ou meurtre ? Quoi qu'il en soit, elle est morte défenestrée et laisse deux petits orphelins qu'Ann aura du mal à apprivoiser. C'est pourtant leur père, le sombre maître de Trevelyan ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2)
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Ça faisait un moment qu'il prenait la poussière dans ma PAL. Je me suis enfin décidée à y jeter un oeil, et la question que je me pose est : pourquoi j'ai attendu tout ce temps ?????
On fait la connaissance d'Ann Lovell, Titiana de son vrai prénom, jeune femme pauvre qui vient tout juste de perdre sa mère. Un jour, Ann voit une annonce de précepteur pour les enfants du maitre de de Trevelyan Hill. Ayant toujours était attirée par la maison de Trevelyan Hill et même si elle n'a pas la qualification requise, Ann n'hésite pas à aller se présenter auprès de Benedict le maitre de maison...
Benedict est un homme sombre, mystérieux et terriblement troublant. Sa femme s'est suicidée le laissant seul avec deux enfants, et une famille brisée. Ayant était profondément marqués par le décès de leur mère, Robert et Justin sont deux petit garçon traumatisés qui ne demandent qu'à être aimés. Tout comme leur père. Et grâce a Ann tout devient possible...
Ce qui aurait dû être un simple emploi pour Ann est tellement plus ici ! Ann arrive dans une maison emplie de mystère et de désespoir. Tout doucement elle va se faire sa place parmi cette famille et ramener un peu de douceur et de joie dans le coeur de ses habitants. Entre les conflits, les rancoeurs, et la douleur, on ne s'ennuie pas une seule seconde...
J'ai plus qu'adorer Benedict ! Il est sombre, mystérieux et au fond de lui briser. Accusé du meurtre de sa femme, trahi par son propre frère, il a eu plus que son lot de galère le pauvre ! Et grâce à Ann il se pourrait bien qu'il connaisse enfin ce qu'est le bonheur...
Quand à Ann, c'est une héroïne parfaite ! Elle est spontanée, désarmante et pleine de joie de vivre. Elle apporte la douceur partout où elle passe et cette maison en a bien besoin...
L'attirance entre eux est présente dès le début. On sent qu'un lien se créait et se solidifie au fil du temps. J'ai adoré que leur relation mette du temps a vraiment s'installer. On guette avec impatience le moment où ils vont se retrouver ensemble et enfin faire un geste et lâcher prise...
A côté de leur histoire, on a une intrigue bien menée pour découvrir l'identité de l'assassin de Francesca. Qui a pu commettre ce meurtre ? Benedict ? Ou un membre de sa famille ? Mais aussi et surtout qui surveille et menace Ann depuis son arrivée? On se pose autant de question qu'Ann et tout comme elle on ne saura la vérité qu'à la fin...
En résumé, une magnifique histoire qui ne mérite pas de prendre la poussière dans votre PAL ;)
Lien : http://lilitthbook.canalblog..
On fait la connaissance d'Ann Lovell, Titiana de son vrai prénom, jeune femme pauvre qui vient tout juste de perdre sa mère. Un jour, Ann voit une annonce de précepteur pour les enfants du maitre de de Trevelyan Hill. Ayant toujours était attirée par la maison de Trevelyan Hill et même si elle n'a pas la qualification requise, Ann n'hésite pas à aller se présenter auprès de Benedict le maitre de maison...
Benedict est un homme sombre, mystérieux et terriblement troublant. Sa femme s'est suicidée le laissant seul avec deux enfants, et une famille brisée. Ayant était profondément marqués par le décès de leur mère, Robert et Justin sont deux petit garçon traumatisés qui ne demandent qu'à être aimés. Tout comme leur père. Et grâce a Ann tout devient possible...
Ce qui aurait dû être un simple emploi pour Ann est tellement plus ici ! Ann arrive dans une maison emplie de mystère et de désespoir. Tout doucement elle va se faire sa place parmi cette famille et ramener un peu de douceur et de joie dans le coeur de ses habitants. Entre les conflits, les rancoeurs, et la douleur, on ne s'ennuie pas une seule seconde...
J'ai plus qu'adorer Benedict ! Il est sombre, mystérieux et au fond de lui briser. Accusé du meurtre de sa femme, trahi par son propre frère, il a eu plus que son lot de galère le pauvre ! Et grâce à Ann il se pourrait bien qu'il connaisse enfin ce qu'est le bonheur...
Quand à Ann, c'est une héroïne parfaite ! Elle est spontanée, désarmante et pleine de joie de vivre. Elle apporte la douceur partout où elle passe et cette maison en a bien besoin...
L'attirance entre eux est présente dès le début. On sent qu'un lien se créait et se solidifie au fil du temps. J'ai adoré que leur relation mette du temps a vraiment s'installer. On guette avec impatience le moment où ils vont se retrouver ensemble et enfin faire un geste et lâcher prise...
A côté de leur histoire, on a une intrigue bien menée pour découvrir l'identité de l'assassin de Francesca. Qui a pu commettre ce meurtre ? Benedict ? Ou un membre de sa famille ? Mais aussi et surtout qui surveille et menace Ann depuis son arrivée? On se pose autant de question qu'Ann et tout comme elle on ne saura la vérité qu'à la fin...
En résumé, une magnifique histoire qui ne mérite pas de prendre la poussière dans votre PAL ;)
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Citations et extraits (40)
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En vérité, jamais un homme ne m’avait regardée en réfléchissant à autre chose qu’à une façon de tirer profit de moi. Je n’étais pas une femme qui inspirait les passions, et j’acceptais ce destin. C’est pourquoi j’avais toujours travaillé, éconduisant les quelques propositions mitigées d’hommes intéressés par un corps chaud.
L’idée qu’un homme tel que Benedict Trevelyan pût, même brièvement, me trouver désirable, me fascinait. Peut-être le fait d’être prénommée Titania, telle la reine des fées, exerçait-il une influence sur moi, finalement, car je n’avais aucune intention de me sauver comme les belles dames fuyant les démons ailés sur la porte d’entrée de la maison. Au contraire, j’étais immensément curieuse, et aussi désireuse d’étudier cette attirance pour un homme que je l’aurais été d’ouvrir un livre de sciences. Une reine des fées n’allait tout de même pas s’enfuir.Par la porte ouverte, le bureau de Benedict Trevelyan était aussi lugubre que précédemment. Si je devais choisir mon lieu de prédilection à Trevelyan Manor, ce serait le hall, où la myriade de rais colorés créés par les vitraux diapraient les ombres de leur chatoyante beauté.
Son corps entier m’enveloppa tandis que sa bouche s’appuyait contre la mienne. Puis, chaude et choquante, sa langue fit irruption dans ma bouche et il me serra fort dans ses bras. Mes seins s’écrasèrent contre sa poitrine, sa cuisse se colla entre mes jambes, et un brasier liquide fit éruption en moi. Je gémis.Son corps était dur sous le mien, de velours et de fer, comme je m’y étais attendue. Ses mains fermes dans mon dos et son sexe rigide pressé contre ma hanche ne laissaient aucun doute quant à son désir.Au moment où j’allais défaillir, il écarta enfin ses lèvres.— Dieu du ciel… haletai-je.Nous respirions tous deux bruyamment. J’avais l’impression qu’un univers dont j’avais seulement entendu parler venait de m’être révélé.
Il y a environ quarante ans, au Texas, près de la rivière Navasota, vivaient plusieurs familles. Les Parker étaient l’une de ces familles. Pendant de nombreuses années, les hommes blancs se sont battus contre les Indiens, et pendant de nombreuses années, ces derniers ont été en colère contre nous parce qu’ils habitaient ici les premiers. C’était leur terre, leur pays, et maintenant nous l’appelons le nôtre. Au Texas, les guerriers comanches et kiowas étaient très mécontents de cela. Ils ont attaqué le village où habitaient les Parker. Cynthia avait neuf ans, et son frère six ans. Les Indiens ont fait des choses horribles à la famille de Cynthia, ils les ont presque tous tués, et ils les ont enlevés, son frère et elle.
Ce n’était pas la frayeur qui m’empêchait de dormir. C’était le baiser de Benedict, et les sensations qu’il continuait à faire vibrer dans mon corps. Ma douleur était presque insoutenable. Que faire de mes sentiments de plus en plus intenses envers lui ? Car indubitablement, le fossé nous séparant était trop profond.
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