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--- Un nouveau héros… ---

Souvenez-vous : nous étions restés sur une fin incroyable lors du dénouement de la Marche du Prophète. Attention néanmoins : pour ceux qui voudraient éviter le spoil, je vous déconseille de lire ce qui va suivre, ainsi que le synopsis.

Comme je le disais, le final du premier tome avait de quoi surprendre. En débutant L'Envers du monde, je me suis tout de suite demandé quel héros allait prendre la relève de Leth Marek. J'ai aussitôt pensé à Desmeon – choix logique, vous en conviendrez – et mes soupçons se sont révélés fondés. le combattant à l'humour douteux est ainsi sorti de l'ombre pour se retrouver au premier plan, endossant le rôle de champion pour les fidèles d'Ochin et de héros pour le lecteur. Un choix téméraire de la part de l'auteur, il faut le reconnaître… qui s'est avéré payant me concernant !

Là où Leth Marek manquait un peu de personnalité, Desmeon en est – un peu trop ! – pourvu. Mais s'il m'a parfois énervée dans le premier numéro, j'ai appris à l'accepter, à l'aimer même, curieuse de connaître son passé. Gabriel Katz a d'ailleurs fini par lever le voile sur celui-ci, un passage intéressant que j'ai pris plaisir à lire.

Il y a juste un léger détail qui me chiffonne. Je suppose que c'est Desmeon qu'on a voulu représenter sur la couverture. Dans ce cas… où est le tatouage qui est censé lui couvrir le dos ?

--- …et d'anciens personnages que l'on redécouvre ---

Si j'ai apprécié de voir le personnage de Synden évoluer au fil de péripéties inattendues, je ne peux pas en dire autant de celui de Nessirya, que je n'ai pas réussi à cerner et dont les motivations m'ont paru nébuleuses. Froide et calculatrice, elle semble pourtant tenir à Desmeon – de la plus étrange des manières, certes ! Pour être honnête, je m'interroge sur son utilité dans le récit ; était-elle seulement destinée à faire avancer l'intrigue ? Si oui, c'est regrettable car, en fin de compte, son double jeu manque de crédibilité.

--- Une tournure inespérée ---

Alors que dans La Marche du Prophète, l'histoire tournait en rond par moments, ici les combats vont bon train. Cela aurait aussi pu être lassant à force, mais le tout est ingénieusement contrebalancé par les (més)aventures de Desmeon et de Synden.

En résumé, contrairement au premier volet, je me suis sentie directement concernée par l'histoire. Un revirement de situation auquel je ne m'attendais plus, mais qui a été le bienvenu. Tourner les pages a été d'une facilité déconcertante, la plume exceptionnelle de Gabriel Katz achevant de me faire passer un très bon moment. En effet, quand tout est réuni – personnages, intrigue et écriture -, ça ne peut que fonctionner. Dommage qu'il ait fallu attendre le second tome pour cela…

Quant à la fin, assez abrupte je dois dire, elle m'a plu sans pour autant m'émerveiller, car elle laisse de nombreuses questions en suspens, notamment au sujet d'Aeternia, ce qui a dû en frustrer plus d'un, à mon avis !
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Etant donné la fin du premier tome, je me suis empressée de lire la suite d'Aeternia. L'écriture de Gabriel Katz est toujours aussi agréable à lire et rythmée. le roman se lit très vite et très bien, on a du mal à le lacher une fois dedans.

Le personage principal est cette fois Desmeon et Leth Marek n'est quasiment plus présent. Desmeon a beaucoup de défauts cependant il devient vite attachant surtout gràce à sa répartie et son second degré. On apprend son histoire et on le comprend mieux. Sa relation avec Synden est très émouvante. Ce tome apporte beaucoup de révélations: la vraie nature du culte d'Ochin et ce qu'ils veulent.

Les deux camps de la guerre de religion qui s'est déclenchée sont aussi mauvais l'un que l'autre et n'hésitent pas à commettre des crimes pour le pouvoir et pour parvenir à leurs fins. Les personnages principaux sont pris au piège de cette guerre de religion alors qu'ils ne l'ont pas voulu et font les frais de manipulations diverses et de complots. Gabriel Katz n'épargne ni ses personnages ni le lecteur et ce roman est beaucoup plus sombre que sa précédente trilogie le puits des mémoires. J'ai préféré la trilogie du puits des mémoires à Aeternia par rapport au thème et au côté aventure et humour qui en font des romans à part dans la fantasy. Cependant les deux tomes d'Aeternia sont très bons et amènent à se poser des questions sur la religion et sur les manipulations qu'entraine la quête du pouvoir.

Ce tome apporte également des révélations sur les personnages et Nessyria se montre sous son véritable jour à savoir quelqu'un de véritablement détestable. Il y a longtemps que je n'avais pas détesté un personnage de roman à ce point!

Gabriel Katz est pour moi un auteur assez atypique dans la fantasy dans la mesure où il prend le lecteur à contrepied, la fin par exemple m'a surprise et il n'hésite pas à malmener son lectorat autant que ses personnages. Ces deux tomes d'Aeternia sont sombres et ne ressemblent pas aux précédents romans de l'auteur et c'est un point très positifs. le thème est d'actualité et l'auteur ne prend partie pour aucun des camps, la religion étant plutôt mal vue. J'attend les prochains écrits de l'auteur avec impatience.
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Que dire de ce deuxième et dernier tome d'Aeternia… Je l'attendais avec une patience non feinte, la dernière page de l'opus précédent laissant le lecteur dans un doute monumental : il faut dire que l'auteur est adepte des cliffhangers qui déboîtent…

L'Envers du Monde nous entraine à la suite directe de la Marche du Prophète ; mais suite aux événements qui concluent le premier tome, le personnage principal est dorénavant Desmeon, aussi appelé le Danseur, un combattant à la verve cynique. Il redevient également le champion de la colonie du culte d'Ochin et devra combattre son ennemi, le Corbeau, dans l'arène qui désignera le camp vainqueur.

Dans l'opus précédent, Desmeon m'avait vraiment intriguée, devenant facilement le personnage que j'ai le plus apprécié. En le retrouvant au-devant de la scène, je me suis dit qu'on allait en découvrir plus sur ce personnage qui n'en laissait pas beaucoup filtrer, en un sens c'est le cas, puisqu'on apprend des choses sur son passé, sur son exil et sa vie depuis. Il est très humain dans son rapport au monde, il se fait par exemple enfermer et ses réactions sont assez logiques par la suite.

Outre Desmeon, on retrouve la quasi-totalité des personnages du tome 1, Nessirya, Amon, Varian, Synden, Leth Marek (dans une, bien moindre, mesure)… qui sont tous développés à des niveaux d'importances différents. J'ai trouvé que Varian était présent mais tout de même moins que précédemment, Synden a été une vraie bonne surprise dans son évolution et une moins bonne sur la fin de l'ouvrage… Et je ne parlerai pas de Nessirya !

L'intrigue est la continuité logique de l'opus précédent, mais au vu du changement de personnage principal, je m'attendais à pas mal de passages plus légers, avec de l'humour certes cynique, mais de l'humour tout de même. Et, je dois le dire, c'est un peu raté… L'Envers du Monde mais surtout l'envers du décor – le côté obscur de la force – présente un lever de rideau sur la réalité du culte. La religion a bien entendu une place prépondérante dans ce diptyque et est le coeur même du récit. Ici, les deux religions de Kyrénia, le culte d'Ochin et le culte de la Déesse, se font face dans une montée en puissance de violence. La religion n'a rien de bien reluisant quand vient l'heure de s'imposer (et d'ailleurs on peut se demander d'où vient ce besoin ?). Et finalement on se retrouve avec un livre plus sombre, que tous les autres romans de l'auteur, qui s'inscrivent dans ce même univers. Les révélations sont encore nombreuses, mais tout de même, pas aussi surprenantes que je l'espérais, certaines étaient à prévoir même si je gardais espoir d'un retournement de situation.

Comme pour l'opus précédent, Gabriel Katz sait maintenir son lectorat, avec une jolie plume et un sens du rythme qui ne s'essouffle pas. Mais la fin est trop ouverte pour me satisfaire, l'auteur laisse entièrement le lecteur choisir, et malheureusement tout a été mis en place pour ne pas permettre un happy end. Quelle que soit l'issue de l'événement qui clôt ce tome 2 – qu'on ne peut qu'imaginer – elle laisse une vision pessimiste du monde et de l'humanité.

En bref : Un deuxième tome dans la continuité du premier, rythmé et entraînant, mais tout de même plus sombre. Les révélations sur le passé de Desmeon sont bienvenues et le développement des personnages est très bien mené. Les religions, coeur du roman, sont représentées dans ce qu'elles ont de plus sombres donnant au récit une note plus pesante. L'écriture de l'auteur en fait un diptyque agréable à lire et très bien mené. La fin reste ouverte, laissant le lecteur avec son imagination.
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L'Envers du monde clôt ce diptyque sur une note sombre et désabusée : les dessous de la religion, ce n'est clairement pas beau à voir... le sujet principal est bien traité, mais j'ai tout de même regretté la petite pointe d'humour habituelle de l'auteur, qui est peu présente ici. Une bonne suite dans la continuité du premier tome, mais qui m'a laissée sur un goût amer.
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Un deuxième tome que je me languissais de découvrir depuis la fin du premier. Évidemment, Gabriel Katz est connu pour être un auteur sadique et ce diptyque le prouve complètement.

Le culte d'Ochin prend de l'ampleur sur la Grande Déesse. Kyrénia est la cible parfaite pour ce nouveau culte. Un duel est organisé entre les deux religions. Mais Ochin est privée de leur champion, ils vont devoir en trouver un autre. La guerre civile est proche, le Temple se doit de réagir. Qui va l'emporter ?

J'avoue qu'au début du roman j'ai été perdu, je me rappelais que la fin du premier était horrible, mais quand j'ai commencé ce livre, j'ai du retourner lire le dernier chapitre pour être bien sur car l'auteur m'avait mis le doute.
Dans ce second tome, Desmeon est mis en avant. C'est un personnage que j'avais beaucoup apprécié dans le premier tome, surtout que tout le monde l'appelle le Danseur et que dans ce tome on comprend mieux pourquoi. C'est un personnage avec beaucoup d'humour, il prend les choses un peu à la légère du coup, il a toujours des réparties amusantes. Dès le début, il a su me touchait et je suis très contente d'en avoir appris plus sur lui.
On suit encore l'histoire du point de vue de Varian. Jeune homme croyant à la Déesse plus de que tout, va très vite se rendre compte de certaines choses… J'aime beaucoup le fait de suivre Varian, de ce fait, on voit ce qu'il se passe dans le Temple.
Par contre, cette *bip* de Nessirya, elle m'a gonflé ! C'est rare que je n'aime pas un personnage, mais elle, c'est normal !
Encore une fois l'auteur a su me captiver avec ses personnages. Desmeon est un des personnages que j'apprécie beaucoup.

Le style de Gabriel Katz est toujours aussi prenant. Dès le début je plonge dans ce roman avec une énorme envie. Sauf qu'entre temps j'ai dû lire un autre livre, du coup je l'ai mis en pause. Dès que je l'ai repris, je n'arrivais pas à me remettre dedans mais dès le deuxième chapitre, c'est bon c'est parti ! de plus, l'intrigue est prenante. Et les révélations s'enchaînent !

En conclusion, j'ai passé encore un bon moment grâce à Gabriel Katz ! Un diptyque fantasy que j'ai beaucoup apprécié. le conflit entre les deux religions est très intéressant, les revirements de situations sont prenants et les personnages très attachants – sauf une évidemment !
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Je ne peux me permettre de vous faire le résumé de ce tome 2, car il risquerait de vous spoiler tellement de choses... 🤓
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Ici, nous suivons notamment le point de vue de Desmeon, protagoniste déjà important dans le tome 1. J'adore ce personnage ! Bourré d'humour, de sarcasme et de répliques cinglantes, sa personnalité vous fait fondre malgré tout. 🤩
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L'intrigue est basée sur la religion, une guerre de croyances qui vous donne des frissons tant la folie est parfois poussée à l'extrême. Evidemment, la plume de Katz est toujours aussi agréable : simple, belle et efficace -tout comme son univers. 🧚🏻‍♀️
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Certains points étaient plus que prévisibles. On les sent arriver à des kilomètres. En revanche, comme le fait souvent l'auteur, le twist de fin m'a laissée bouche-bée. J'adore cette sensation ! 🥰
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Je tiens à souligner le petit clin d'oeil accordé à son autre saga "Le Puits des Mémoires", l'une de mes préférées tout auteurs confondus. 😘
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Et la fin... Mais mon dieu, cette fin ! D'habitude, j'ai du mal quand une saga se termine au milieu d'une action, mais là, on ne pouvait pas faire mieux. C'était génial, j'ai tout aimé jusqu'au bout : les personnages, l'univers, l'action, les religions... Bref, Katz n'est pas l'un de mes auteurs préférés pour rien ! 🥳
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Je suis tellement heureuse de l'avoir reçu à noël, il n'a pas tenu un mois que je l'ai dévoré en peu de cession de lecture. Ce second et dernier tome de la série est amer, captivant, il apporte un final intéressant et j'espère pouvoir continuer mon aventure avec La part des ombres (tome 2) ou encore La maîtresse de guerre. Je dois bien avouer que j'ai préféré le point de vue de Leth Marek, mais j'ai davantage aimé le scénario développé dans ce tome.

Nous avons un deuxième tome écrit sous l'oeil amusé, cynique de Desmeon. Rien que de savoir qu'il était mis en avant et je savais que j'allais beaucoup m'amuser. Alors d'une certaine manière, j'ai bien perçu que le récit nous été délivré via Desmeon, les métaphores, les répliques... Mais pour s'amuser, l'histoire est d'une telle violence, sombre et terrifiante. Ce qui ne laissera pas Desmeon indemne. J'ai beaucoup aimé voir notre protagoniste principal en difficulté, moins confiant sans pour autant être changé. C'est un personnage captivant, attachant, cynique et loyal, j'ai bien aimé sa relation avec les autres protagonistes de la duologie.

Ces derniers sont très intéressants. J'admets que ce tome plus violent leur donne une nouvelle facette, la guerre et les événements de cette intrigue me donne une autre vision d'eux. Synden est tellement géniale, forte et caractériel, vive et très déterminée, sa relation avec Desmeon est fantastique. Simple, jolie, amusante – j'ai adoré leurs répliques. Annoa et toute la troupe qu'il parvient à mener me rend aussi admirative que terrifiée. Ce récit met en avant le fanatisme religieux, d'un côté ou de l'autre de la balance, c'est glaçant de voir les manipulations, les mensonges, les torsions faites avec la réalité pour apparaître vertueux et parfait. En ça, Annoa est un personnage merveilleux, tout comme Ismaen ou Nessirya. J'ai bien aimé Mae Nam ou Varian, ce sont deux personnages très sympathiques, la première rompue aux manigances tandis que le second se blinde devant toutes ces horreurs pour gagner sa place.

Ce qu'il y a de fascinant dans cette série c'est qu'elle est amer. La fin en est le parfait exemple. J'avais des attentes, des envies de justice qui ne verront jamais le jour, pourtant, aussi frustrant cela soit-il, il y a comme du génie dans cette fin. Les méchants ne sont pas toujours punis selon les conséquences de leurs actes, c'est horrible, mais intéressant comme parti pris. Et pour en revenir à cet aspect « amer », les personnages subissent de nombreux revers, des situations périlleuses où ils sont obliger de se dépasser quitte à se renier, à se parjurer, à mentir, à cracher sur leurs valeurs, leurs rêves, à changer de trajectoire, mieux se perdre pour mieux rebondir sur leurs pattes. Ça me rappelle énormément l'ambiguïté cultivé dans la saga du Trône de fer.

De ce fait, toute l'atmosphère oppressante, toute cette violence se développe via les protagonistes, leurs évolutions. Mais pas seulement ! La plume de Gabriel Katz est parfaite pour ce type de récit. Les thèmes abordés sont nombreux et bien exploités, le style s'avère précis, soigné sans faire de chichis, avec une légère pointe d'humour. Un côté irrévérencieux bien pensé et suffisamment chouette pour ne pas sombrer dans une intrigue trop glauque. Sans oublier que l'intrigue en elle-même est bien maîtrisée. J'ai eu de la tension, des drames, des duels, de l'amour, des trahisons et des alliances, des mensonges et des révélations, des ascensions et des chutes. L'histoire propose une fin – qu'on l'accepte ou non –, des réponses aux questions posées, de petites zones de floues suffisantes pour jouer avec notre imaginaire. Les ingrédients fonctionnent à merveille et j'ai adoré lire ce second opus.

En conclusion, Aeternia est formidable sur plus d'un point. Il n'existe pas de bons ou de méchants, juste des hommes avec des défauts et des qualités, tentant de faire au mieux, de survivre. C'est un univers sombre, très mature, violent, avec du sang, de la tension, des drames, des larmes, vous êtes prévenus ! Il y a certes de l'humour sous forme de cynisme, d'un brin de dédain, un aspect irrévérencieux bien exprimé à travers Leth Marek et Desmeon plus que dubitatif sur l'utilité du fanatisme religieux qu'il soit exprimé par Varian, Ismaen ou par Annoa et Nessirya. Enfin, la fantasy est vraiment explosive avec ce mélange d'arènes à la gladiateur, avec un aspect très médiéval pour le reste, un brin de magie. Les intrigues sont maîtrisées et denses, le style d'écriture est très addictif, entre modernité et précision. Je ne me suis pas ennuyée et les deux tomes m'ont enthousiasmées pour des raisons différentes. Je suis maintenant impatiente de terminer La part des ombres et de lire la Maîtresse de guerre.
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Salut les Babelionautes
Ce deuxième tome ne m'a pas convaincu, Gabriel Katz a le tort de ne pas avoir une fin convaincante dans ses romans.
Pourtant il y avait une palanquée de personnages bien imaginés, tel le Danseur, mais malgré tout, il manque ce petit plus pour embarquer les lecteurs que nous sommes.
Je lirais surement d'autres roman de Gabriel Katz, mais ce ne sera pas une priorité vus la taille imposante de ma PAL.
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La fin du premier tome m'avait laissée sur les fesses ; je ne m'y attendais tellement pas ! L'envers du monde prend suite directement après les événements achevant La marche du prophète, et autant vous dire que dès le début de ce second tome, j'étais de nouveau plongée dans le récit, pleine d'espoirs pour certains personnages, et j'avais vraiment hâte de savoir comment tout cela se terminerait. Je n'ai pas été déçue ! Et ce que j'ai apprécié plus que dans le premier livre, c'est que le récit nous fait suivre plus de protagonistes ; parfois, ils ne sont présents que pour un ou deux chapitres, d'autres fois, on les suit tout au long du roman. Les personnages sont variés et apportent un point de vue différent sur les événements, se croisent…
L'envers du monde est l'occasion d'en apprendre plus sur l'univers créé par Gabriel Katz, sur les religions qui régissent le pays… En fait, on retrouve tous les bons éléments du premier tome, et on y ajoute plein de révélations, des surprises et des retournements de situations, plus de personnages, et on obtient ce second tome !

Aeternia est une bonne duologie de fantasy. J'ai une autre histoire de Gabriel Katz dans ma bibliothèque et c'est avec plaisir que je la découvrirai.
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Après avoir lu "Le puits des mémoires", j'ai beaucoup aimé cette duologie, qui ne fait que confirmer que Gabriel Katz aime jouer avec nos nerfs... Ne vous attachez pas trop aux personnages, conseil d'amis !
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