Trente femmes, détenues dans un sous-sol, tenues en joue par des policiers, sous le joug de gardiennes au pluriel et d'un garde prétorien au singulier. Dans les cellules de ciment, nonobstant l'obscurité, les princesses prisonnières captent de préférence les « fulgurances, éclats, activés dans les zones occultes ». Elles saisissent la lumière, s'en font une joie... La suite de cette critique à lire sur mon blog :
Lien :
http://notesvagabondes.wordp..