AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,01

sur 4599 notes
Ecrire ce roman était un exercice difficile pour son auteur, car il fallait toujours rester dans la juste mesure, ni trop en faire de peur de lasser le lecteur, ni rester dans le simple schéma descriptif.
Dans cet exercice Maylis de Kerangal a excellé, ne tombant jamais dans le pathos qui aurait été un calvaire à lire, mais qui par ses descriptions simples et son agilité à manier les mots, nous fait ressentir chacune des émotions
Lien : http://www.lalecturienne.com..
Commenter  J’apprécie          20
Il faut lire tous les romans de Kerangal, bien meilleurs que celui-ci.
Commenter  J’apprécie          20
Commenter  J’apprécie          20
Un style éblouissant.
Commenter  J’apprécie          20
Très beau libre, belle écriture unique pour ce roman déchirant. Simon, un jeune surfeur, meurt dans un accident de la route. Ses organes étant intacts, il peut devenir donneur. Nous suivons en tant que lecteur les derniers moments de la vie de Simon, l'accueil par les parents de la nouvelle, l'intervention du chirurgien, de l'infirmier coordinateur des dons d'organes, et l'accueil de la nouvelle par la peronne receveuse du coeur de Simon :a-t-elle envie de recevoir, pour vivre, le coeur d'un mort ? Beaucoup de questions, peu de réponses. J'ai dévoré ce livre mais en suis ressortie anéantie.
Commenter  J’apprécie          20
J'ai déjà lu ce roman en juillet 2014. J'aime relire les livres qui m'ont chamboulée ou exhaussée. Celui-là en fait partie. La deuxième lecture est encore plus enrichissante, tant sur le plan de l'écriture que sur celui de la problématique.
Un jeune homme en coma dépassé : 19 ans ; des organes (coeur, reins, foie) nickel-chrome, intacts, encore apte à aider la vie à avancer.
Des personnages forts : les parents, les médecins, les chirurgiens, la petite amie, l'infirmière. Leurs pensées. Les confrontations, le cheminement, les révoltes, la transmission. Et la musique, le son des vagues, de la vague qui envoûte.
On ressort de ce livre : sonnés ! emplis de mille mots, mille interrogations, mille réponses. On a envie d'y replonger tant tout est magnifique, presque divin.
Et pour ceux qui écrivent, ce roman est un puissant "booster". Il aide à écrire juste, il aide à aller au fond des choses.
Lien : https://www.facebook.com/ben..
Commenter  J’apprécie          20
Un livre incroyable, dont je me souviendrai longtemps. L'écriture de l'auteure est d'une rare qualité. Je recommande !
Commenter  J’apprécie          20
un chef d'oeuvre !
Commenter  J’apprécie          20
Magnifique livre, dont l'écriture n'est pas toujours facile et dont les digressions peuvent parfois nous perdre un peu, sur un non moins magnifique sujet, qui depuis longtemps me parle, me touche et m'interroge tout particulièrement : le don d'organes.

Je m'attendais à un livre plombant, centré sur le receveur, sur le "comment vivre avec les organes d'un autre et surtout son coeur".

J'ai découvert un livre au contraire concentré sur le donneur, émouvant mais jamais larmoyant, qui évoque avec pudeur mais sans se dérober toutes les questions qui se posent dans ces cas-là et qu'il revient aux vivants de résoudre, et qui par sa précision rassure toutes les peurs que ces vivants peuvent avoir quand la question leur est posée : aurait-il, aurait-elle voulu être donneur?

Lien : http://cousineslectures.cana..
Commenter  J’apprécie          20
Thème très original : une transplantation cardiaque. le roman se déroule sur 24h. L'auteur écrit comme on compose un tableau, ou comme on met en scène une pièce de théâtre. Phrases très longues, digressives, au milieu desquelles les temps forts du roman, les émotions, surnagent et nous marquent au plus profond. Ce style est parfois un peu trop travaillé, mais il reste extrêmement efficace. Livre qui laisse une emprunte et donne envie de connaître davantage l'auteur et ses oeuvres.
Lien : http://www.telerama.fr/livre..
Commenter  J’apprécie          20




Lecteurs (9317) Voir plus



Quiz Voir plus

Ecrivain et malade

Marcel Proust écrivit les derniers volumes de La Recherche dans une chambre obscurcie, tapissée de liège, au milieu des fumigations. Il souffrait

d'agoraphobie
de calculs dans le cosinus
d'asthme
de rhumatismes

10 questions
282 lecteurs ont répondu
Thèmes : maladie , écriture , santéCréer un quiz sur ce livre

{* *}