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3,69

sur 1252 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Lui, un grand costaud issu de la campagne, est doté d'une présence physique un peu brute. Il est veuf (sa femme est morte d'un cancer), aime sa famille, paysanne et simple, et la nature qu'il a quittées pour travailler dans une société de recouvrement à Paris. Une ville dont il abhorre la proximité forcée avec les autres.

Elle, une bourgeoise parisienne, a de moins en moins de temps à consacrer à sa famille recomposée. En conflit avec son associé et de plus en plus déphasée avec son mari américain, elle est à une période charnière de sa vie et mal dans sa peau.

Ils habitent au même endroit, elle, l'immeuble rénové côté rue, lui, la partie délabrée côté cour. Seul point de contact entre ces deux mondes qui ne se mélangent pas, la cour arborée, malheureusement occupée par deux corneilles dont elle a une trouille bleue.

Devinez ce qu'il advint du bon sauvage et de citadine fragilisée ? Vous ne voyez pas ? L'amour bien sûr - après qu'il a dégommé les deux oiseaux de malheur pour lui faire plaisir, elle a envie de se reposer sur lui, le rude (mais tendre) paysan, à moins que ce soit le contraire.

Dans cette histoire entre deux êtres que tout sépare (qui n'est pas sans rappeler celle de La tombe du mec d'à côté) qui vont connaitre un amour rédempteur, Serge Joncour oppose la supposée solidarité campagnarde au prétendu égoïsme citadin. La démonstration, à mon sens, non dénuée d'un bon nombre de clichés et un brin caricaturale, manque un peu de finesse. Jouer sur les contrastes entre ville et campagne et dire que quand rien ne va, l'amour peut tout sauver, il fallait y penser et l'écrire. Serge Joncour l'a fait dans ce roman qui, s'il ne casse pas trois pattes à une corneille, est bien sympathoche quand même.
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Pas franchement mauvais, de bonnes choses même, et une lecture facile, fluide, mais un de ces livres où l'on se dit qu'il y a facilement 150 pages en trop, ou l'on a le sentiment que l'auteur dit deux fois les choses pour faire de la ligne. Et à la fin on se dit : Tout ça pour ça ?
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Repose toi sur moi marque ma première rencontre avec Serge Joncour, pas désagréable mais pas extraordinaire non plus. L'histoire d'amour est plutôt banale, deux êtres que tout oppose vont se rencontrer et s'aimer, chacun avec ses blessures et ses tourments. La toile de fonds : un immeuble parisien. Ludovic vient de la campagne, un monde qu'il a fui pour tenter d'oublier sa femme décédée, il fait du recouvrement de dettes. Aurore est citadine, mariée, deux enfants, styliste dans sa propre boîte qui est très endettée.

La force de Serge Joncour est de maintenir notre intérêt durant 426 pages, son écriture est fluide et sensible, il sait créer une atmosphère douce et réconfortante qui nous enveloppe. Les autres critiques m'insitent à découvrir d'autres romans de cet auteur, je vais tenter !
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Attention aux lecteurs sensibles et fans de Serge Joncour ( ils sont très nombreux), je vais dire un peu de mal d'un livre écrit pour faire du bien. "Repose-toi sur moi" se range dans cette catégorie vedette des romans plein de sensibilité où une histoire d'amour va nous être narrée façon impressionniste, en l'enveloppant d'une multitude de touches de notre quotidien, souvent finement observé. Dans ce genre on trouve, entre autres, Anna Gavalda, Jean-Paul Didierlaurent ou Agnès Ledig qui reste la dernière qui m'ait fait craquer avec "Juste avant le bonheur" ( peut être a-t-elle eu la chance de bénéficier d'un moment particulièrement réceptif de ma part).
Pour l'ouvrage qui nous occupe, il faut que je sois objectif. L'écriture est fluide, coule bien, c'est très agréable à lire. On peut sourire, se régaler d'un détail, d'une scène, se vautrer même avec délice dans un passage bien vu et bien fichu. Tout se tient presque parfaitement sauf que, hélas pour moi, les clichés habituels du genre se ramassent ici par bennes entières.
Ca commence comme une intrigue Harlequin. Ils se rencontrent et dès le premier regard, ils se détestent. Ok, on a compris, dans 400 pages ils seront ensemble. La seule originalité ( si c'en est vraiment une ) est que c'est elle qui est riche et lui le pauvre. En gros, une styliste de mode tombe raide dingue ( pas tout de suite, mais ça arrive vite quand même) d'un mec qui doit recouvrer des dettes chez des particuliers. Grosso modo, c'est comme si Inès de la Fressange se pâmait devant moi. Je ne serai pas contre, mais bon, je ne vis pas dans un roman de Mr Joncour. D'ailleurs, à ce propos, les problèmes d'entreprise de l'héroïne, Aurore Dessage, ressemblent beaucoup à ceux qu'a connu l'ex égérie de Karl Lagerfeld. Donc Aurore est riche, mais malheureuse et bien faible tout de même, l'éternel féminin quoi ! Comme il ne faut pas sortir des rails du genre, le mec lui est une armoire à glace, froide en dehors mais avec coeur gros comme ça et un lourd passé émotionnel! Vous pensez bien qu'un gringalet, même teigneux, n'avait aucune chance de pouvoir partager la couche de la dame. Donc petit à petit, ils vont s'apprivoiser, s'aimer, se poser des questions et se trouver embringués dans une histoire économico-industrielle qui vire au polar (et qui reste la partie la moins convaincante de l'ensemble). Passeront avec eux des thèmes aussi variés que les pesticides, l'opposition ville/campagne, la réussite véritable tue l'amour, la pauvreté dans les banlieues, le surendettement, la solitude des personnes âgées, l'allergie au gluten ...heu non,... pas ça quand même, il faut rester dans les bons sentiments s'il te plaît. Avec tout cet attelage, le roman chante la complainte douce et empathique d'un monde difficile qui heureusement peut encore permettre à un amour sublime de naître. Les héros traverseront des épreuves, des moments de doute, feront l'amour sauvagement ou langoureusement et.... Je ne raconte pas la fin, vous serez peut être surpris... Partiront-ils ensemble main dans la main chez Monop acheter des légumes bios?
La fin sur le blog
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Rencontre de la carpe et du lapin.

Piégés dans leur vie stressante, dans un métier sans satisfactions et une vie personnelle exsangue, ils se rencontrent dans la cour de leur immeuble sous le croassement frénétique de corneilles de malheur. Lui, cultivateur raté subissant sa vie de citadin et son métier de recouvreur de dettes, Elle, styliste indépendante, en vie de famille bourgeoise routinière, submergée par les soucis professionnels.
La parisienne et le pèquenaud...

Histoire d'amour et de tendresse sur fond de sauvagerie contemporaine ( les scènes du métier de Ludovic sur le terrain sont chargées d'émotion brute ) ...
Serge Joncour s'y entend bien à la construction de personnages. Avec son écriture fluide, il creuse, il décrit, il met en perspective, il malaxe de l'humain sur le point de craquer dans une atmosphère de solitude et de rejet et dans un contexte social rude. Créant deux amoureux improbables, assez touchants, il pétrit l'humanité des êtres, leur fragilité, leur courage, leur haine, leur ténacité.

Je crains souvent les livres dont on attend beaucoup. En cette rentrée littéraire, celui ci est de tous les papiers presse, sélectionné sur bien des listes de prix littéraires. Globalement, le plaisir de lecture est au rendez vous, si je mets de côté un manque de crédibilité dans les faits et la sensation que l'auteur tournait en boucle pour finir son histoire.

Quelques pages de trop et une étoile de moins.
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Un roman qui ébauche une histoire d'amour dans un Paris hostile. J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, une centaine de pages environ avant qu'ils se rencontrent vraiment. le style est très compact : peu de dialogue. Les personnages déboussolés sont attachants.
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4 ans après avoir lu L'amour sans le faire, du même auteur, c'est assez emballée que j'ai accepté la proposition de Babelio de recevoir gracieusement le dernier roman de Serge Joncour, en échange d'une critique.

4 ans, ça commence à remonter mais je me rappelle très bien combien L'Amour sans le faire avait été une magnifique lecture. Je ne me souvenais pas de l'histoire précisément. Juste que j'avais été marquée par la beauté de l'écriture ainsi que par la simplicité et la pureté de l'histoire d'amour naissante en question. Luminosité, c'est le qualificatif que j'avais employé.
La barre était haute.

J'irai directement à l'essentiel. J'ai été un peu déçue.
L'écriture est toujours aussi belle, claire et limpide, tout en étant très précise, très imagée, parlante. Je rappelle que l'auteur est aussi lié au monde du cinéma. Il a écrit le scénario de l'adaptation cinématographique de Elle s'appelait Sarah, et deux de ses romans ont déjà été portés au grand écran. Cette histoire-là pourrait tout à fait elle aussi faire l'objet d'une adaptation.
Pour autant, je n'ai pas été autant éblouie que lors de ma lecture d'il y a quatre ans.

L'histoire d'amour, quant à elle, est un peu trop "cliché" à mon goût.
Un homme et une femme, diamétralement opposés, se rencontrent et vont tomber inexorablement amoureux l'un de l'autre.
Elle, Aurore, Parisienne depuis toujours, a la classe et est mariée à un Américain businessman. Elle est aussi mère de famille et styliste à la tête de sa petite maison de couture.
Lui, Ludovic, vit à Paris depuis deux ans mais est un rural déraciné par la force des choses. Il a quitté ses terres, pour changer de vie, suite au décès de sa femme et travaille désormais dans le recouvrement de dettes.
Autant Aurore est la grâce et la fragilité incarnée, de par son physique, autant Ludovic représente la puissance et la force tranquille de par sa stature imposante. "Un homme paratonnerre dont l'allure suggère qu'il ne redoute rien". En apparence.
Ils habitent deux immeubles voisins, partageant la même cour. Elle du beau côté rénové, lui, de l'autre.
Elle a tout mais souffre du manque d'écoute de son mari. Elle n'ose pas embêter celui à qui tout réussi avec ses soucis professionnels et d'ailleurs, il ne semble pas avoir beaucoup d'attention à lui accorder. Sa petite entreprise commence à être gravement dans le rouge, à cause de défauts de paiement. Elle se sent en perdition, pas à la hauteur et a un gros besoin d'être rassurée.
Sur qui pourrait-elle bien se reposer ?
Toutes ses peurs, elle les focalise sur deux corbeaux qui ont élu domicile dans sa cour et qui la terrorise. Oui, ne riez pas.

Les bestioles, pour lui, l'agriculteur de naissance, ce n'est pas un problème.
Aurore et Ludovic se retrouvent face à face un soir, totalement par hasard. Elle laisse éclater sa paranoïa aviaire. Ni une, ni deux. Deux coups de fusils bien placés quelques jours plus tard et il la débarrasse de ses pires ennemis. Preuve indubitable d'attention pour elle.
Ces deux-là ne tardent pas à tomber dans les bras l'un de de l'autre. C'est très rapide. Foudroyant dirons-nous. Ils se désirent tellement qu'ils ne peuvent pas se retenir dans la salle d'attente d'un rendez-vous hyper anxiogène... Certes, c'est croustillant, ça pimente bien le récit et c'est bien écrit mais là, on est complètement dans le too much. Je ne dis pas que ça ne pourrait pas arriver dans la vraie vie, notez bien, mais ces deux-là, ils vont toutes nous les faire !

On apprend plus loin dans le récit qu'Aurore ne fait plus l'amour avec son mari depuis trois ans. Un fait énoncé qui m'a surprise car rien ne le laissait présumer dans la première partie du roman. Pourtant l'auteur aurait eu tout le loisir de placer cette information pas anodine du tout (parce que 3 ans sans avoir de relation sexuelle avec l'homme qui partage sa vie, c'est qu'il y a un gros souci dans le couple, non ??? et que manifestement, la dame n'avait pas que des soucis au travail...) quand il a campé le décor personnel des protagonistes. du coup, cela semble arriver pile poil pour justifier, en quelque sorte, ce besoin de contact charnel pour Aurore. Pratique ?
Cette information m'a perturbée.
Comme par hasard, elle ne fait plus l'amour avec son mari très séduisant... Un point de plus dans la colonne de la rencontre amoureuse cliché, c'est ce que je me suis dit.

Mis à part ce contexte assez facile, l'attraction, la déroute des sentiments, le chamboulement vécus par l'un et par l'autre sont très bien décrits. C'est crédible.

Là où on retombe dans le romanesque pur jus, et pas dans le sens positif du terme, c'est quand Ludovic se retrouve mêlé aux problèmes de la boîte d'Aurore. Alors oui, ça part d'un bon sentiment. Il veut avant tout la protéger, l'aider et en plus, elle ne demande que cela...
On n'aboutit pas à une situation abracadabrante et complètement irréaliste, mais wahou... Il leur en arrive des choses quand même ! Ça tourne au vinaigre, au point où les deux sont à deux doigts d'être impliqués dans un homicide involontaire et Ludovic est à deux doigts de perdre complètement pied. À la limite du À la vie, à la mort... Quand on pense qu'Aurore, si elle avait mis sa fierté de côté et si elle avait simplement demandé de l'aide à son mari, aurait pu régler l'affaire en faisant intervenir les avocats de celui-ci...

C'est déroutant. Jusqu'aux deux, trois dernières pages du livre, je me suis demandée comment cela allait bien pouvoir se terminer. Bien ou mal ? Mal ou bien ?
Je ne dirai bien, si ce n'est que j'ai trouvé cette fin réussie. J'ai fait ouf.
Et c'est un très bon point à mettre au crédit de cette histoire.

Souvent, pour encourager un élève, on dit "Peut mieux faire"... Clairement, Serge Joncour a mieux fait.
Je vous invite fortement à lire L'Amour sans le faire.
Lien : http://linecesurinternet.blo..
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Il y a deux ans, j'avais tellement aimé L'écrivain national que je ne pouvais passer à côté du nouveau livre de Serge Joncour. J'avais en effet été époustouflée par sa capacité à entremêler réel et fiction pour jouer avec son lecteur. Il change aujourd'hui de registre pour nous proposer un roman à la facture plus classique.
Il s'agit plus précisément d'une histoire d'amour entre deux individus que tout devrait opposer : classes sociales, modes de vie, centres d'intérêt, Ludovic et Aurore ne partagent rien, si ce n'est un sentiment de solitude, voire d'abandon de la part de leur propre famille. Ludovic est un fils d'agriculteurs venu vivre à Paris après la mort de sa femme, survenue trois ans auparavant. Aurore est quant à elle une styliste reconnue, dirigeant son entreprise, mariée à un brillant et riche homme d'affaires américain. Tous deux habitent dans le même immeuble - mais pas du même côté de la cour. Aurore loge côté rue, façade rutilante et vastes appartements loués à la journée aux touristes fortunés, tandis que Ludovic est relégué à l'arrière, dans un bâtiment vétuste et sombre où cohabitent les loyers 48...
Ces deux êtres vont pourtant se rencontrer et être irrésistiblement attirés l'un par l'autre. Aurore, qui souffre du manque d'attention que lui témoigne désormais son mari et qui se débat dans de graves difficultés économiques pour maintenir son activité à flot, trouve en Ludovic, ce colosse terrien que rien ne semble pouvoir ébranler, un réconfortant refuge. Quant à Ludovic, il est séduit par la grâce et la fragilité de cette jeune femme qu'il a immédiatement envie de protéger.

Résumée ainsi, l'intrigue pourrait paraître mièvre et quelconque. Pourtant, Joncour installe une atmosphère ouatée au coeur de ce Paris trépidant et froid qui nous est familier. A travers ses deux héros en quête mutuelle de chaleur humaine, il personnifie deux mondes. L'un est rural, évoluant au rythme de la nature et parfaitement étranger à l'effervescence urbaine qui engendre anonymat et absence de communication. Il est local et ne s'est étendu que par accident à la capitale. L'autre est en perpétuelle effervescence et son domaine ne connaît nulle frontière : vacances ou affaires, tout se joue aux quatre coins de la planète. Mais dans l'un comme l'autre univers s'exerce une forme de violence et règne l'exclusion.
Une même soif d'écoute et d'entraide anime les deux héros. Ils apparaissent l'un pour l'autre comme une bouée à laquelle ils éprouvent le même besoin de s'accrocher pour ne pas sombrer. Car quelle que soit la force que l'on possède, qu'on la tire d'une imposante stature physique ou de la fortune qui permet de faire face aux difficultés, il arrive un moment où cela ne suffit plus. Vient en effet un moment où l'on a simplement besoin de se reposer sur quelqu'un pour y puiser une force vitale.

Joncour prête ainsi vie à des personnages très attachants, qui nous invitent à ralentir le rythme et à renouer avec des valeurs simples. Un roman plein d'humanité, très agréable à lire et qui fait du bien.


Lien : http://delphine-olympe.blogs..
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Aurore est une styliste reconnue, mais sa petite boîte, qui essaye de faire uniquement travailler des entreprises françaises, est en train de couler. Ce n'est pas son mari, grand entrepreneur Américain, qui lui apporte une oreille intensive ! de plus, dans la cour de l'immeuble, sur les arbres où vivaient des colombes; deux corbeaux ont élu domicile, faisant fuir les autres oiseaux, effrayant la jeune femme.

C'est alors qu'elle rencontre Ludovic, un voisin, agriculteur reconverti, montagne de muscle reconverti dans le recouvrement de dettes. Pour elle, il va chasser les corbeaux, rapprochant leurs deux univers qui n'ont rien en commun.

Pour commencer, j'ai eu un peu du mal à rentrer dans ce roman, deux univers qui se côtoient, très différents l'un de l'autre, mais sans m'attirer plus que ça. L'histoire mettait du temps à démarrer. Malgré tout, on finit par s'attacher à ses deux êtres, qui sont bien différents de leurs apparences, tous deux pris par le tourbillon du quotidien, de plus en plus compliqué pour Aurore. La détresse de la jeune femme est aussi touchante que la tendresse du colosse. Les sujets traités sont intéressants, différents aussi de ce qu'on lit d'habitude, car la romance n'est pas seule maîtresse de l'histoire, les dettes des uns et des autres occupent une grande part du livre.

Le résultat est à la fois émouvant, prenant et donne un roman assez original qui allie la beauté de la naissance d'une relation amoureuse et la trivialité du quotidien dans sa plus pure expression.

Je n'ai jamais lu d'autres romans de cet auteur, est-ce que ça vous tente ?
Lien : https://girlkissedbyfire.wor..
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J'ai lu repose toi sur moi d'un trait,c'est peut être comme cela qu'on reconnait un bon livre?
Je suis passée avec indulgence sur de bonnes grosses lourdeurs,mais finalement les personnages sont attachants ,et comme ça se termine bien,
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