Eternalis

Je ne suis jamais vraiment rentrée dans l'histoire. Peu de suspense et le style est banal, les personnages peu intéressants. Peut être que la traduction y est pour quelque chose.

Du même auteur, j'avais lu le secret Ottoman que j'avais nettement préféré.

C'est pour moi le moins bon des romans de Raymond Khoury habituellement il m'est impossible de ne pas lire un Khoury rapidement celui-ci je l'ai délaissé pour finalement m'y remettre.
C'est un peu le serpent qui se mord la queue, l'intrigue est intéressante mais pas forcément captivante, un sentiment de déjà vu s'installe. Il faut être fan de Khoury pour aller au bout. Je pense honnêtement que je n'aurai pas insisté si c'était mon premier roman de cet auteur .

Oui je l'ai fini, oui j'avais envie de connaitre la fin mais des livres comme celui de Raymond Khoury il y en a pléthore !!
Je me suis lassée au fil des ans de ces histoires soit-disant ésotériques et soit-disant mystérieuses ; elles sont toutes construites sur le même modèle !

Eternalis commence avec l'enlèvement d'Evelyn, une archéologue qui a tout juste eu le temps de retrouver une vieille connaissance, venue lui proposer d'acheter un livre orné du symbole de l'Ouroboros. Mia, sa fille, assiste à la scène. Avec Jim Corben, un agent de la CIA, elle tente de comprendre les raisons de ce kidnapping, ainsi que ce qui se dissimule derrière le serpent qui se mord la queue.

Le thème de ce livre m'attirait beaucoup, et comme il était offert pour l'achat de deux autres ouvrages, je n'ai pas hésité. Grand mal m'en a pris, car je me suis ennuyée ferme tout au long de cette lecture.

Si, comme moi, c'est l'aspect ésotérique qui vous intéresse, passez tout de suite votre chemin ! Là où la quête de la vie éternelle s'annonçait comme le sujet principal, il faut attendre au moins le milieu du roman, si ce n'est plus, pour qu'elle commence à être abordée. Et encore… Survolée serait un terme plus adapté.

Il y avait tant à dire, tant à exploiter, tant à développer, mais cette potentielle immortalité est traitée de manière superficielle. L'auteur se concentre davantage sur l'aspect CIA, relations diplomatiques, trafic d'antiquités… le tout ponctué de courses poursuites et de fusillades régulières.

Une grosse déception, en somme, et les personnages ne relèvent malheureusement pas le niveau. Mia est généticienne, ce qui pourrait sembler pertinent, mais vu la profondeur du sujet et son propre traitement qui lui confère le charisme d'une plante verte, elle aurait tout aussi bien pu être coiffeuse ou mécanicienne.

Le seul point positif que j'ai à concéder à ce roman, et surtout le seul élément qui a réussi à me surprendre, c'est Corben. Mea culpa, j'ai passé mon temps à lever les yeux au ciel en m'attendant à voir la jolie Mia conclure avec le séduisant agent de la CIA, en bon cliché, mais non, on y échappe, à mon grand soulagement !

Cela ne suffit cependant pas à compenser les défauts de ce récit, sa lenteur, ses protagonistes sans trop d'intérêt à mon goût et son absence d'ambition dans le traitement de son thème. Une lecture que je ne recommande pas.
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C'est avec grand plaisir que je me replonge dans l'univers de Raymond Khoury. Toujours très bien documenté, les personnages sont attachants et riches, la plume est agréable et facile à lire.
On sort du contexte des templiers mais on reste toujours dans les légendes. On sort de cette lecture avec de nombreux questionnements concernant la vie et la mort, l'éternité est-elle à notre portée?
Bonne lecture à toutes et à tous

1748, Naples. 2003, Irak. 2006, Liban. Qu'est-ce qui peut bien relier tous ces lieux, toutes ces dates, toutes ces personnes de différentes générations, différentes époques ? Et ce serpent qui se mord la queue qui vient apparaître dans ces mêmes lieux, que veut-il dire ? Evelyn et Mia Bishop se retrouvent embarquées sans comprendre dans les aventures de cet Ouroboros que bien des personnes semblent poursuivre avec un mélange de crainte et de fascination.
L'intrigue est puissante et si entraînante qu'on se retrouve au Liban avec Mia, à Naples avec le marchese, à Paris avec le comte, enfermé avec Evelyn...
Bon, il ne détrône tout de même pas le dernier templier. Déjà, je n'ai pas du tout apprécié les décisions finales de Corben, et pas comprises. Pour moi ça ne tient pas debout, ce n'est pas compatible avec le personnage qu'on a au début. Mais surtout, plus généralement, même si j'ai bien entendu adhéré tout de suite au récit, j'ai senti l'histoire moins crédible, elle m'a moins fait palpiter. le Dernier templier avait mis la barre très très haut et son génie n'est ni dépassé, ni égalé. J'apprécie quand même plus que largement ma lecture, j'ai été surprise avec des secrets que je n'ai pas vu venir et ça, c'est toujours un défi remporté pour un auteur. Raymond Khoury reste une valeur sûre du roman historique plein de rebondissements et parvient toujours à me faire voyager dans ces contrées où je ne mettrai probalement jamais un orteil.

M'oui bon… ce n'était pas terrible pour être franc. J'ai déjà lu ce type d'enquêtes avec Dan Brown et je m'étais juré de ne plus en relire. Jouer sur plusieurs époques c'est sympa mais ça ne fonctionne pas plus que ça ici. le reste est vraiment du classique, une disparition (enlèvement ici), un agent américain qui fait équipe avec une scientifique, un mystère vieux de plusieurs siècles.
De plus, l'histoire est longue à se mettre en place, l'auteur veut laisser peu de piste au lecteur que je suis mais il ne me laisse pas une miette de pain pour garder mon intérêt. Ce fût laborieux du début à la fin. Je n'ai pas vraiment de grosse critique à faire, je n'aime pas démonter des livres sur des dizaines de lignes, je préfère rapidement passer à autre chose.

Pour quand même être positif, j'ai aimé les villes que l'on visite, le Moyen-Orient n'est pas très souvent le théâtre d'enquêtes dans mes lectures et cela m'a fait plaisir de changer un peu, même si je n'ai pas apprécié cette lecture.

Un roman bien écrit qui vous emmène dans une autre dimension. Dans les siècles passés mais aussi dans notre monde moderne et égoiste. C'est une quête d'un élixir de vie avec des bons et des méchants, des très méchants qui font de vilaines expériences et qui tuent sans états d'ame, de la sauvagerie pure.
Le roman se passe en grande partie au Moyen Orient (Liban, Irak). Il nous ramène aux heures sombres de l'inquisition, au temps de Louis 15 et au Portugal bien après l'inquisition car évidement notre héros prend cette élixir qui lui permet de passer les siècles et les évènements historiques.
Ce roman m'a bien plu mais je dois dire que il y avait quelques descriptions un peu longues mais une bonne lecture qui vous détend tout en suivant les aventures des héros.

Une aventure prenante et bien rythmée au Moyen-Orient autour du vieillissement de la longévité de la vie et de l'immortalité. Une écriture fluide.

Pour tous les amateurs de Dan Brown, pour tous ceux qui aiment l'esotérique et le policier, roman qui se dévore, un livre que l'on peut lire à la rigueur...A Beyrouth, une archéologue, Evelyn, est enlevée car mêlée de près à une découverte pouvant bouleverser le cours de l'humanité. S'engage alors une course-poursuite afin de la retrouver, et d'empêcher ses ravisseurs de lui nuire...d'autant qu'ils demandent comme rançon un livre dont la couverture représente un cercle formé d'un serpent se mordant la queue...
Il faut attendre un certain temps avant de comprendre ce que ce livre a de si important, ce qui gâche un peu le suspense.
Rien de bien original dans ce roman : on se tire dessus à chaque page, le sang coule, et on se demande bien ce qu'on va garder de l'intrigue à la dernière page.
J'ai été assez déçu, car "Le Dernier Templier" du même auteur était à mon sens de meilleure facture.
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