La grâce d'une cathédrale : Bourges

Tout pour exaspérer, malgré des parties valables (par Jourd'heuil, Nauleau, Lours). D'abord, en intro, un prêchi-prêcha orienté bigots par Maillard, l'archevêque de Bourges (non, merci. L'archéologie n'a rien à voir avec les grenouilles de bénitier, et il y a incompatibilité ontologique entre les sermons à la gomme d'un prélat post-conciliaire et les bâtisseurs du XIIe siècle inspirés par saint Bernard). Ensuite, un baratin par le pire président du pire conseil départemental (ex-général) que le Cher ait connu de mémoire de Berrichon. Comment? Ces gens-là qui ne font RIEN, mais alors RIEN pour le département (et encore moins pour le patrimoine) iraient ici pousser leur chansonnette? C'est à mettre des coups de pied où je pense. Autissier, Maillard, dégagez! Enfin, on attendait mieux, étant donné les auteurs spécialisés, d'un livre consacré à l'une des plus belles cathédrales du monde.