La Table des Douceurs

Ce que j'ai aimé dans ce livre c'est la partie ou l'auteur raconte un peut comment il a publier son manga.

" C'est ma première fois dans Gush ! Je suis Nica Kitabeppu, Enchantée !
C'est un vrai plaisir de voir réunies ici mes histoire publiées par ci par là dans Gush ! Merci à tous ceux qui ont voté pour moi lors de leur publications ! ça m'a beaucoup encouragée !
The Sweet Dining Table 1 et 2 est un concentré de ce que j'affectionne : un couple avec une grande différence d'âge et un jeune seme, un homme à lunette et des gâteaux !!
J'étais très heureuse de pouvoir dessiner la suite et deux illustrations couleurs, même avec leur fonds simplistes, mes illustrations ont été acceptés quelle surprise !
Et merci au graphiste pour les gâteaux mignons sur la couverture.
- Et le design de la couverture ?
- Un truc tellement mignon qu'il agace
The Dining Table Of Dream en deux parties : le passé de papa et maman, c'est en dessinant The Sweet Dining Table que m'est venue cette histoire. J'étais contente qu'ont me dise : "Ok, vas-y." Je sais pas trop pourquoi j'ai toujours envie de dessiner la vie des seconds rôles.
L'origine de la surexcitation de Minoru, c'est la débilité que lui procure le fait d'être heureux et la force que lui donne sa famille. Tu va voir, papa va travailler à fond, et son fils le tiens à distance.
Quand j'ai trop de liberté tout mes personnages finissent par être de gros nuls, des bon à rien, des idiots et j'en passe. Spécial Holiday thème : le Nul
Mais c'est peut-être moi qui suis nul de ne pas réussir à dessiner des mecs classes.
- Tu as dessiné des gros nuls sur la couverture, non ?
- Merci beaucoup.
Voilà le gentil commentaire de mon ami.
C'est aussi une tendance chez moi… Ni le uke ni le seme n'ont d'expérience. Il faut dire qu'en ce moment, il y a beaucoup de jeunes hommes au coeur pur.
Bonne nuit petit ours. Thème: "Deux hommes vierges"
Mais le plus intéressant, c'est l'homme qui se cache en eux !! Ce que j'aime, ce sont les personnages inexpérimentés mais virils.
Je souhaité remercier toutes les personnes qui m'ont idées à fabriquer ce livre, à commencer par mon éditeur mais aussi les graphistes, les commerciaux, les libraires qui vendent et enfin vous, cher lecteurs !!!
Je ferait tout pour continuer à écrire des histoires qui vous détendront avant de dormir !! Continuer à me soutenir !!
A partir de la page suivante, retrouvez une histoire bonus. C'était Nica Kitabeppu, l'auteur de Dining Table.

Grosse erreur de débutant de ma part, j'avais oublié qu'avec les boys love il ne faut jamais se contenter de ne lire que le début de la 4ème de couverture. Si j'avais lu en entier la quatrième, je n'y serais pas allée. J'aimais l'idée de suivre un gamin qui va être élevé par son grand frère, son petit ami et leur coloc. Ces trois adultes travaillent dans un restaurant. Cuisine et grandir dans un cadre lgbt sont deux thématiques qui m'attiraient beaucoup. En revanche, un enfant grandissant avec trois parents et ayant même une relation très fusionnel avec l'un d'eux pour moi lien du sang ou pas c'est ton parent point. Et non devenu ado/adulte, tu ne couches pas avec un de tes pères. Je n'aime pas l'idée de romantiser cela, lien du sang où pas on ne couche pas avec un membre de la famille dans laquelle on a grandi. C'était une évolution d'histoire trop problématique pour moi, je n'aime pas ce genre d'apologie.

Une lecture décevante.
Les dessins sont jolis, et les personnages plutôt sympathiques...et c'est tout. Déjà l'auteur m'a perdu à la 3ème page, en voulant faire un couple d'un gamin de 18ans et du meilleur ami de son père. Désolé ce trip là c'est sans moi. Les réflexions du petit ami du père à ce sujet sont assez malaisantes. C'est dommage, la petite famille était mignonne, mais non.
La suite du volume contient l'histoire du père et de son petit ami actuel (à savoir, l'autre père du gamin. Suivez, s'il vous plaît). Elle m'a plu un peu, mais c'était un peu trop 18+ à mon goût. A chaque fois, je trouve que ces scènes sont mal amenées. [Ah, et le prochain BL où je lis la phrase "je vais pas pouvoir me retenir" ou un équivalent, c'est décidé, je le fous aux ordures.] Les dernières histoires sont sans intérêt, et ne servent qu'à faire du remplissage.

Meh/20.