Elles étaient quatre femmes fertiles et seules, parmi lesquelles ma mère, et elles travaillaient dès le lever du soleil avec une énergie de fourmi. Assis à la porte, dans le fauteuil, immobile sous la treille, se tenait mon grand-père. Et courant comme une meute indomptable, sans maître, sans entrave, il y avait nous, les enfants, sœurs et cousines faisant bande à part. Personne d’autre. Mais quand le soir tombait, arrivait enfin notre oncle, volant sur l’Instrument...
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