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3,79

sur 1060 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'étais assez curieuse de lire ce court roman qui a été retiré de la vente suite au massacre dans je ne sais plus quel lycée américain. Un des tueurs aurait dit avoir été inspiré par ce roman, Stephen King a donc préféré le retiré et stopper la publication. Finalement, ce n'est pas ce à quoi je m'attendais ! Un peu seulement, mais la prise d'otage, les confidences d'une classe , le retournement de colère contre un camarade et non pas Charlie lui-même qui vient de tuer deux professeurs….Oui c'est surprenant et en même temps on est vraiment dans une vérité de la vie lycéenne américaine. Les émotions de chacun sont crédibles et révélatrices de la difficulté de faire sa place dans ce moule. J'ai aimé ce livre pour ça et Stephen King a su, comme d'habitude , m'entrainer totalement dans son récit et me surprendre !

Challenge Mauvais genre 2019
Pioche dans ma PAL mars 2019 (merci à Sflagg)
Challenge Multi-défis 2019
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Que peut-il bien se passer dans la tête d'un ado américain qui tire sur des personnes de son école ? C'est le propos de Rage, un roman de Stephen King publié en 1977 sous le pseudonyme de Richard Bachman.

C'est le triste processus de désintégration mentale. C'est la rage qui s'empare de lui et le pousse à des actes de violence incontrôlables.

Après avoir tué son enseignante, Charlie Decker s'enferme dans la classe avec ses camarades et dans un huis clos toxique ou se trame une sorte de « chaise honteuse », un jeu cruel où font surface toutes les jalousies et les rancoeurs.

C'est une des premières oeuvres de King et les ficelles sont parfois un peu grosses.

Comme dans Carrie, Stephen King met en scène la cruauté des adolescents, mais aussi la profondeur de la détresse des jeunes qui souffrent. Il ne reste qu'à y trouver des solutions avant que survienne un autre carnage…
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J'ai lu ce livre juste après l'Attrape-Coeurs, et j'ai été à bien des égards étonnée des similitudes entre les deux ouvrages. Hormis que les deux éditions de poche font l'exacte même épaisseur, les deux romans commencent avec un ado américain se faisant exclure de son lycée. et les toutes dernières pages ont aussi des points communs selon moi. Et comme son prédécesseur, ce livre aurait inspiré des auteurs de tueries, entraînant à la demande de King son retrait des librairies. Ceci dit, j'avoue avoir été plus sensible aux névroses de cet ado-là, qui comme son aîné (les deux livres ayant été publiés à 25 ans d'écart), raconte sa déroute à la première personne, celle-ci prenant cependant une forme radicalement différente et bien plus brutale (donc plus intéressante à mon goût).

Notre jeune anti-héros, donc, Charlie de son prénom, a l'esprit marqué par des mésaventures d'enfance qui pourraient être les nôtres, les miennes en tout cas. Mais pour lui, la coupe est pleine, il craque. Il a déjà agressé un de ses professeurs, et après un entretien avec son proviseur pendant lequel il se grille éhontément et lamentablement, commence à perdre le contrôle. Ou à le prendre, au choix.

Car après avoir mis le feu à son casier, répandant ainsi la panique dans l'établissement, il entre en classe, tue sa prof de maths sans lui laisser le temps de dire ouf, et prend sa classe en otage. S'ensuit un huis-clos fait de partages d'expériences, de tests de caractères, de négociations avec l'extérieur, lors duquel, finalement, bien peu de ses camarades s'opposent fermement à lui. Quelque part, ils prennent un peu cette matinée hors-norme comme une aventure, une histoire sensationnelle qu'ils pourront raconter avec excitation, et ils encouragent même Charlie, avec quelques accolades compréhensives. Finalement, ne sont-ils pas tous dans le même bateau?

J'ai apprécié de voir l'envers du décor de ce drame typiquement américain comme il y en a tant, à travers le regard de l'auteur de la tuerie, même si le bilan n'est pas aussi meurtrier et les actions un peu moins machinales qu'ils n'auraient pu l'être.
Finalement, les raisons de son craquage ou l'assentiment de ses camarades justifient-ils ses agissements? Rien ne le peut, même si on tend à l'oublier à mesure qu'il nous apparaît humain, avec ses failles, ses humiliations, ses traumatismes, et que les autres élèves révèlent les leurs comme dans un groupe de soutien psychologique. C'est ce jeune-là qui pète un plomb, mais finalement, ç'aurait pu être n'importe lequel d'entre eux. du coup, la classe entière, sans doute aidée de l'effet de groupe, devient son alliée et même un prolongement de lui si l'on y réfléchit.

Sympathiser avec ce protagoniste fait-il de nous les complices de ces jeunes machines à tuer, pourtant aussi humaines que nous, qui écument régulièrement les établissements scolaires américains? Bien sûr, si l'objectif était de lui trouver des circonstances atténuantes, elles demeureraient faibles. Tout le monde a des problèmes, certains plus graves que les siens, c'est notre manière d'y réagir qui diffère et celle de Charlie est plus qu'excessive. Le but est donc plutôt de le comprendre, d'appréhender son regard sur la société, sur ses parents, ses pairs. Et pour ça, le pari est réussi. On se glisse dans sa peau, on entre dans sa tête, on s'identifie à lui et on le comprend, sans l'excuser. La plume fluide de King nous permet sans mal de saisir comment l'accumulation de petits problèmes apparemment anodins peuvent déboussoler une personne un peu vulnérable, au point de provoquer en elle des désordres bien plus graves que ne le laisse penser son comportement ordinaire. Voilà comment un "jeune sans histoire" finit par perdre les pédales, et King nous en donne une, d'histoire. Pour ma part, elle m'a amplement satisfaite.
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J'ai lu ce livre par un heureux "hasard":

HS:{ trop jeune sans doutes pour avoir entendu parler des fusillades avant de le lire, puis: qu'est ça que aurait changé? Il y a des gens pas net un peu partout et je n'y peux rien, enfin bref, à quoi bon en parler?}

Traînant dans ma bibliothèque dans la section Stephen King et voulant lire du King mes doigts l'on saisit, n'ayant eu aucun écho dessus je me suis lancé dans l'inconnu.
Je suis tombé sur un livre perturbant, horrifiant, glaçant... (exagérons un peu, c'est pour l'accroche)

On lit ce livre d'une traite puis on en sort, l'esprit troublé, en pleine réflexion: et si ça nous arrivais, comment réagir?
Il laisse perplexe, l'inquiétude nous envahit durant la lecture puis lui survit.

Donc voilà, j'ai bien le sentiment de ne rien avoir dit, mais que dire?
Moi je sais que ce livre est bon, de là à savoir pourquoi...
Sans doute parce que j'adore avoir des frissons, de l'inquiétude et des incertitudes!
Sans doutes parce que ce livre est comme je les aime.
Sans doutes parce que c'est du King.

Au final un récit court, à lire au plus vite, captivant (si je puis dire)!

Lien : http://airedurat.blogspot.co..
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Rage est le premier roman que Stephen King a publié sous le pseudonyme de Richard Bachman. Si vous voulez le lire, vous ne le trouverez pas en librairie, mais dans des bouquineries, en seconde main.

Pourquoi ? Parce que l'auteur a fait arrêter la publication de nouvelles éditions, en 1999, après qu'un exemplaire a été trouvé dans le casier d'un lycéen ayant tué trois de ses camarades (et ce n'était pas la première fois que l'in découvrait ce roman dans les casiers des lycéens ayant tiré sur des camarades).

Dans ce roman, Charles Decker assassine deux professeurs. Vous n'assisterez donc pas à une chasse aux étudiants dans des couloirs de l'école, tel un mauvais film d'épouvante. Ou pire, dans la réalité.

Ce roman est un huis clos psychologique, puisque après avoir tué sa prof d'algèbre et un autre qui voulait entrer dans la classe, Charles tiendra toute sa classe en otage et leur expliquer une partie de sa vie, demandant ensuite à ses camarades de parler de leurs frustrations, de livrer des petits secrets, de se confesser, en quelque sorte.

Non, Charles n'a pas eu une vie merdique, même s'il y avait mieux (mais c'était plus cher), coincé qu'il était entre un père chasseur qui voulait en faire un homme et sa mère qui l'affubla d'un costume en velours, à 13 ans, pour aller à une fête d'anniversaire (débile et inapproprié !).

Là, il vient de péter un câble, un de plus et il est allé aussi loin qu'on peut aller : l'assassinat de sang-froid. On comprend bien ses névroses en lisant ses pensées, ses explications, mais de là à arriver à prendre une arme et à tuer, on se demande bien quelle araignée lui a trotté dans le crâne.

En tout cas, rien n'indiquait qu'il allait basculer du côté obscur de la force. Et rien ne peut justifier ses actes (ni ceux dans la vie réelle). Je peux comprendre (pas cautionner) un meurtre par vengeance (on a tous rêvé de flinguer un chef, un collègue, un emmerdeur, un tortionnaire, mais juste dans sa tête).

Mais là, ce n'est pas le cas, Charlie ne se venge pas de tortionnaires, d'harceleurs et il y a des dommages collatéraux terribles. Sa réaction à ses problèmes est excessive.

Ce qui fout plus les chocottes, dans ce premier roman du King, c'est le comportement de ses camarades de classes. Là, j'en suis restée bouche bée. Pour eux, c'est une aventure, un truc à raconter (nous ne sommes même pas à l'époque des réseaux sociaux), une journée passée à ne rien faire et un seul tentera de s'opposer à Charlie. Juste un seul. La meute est avec Charlie. C'est ça le plus terrible.

Un premier roman qui sonnait déjà juste, qui parlait d'un phénomène qui allait s'amplifier aux États-Unis, où les jeunes peuvent faire de plus gros cartons, puisqu'ils sont équipés de fusils d'assaut, possédant des chargeurs multiples et avec lesquels ils peuvent tirer de nombreuses fois sans devoir recharger.

Charles, dans ce récit, ne possède qu'un révolver, un six-coups, il doit ouvrir le barillet pour recharger et quitter ses camarades des yeux. Avec une arme de guerre, c'est plus simple, plus rapide et plus meurtrier.

Un président a dit, un jour, que si les Français avaient pu porter des armes, ils auraient pu se défendre face aux terroristes du 13 novembre 2015. Moi, je dis que ce n'est pas vrai… Les Américains sont armés, les flics sont armés et face à un jeune qui flingue à tout-va, personne ne bouge, ou alors, il se fait descendre comme au tir pipes.

Un roman assez glaçant, avec un personnage tourmenté, qui avait ses petits problèmes et qui a choisi de les résoudre de manière violente et expéditive. Pas de circonstances atténuantes pour Charlie Decker, même si c'est une personne vulnérable.

Un roman surprenant, puisqu'il ne va pas dans la direction que l'on aurait pensée…

Ce que wikiki en dit : Stephen King écrit une première version de Rage durant sa dernière année de lycée, sous le titre Get It On, mais la laisse inachevée. Il termine le roman en 1971 mais, après, il est refusé à la publication par Doubleday malgré l'intérêt de la maison d'édition. Il est finalement publié en 1977 sous le pseudonyme de Richard Bachman.
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« Rage », un simple nom, une émotion, un mot qui dépasse ce qu'on peut qualifier de colère, une envie de se battre, une envie de se révolter contre les gens, contre la vie, contre le monde. « Rage », un simple mot, quatre lettres et pourtant une violence inouïe. « Rage », la consonance dure que fait la gorge en raclant le R témoigne d'un sentiment de révolte, d'écoeurement et d'indignation frôlant de près l'aliénation. «Rage», un roman de Stephen King qui ne laisse pas indifférent et ose nous exposer la psychologie d'un adolescent qui de lycéen deviendra meurtrier. «Rage», un roman psychologique de haut niveau en avance sur son temps qui explore les dérives d'une société en pleine essor où il est parfois difficile de se trouver une place. Un roman poignant et dur qui ne laisse pas indifférent et vous fait réfléchir. Une superbe lecture !
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Charlie Decker a presque tué son professeur de physique-chimie. le proviseur du lycée est sur le point de le faire transférer dans un établissement psychiatrique. Mais Charlie en a assez qu'on lui dise que faire et comment. « Comment les gens peuvent-ils savoir qu'ils sont réels ? » (p. 148) Il met le feu à son casier et s'enferme dans sa classe avec une vingtaine de camarades, une arme à la main. C'est parti pour une étrange prise d'otages pleine de révélations, de hontes avouées et d'histoires de sexe. Mais non, ce n'est pas vraiment émoustillant. Charlie est-il fou ? Ou ne fait-il qu'accomplir ce que beaucoup se refusent à faire au nom de la morale ? « La folie, c'est simplement une histoire de degrés et en plus de moi, il y a pas mal de gens qui auraient bien envie de couper des têtes. » (p. 88) Les masques tombent dans la salle 16 du lycée du Placerville, c'est l'heure de déballer de secrets et de procéder à des actes qui marquent une existence.

Les sordides récits de fusillade dans les lycées américains, c'est hélas trop tristement banal de nos jours. Ce n'était certainement pas le cas quand Stephen King a écrit ce roman en 1977. On le sait, le lycée, c'est un terrain fertile pour les histoires d'horreur. Mais ici, pas de destruction à la Carrie, pas d'effet pyrotechnique fantastique. Ici, l'horreur est nourrie par le quotidien, par l'enfance malmenée et les hésitations terrifiantes de l'adolescence. le pire éclate dans la normalité et il contamine rapidement un microcosme placé dans les conditions adéquates pour, à son tour, perdre les pédales. « L'étrange, cela n'existe pas simplement à l'extérieur. C'est en vous, en ce moment, cela grandit dans le noir comme des champignons magiques. » (p. 37) Voilà un très bon opus du roi de l'épouvante !
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Axiome et variables

La toute récente et tragique actualité m'a fournie le prétexte de sortir de ma bibliothèque ce roman très noir de Richard Bachman alias Stephen King. L'auteur nous fait vivre une demie journée de la vie tourmentée de Charlie Decker, un lycéen ordinaire (quoi que…). Charlie en a ras la casquette : mal dans sa peau (comme beaucoup d'ado), maltraité -voire terrorisé- par son père, trop aimé par sa mère, il a pété les plombs lors d'un cours de physique-chimie et a frappé son professeur avec une clé à tube, le blessant gravement. Depuis, sa situation s'est passablement aggravée : ostracisé par ses camarades, il doit voir un psy, dont la compétence reste à prouver, en attendant que la direction du lycée prenne une décision à son égard. Sans doute sera-t-il viré, et envoyé dans un établissement spécialisé pour les cinglés de son genre… Et justement, ce matin là, alors que la journée semblait démarrer idéalement, Charlie est appelé par le proviseur. Après un très court « entretien » Charlie prend un revolver, met le feu à son vestiaire, revient dans sa classe, abat froidement sa prof de math (qui était justement en train d'expliquer que « même si on augmente le nombre de variables, les axiomes eux-mêmes restent valides ») et prend en otage ses camarades. le temps d'une matinée surréaliste, dans un huis-clos implacable, Charlie va pousser ses pairs à se livrer, à confesser leurs tourments et leurs « pêchés »…
Ecrit à la première personne du singulier, ce roman nous fait entrer dans la tête de Charlie et le moins que l'on puisse dire c'est qu'on n'en ressort pas indemne. Stephen King n'épargne pas son lecteur, mais ici, rien de fantastique, pas d'épouvante au sens où on l'entend généralement… Rien que la réalité. Et pour ce jeune homme détruit avant même de devenir adulte, qui doute parfois de la réalité de sa vie, et dont l'avenir est entre les mains de personnes qui ne le comprendront jamais, quelle sera l'issue ?
J'ai lu que Stephen King avait retiré ce roman de la vente (aux Etats-Unis) après la tuerie de Columbine, certains « mass-murderers » s'en étant inspirés… S'il est vrai que ce roman n'est pas à mettre entre toutes les mains, la cause des tueries dans les écoles ou les lycées aux Etats-Unis ne peut se résumer à sa lecture. Les armes tuent, les livres (même s'ils peuvent être subversifs), non.
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Rage, 4 lettres pour un mot chargé d'émotions brutes capable de détruire des vies.

Ecrit sous le pseudonyme de Richard Brachman, Stephen king s' empare d'un sujet sensible de l'autre côté de l' Atlantique, les tueries de masse dans les écoles. le droit de porter et d'acheter des armes aux states est seulement l'outil facilitant les passages à l'acte. Et dans son roman, le drame qui peut faire les gros titres n'est que secondaire. SK se concentre davantage sur les raisons ayant poussé un élève à commettre l'irréparable, sur le tas de poudre qui grossit, encore et encore, jusqu'à ce qu'une étincelle provoque une explosion de Rage.

J'ai trouvé cette approche assez étrange et loin de ce que je pouvais imaginer en ouvrant ce livre.
Je l'apprécierais sûrement plus lors d'une seconde lecture.
Puisque là, Stephen king commence en nous faisant vivre une fusillade dans un lycée, au travers de Charlie Decker, puis nous installe dans un faux rythme, dans la classe que cet élève retient en otage, où l'on se retrouve dans un cercle de discussion pour adolescents avec leur lot de problèmes (doux pléonasme). Reléguant au second plan le drame qui se joue dans l'établissement scolaire.
De l'action on passe à la réflexion, et de la réflexion à l'action (mais là je n'en dirais pas plus).

Mon intérêt pour cette fiction réaliste a eu un coup de mou sur la partie "échange d'expériences eu sein de la classe", heureusement que la plume incisive et américano critique de Stephen king est bien présente pour donner des couleurs à ce roman, où la folie, la terreur et les craintes prédominent. Charlie Decker pourrait être n'importe quel élève...
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Ici, SK nous rend spectateur d'une prise d'otages au sein d'un lycée. Il nous fait vivre ce drame de l'intérieur, tant physiquement que mentalement. Avec sa plume affûtée, il met en évidence les comportements humains qui font surface en de telles circonstances et interroge le lecteur sur lui-même.

Comment aurions-nous réagi ? On peut penser que le manque de courage et de solidarité permet que cela arrive. Si on va plus loin, peut-être a-t-on tous une part de folie en nous, exploitée ou non.

Très vite, la prise d'otages prend une tournure différente. Les raisons qui poussent Charlie à agir deviennent secondaires et la personnalité de chacun s'affine.

A noter quelques longueurs tout de même, mais qui ne gâchent en rien ce thriller psychologique.

PS : J'ai découvert ce roman par le biais du club de lecture de Vendredi Lecture, rejoignez-nous !
http://www.vendredilecture.com/le-club-de-lecture/
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