En fait, ce soir-là, j'ai réussi à comprendre le sentiment d'égarement profond des parents qui rentrent après avoir laissé des marmots turbulents livrés à eux-mêmes.
Déjà, la porte était enfoncée. Gros moment de panique. Je me rue à l'intérieur et j'ai droit à une mini crise cardiaque: Fumiyo est étendue sur le sol, inconsciente, le mange-crasse assis sur le ventre en train de lui lécher la figure, Shinkin est au téléphone et demande une ambulance... Et Gekkô, ce foutu kyûbi contemple la nounou d'un air intrigué.