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sur 691 notes
Je fais écho à une critique de iz43 que je viens de lire et d'apprécier. Je ne me souvenais même plus de ce livre et puis ça m'est revenu en lisant sa très bonne critique.

Ce dont je me souviens, c'est que j'ai lu Stéphanie adolescente, alors que certaines de ses préoccupations faisaient écho aux miennes, et que j'avais bien aimé. Puis je me souviens qu'un jour j'avais appris que ça avait été écrit par un homme, vieux de surcroît, et que je m'étais sentie trahie et dégoûtée, je n'aime pas non plus qu'on se moque de moi...
Plus âgée j'ai aussi lu Manuella, sans savoir que c'était lui, Labro, le vieux qui s'était fait passé pour Stéphanie et c'était franchement pas génial ! Ça se lit bien, sans plus.

Tout ça pour dire qu'en tant que femme, je me demande ce qui peut pousser un homme de plus de 40 ans pour l'écriture de Stéphanie, et plus de 60 ans pour celle de Manuella à se mettre ainsi dans la peau d'adolescentes obnubilées par leurs menstruations et leurs premiers émois sexuels ; et je ne suis pas sûre d'avoir envie de le savoir.
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Si je vous disais, là, tout de suite, qu'en réalité je ne suis pas une jeune (voire très jeune) belge, namuroise, brune et célibataire. Mais que je suis mariée, deux enfants, vivant avec un labrador dans une belle maison quatre façades en brique sur un terrain de dix ares (maison typiquement belge). Ou encore que je suis un mec de cinquante piges. Ou, pire, sacrilège ultime, que je suis blonde. Ou enfin, que je suis réellement, comme j'en ai été accusée, une équipe de douze personnes chargées de faire croire que mon blog est réel alors qu'Anaïs n'existe pas.

Que feriez-vous ?

Crieriez-vous au scandale ? Demanderiez-vous à être remboursés ? Quitteriez-vous mon blog à jamais ? Porteriez-vous plainte pour escroquerie ?

Et bien voilà comme je me sens. Escroquée. Grugée. Arnaquée. Trompée sur la marchandise. Avec comme un goût aigre de cornichon en bouche.

Car, je l'ai appris en 2007…. Stéphanie. Cette chère Stéphanie. Cette drôle de Stéphanie. Cette émouvante Stéphanie. Cette ado à laquelle je me suis associée, qui m'avait comprise, qui couchait sur papier mon ressenti exact. Cette ado qui avait eu le talent d'exprimer les angoisses et les rêves de tous les ados. Et qui avait été éditée. Qui m'avait fait rêver (et, pour la petite histoire, ébaucher quinze journaux intimes indignes d'être publiés un jour, même par le journal de l'école). Stéphanie, donc, qui avait écrit « des cornichons au chocolat ».

Stéphanie n'existe pas.

Stéphanie était en fait Philippe Labro. Un mec. Un adulte. Pas une ado. Pas la jolie ado de la couverture du livre.

Un homme.

Mes illusions s'effondrent.

Je suis anéantie. Stéphanie est morte. Elle n'est jamais née.

Moi je pensais lire Stéphanie l'ado, je lisais Labro l'adulte. Cela fait toute la différence. Ma vie aurait peut-être été différente si je n'avais lu le livre de « Stéphanie ». Ma vie aurait sans doute été différente. Tout bien réfléchi, je n'aurais pas lu ce livre, s'il avait été écrit par un homme. Un homme qui écrit le journal d'une ado, ça ne rime à rien. Et si je ne l'avais pas lu, je l'aurais regretté. Enfin, pas vraiment regretté, peut-on regretter une chose que l'on ne connaît pas ? Mais cela aurait été dommage, de manquer les « Cornichons au chocolat ».

Parce que les Cornichons au chocolat, c'est mon adolescence, et sans doute la vôtre, tellement bien écrite, drôle, tendre, sensible, émouvante. Et tellement vraie. Offrez-le à votre fille. Lisez-le, même si vous avez quitté votre adolescence hier… ou avant-hier.

Ce livre est devenu culte.

Alors, tout compte fait, je ne porterai pas plainte.

Il faut absolument que je relise ce livre… ABSOLUMENT...

Alors je l'ai acheté, et relu...

Et bien, il n'a même pas vieilli, ce livre. Mais pas du tout. Certains livres, certains films, vieillissent mal. Ou plutôt nous ne vieillissons pas avec eux, et en les revoyant, les relisant, quelques années plus tard, on se demande comment ils ont pu nous toucher, nous faire rire ou pleurer.

Les cornichons au chocolat, ça n'a pas vieilli.

J'ai retrouvé les émotions de l'époque. le chat Garfunkel. L'Autre. Les parents faussement indifférents. La tristesse. Les rêves. La solitude. L'espoir. Tout ce que j'avais ressenti à l'époque, quant j'avais l'âge de stéphanie, à quelques années près.

Et bien finalement, j'ai pris 24 ans, mais je n'ai pas changé. J'ai aimé. J'ai ressenti sa tristesse, ses rêves, sa solitude, son espoir. Que je partageais à l'époque. Que je partage encore maintenant. Et j'ai pleuré. A la fin. Comme avant.

D'ailleurs là je pleure encore. Alors je vais me moucher, si vous permettez.
Lien : http://www.le-celibat-ne-pas..
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Comment dire ce que je ressens sans paraître trop virulente ?

Le résumé ne tiendra qu'en quelques lignes:

-Stéphanie une ado de presque 14 ans, attend ses règles avec impatience. Parce que dans son groupe de copines dont le prénom se termine en ie, elle est la dernière à ne toujours pas être une femme.

- Suivent de longues heures d'observations dans le miroir des wc de l'entrejambes de Stéphanie.

- Heureusement son chat Garfunkel qui sait si bien l'écouter lui remonte un peu le moral parce que ses parents la délaissent complètement et sont sur le point de divorcer.

- Discussions avec les copines c'est quoi le sexe et le plaisir sexuel et des témoignages sur les hommes gros pervers qui montrent leur zizi.

Cela passe pour être le journal intime d'une ado, Stéphanie (c'est parce que Steph de Monaco chantait comme un ouragan à cette époque???)

Sauf que ce n'est pas le journal d'une ado. Philippe Labro s'est éclaté à se faire passer pour une ado rajoutant même une préface où il donne forces détails sur ladite Stéphanie.

C'est mal écrit. Quand on veut imiter le journal d'une ado il faut quand même garder une certaine qualité littéraire. Ce qui est loin d'être le cas. Des répétitions, une pauvreté de vocabulaire, des tournures maladroites (une ignorante ignare), ça, truc, utilisés plusieurs fois dans la même page, des phrases de 10 /12 lignes.

Ca c'est pour le style.

Se prendre pour une ado ce n'est pas si simple. Il en connaît lui des filles qui disent se peindre la gueule à la place de se maquiller. Toute nana qui se respecte ne dira jamais ça, même Nabilla.

Les filles de 13 ans ne sont pas stupides et sont capables d'écrire des textes qui se tiennent.

Je suis une lectrice qui n'aime pas que l'on se moque d'elle (dans le style Labro pardon Stéphanie, qu'on se foute de sa gueule). non ce livre n'est pas une "tuerie".

J'ai beaucoup apprécié l'étudiant étranger ou un été dans l'ouest. J'avais déjà baissé les bras avec Manuella qu'on m'avait offert. Là, c'est juste le coup fatal qui m'est porté.

Finalement il n'y a que le titre qui m'a plu.
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Contrairement à beaucoup de lecteurs ici, je découvre ce livre en tant qu'adulte. J'avais beaucoup entendu parler de l'auteur mais je n'avais jamais franchi le pas de le lire. Et bien c'est une pure déception… L'écriture est laborieuse, alourdie par de nombreuses répétitions à mon sens inutiles et je pense que ce livre a mal vieilli!
Je pensais pourtant replonger dans les années 80 que j'ai connues même si je n'étais pas encore tout à fait une ado. Mais rien ne me permet de me sentir proche de cette fille, rien ne me «parle» dans ce livre et je crois que cela vient en grande partie du style qui m'agace car peu travaillé. Je me suis ennuyée dans cette lecture où pour moi tout sonne faux.
J'ai lu de nombreux romans jeunesse où les personnages sont des ado et s'expriment à la première personne, beaucoup m'ont séduite. Ici ça ne fonctionne pas.
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Je fais partie de cette génération qui a vu l'Encyclopédie Universalis trôner fièrement sur les étagères des grands-parents, derrière une jolie vitrine fermée à clé, habitée de poupées du monde entier et de tout un tas d'objets improbables qui, parfois, me fichaient une frousse pas possible.

"Si l'un des enfants fait des études, vous serez bien contents d'avoir investi ! " avait lancé le commercial qui fleurait la jolie comm'. Ce fut l'argument décisif ! et voilà comment mes grands-parents ont acquis à crédit une encyclopédie en 12 volumes, fin du fin de l'accession, par les classes sociales ouvrières, à la culture avec un grand C.

Et puis, comme aucun des enfants n'en avait fait, d'étude, il n'était sûrement pas question que l'un des petits-enfants aux mains sales touchent au précieux fruit de leur labeur. Quand les petits-enfants ont fait leurs études, eux, Universalis était plus que dépassé et google a détrôné le fin du fin, qui fut revendu, à la mort de pépé et mémé, une misère lors d'un vide-grenier mémorable…

Je fais partie de cette génération dont les parents recevaient chaque mois la superbe sélection France Loisirs, vendue de force par un autre commercial qui avait, lui aussi, flairé la comm'. J'ai une petite dent contre France Loisir qui fait pourtant de bien beaux efforts pour racheter sa cause !

La Soupe aux cailloux, Des Cornichons au chocolat, Jamais sans ma fille, pauvres (mais uniques) fenêtres culturelles qui illuminaient la vie terne et grise des smicards dans les années 80, si l'on veut bien excepter le faste petit écran qui trônait dans le salon et dont la novlangue tournait en boucle du matin au soir dans l'appartement un peu kitch. Je suis sûre que maman ne les lisait pas, mais je voyais bien qu'elle s'empourprait dès qu'un invité reconnaissait "LA" sélection, posée négligemment sur un meuble bas bien en vue.

Et puis, il y a eu plus tard, beaucoup plus tard, Irving et Une Prière pour Owen et là, s'en fut trop, trop épais ce livre, trop intello, trop tout quoi, l'abonnement fut résilié sur-le-champs et Irving me fut donné en pâture, à moi qui me donnait des airs d'intellectuelle. Alors Irving entra dans ma vie et je n'ai plus jamais quitté Owen.

Il faut savoir tout ça, vous voyez, pour comprendre le sentiment qui fut le mien lorsque je croisai la version Poche de ces Cornichons au chocolat dans une boîte à livres qui ressemblait plus à un trou à rat qu'autre chose, perdue qu'elle était dans la cité miteuse que je traversais ce jour-là. ça m'a fait chai-pas-quoi, le coeur m'est remonté dans la gorge et j'ai senti comme des brûlures étranges qui me piquaient l'estomac ; mes mains s'en sont emparé comme d'un trésor honteux. Et ce jour-là, je vous jure, j'ai balancé, dans la boîte à livres totalement désertée, au moins dix petits albums pour enfants, les beaux livres que mes enfants chéris ont lus et relus des milliers de fois, je voulais que tous les enfants de cette cité puissent se partager ces albums, en échange des Cornichons au chocolat.

Ce journal intime d'une jeune fille de 13 ans au parler franc et au verbe haut a fait remonter en moi bien des souvenirs, des bribes de vie, des morceaux choisis enfouis si profondément que je me suis sentie, à plusieurs reprises, étonnée d'avoir pu les retrouver dans les méandres de ma mémoire. Je ne sais si c'est un vrai journal intime, mais il a des faux air de l'Attrape Coeur, version fille. Il offre un accès privilégié à l'adolescence par le prisme de leur propre voix, cette jeunesse que, comme une peinture abstraite, on contemple sans jamais vraiment la comprendre...
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L'intérêt de ce livre ce serait qu'il soit réellement un journal intime tenu par une lycéenne parisienne, mal dans sa peau, ou plutôt mal dans sa famille... Il n'en est rien... Je me souviens que lors de la sortie de ce livre, il y avait eu une effervescence médiatique, le journaliste Philippe Labro, présentant ce manuscrit comme une révélation littéraire... Un journal écrit par une ado de 13 ans. En fait, cela a très bien fonctionné pendant un temps, même si à la lecture du texte on est surpris par la maturité de l'ado qui tient la plume, le style est maladroit, et les préoccupations de la demoiselle semblent ne pas être celles d'une gamine de son âge, mais qu'en sais-je après tout? et une ado des années 80 n'avait certainement pas grand chose à voir avec une ado de ma génération... Question de milieu sans doute aussi, et je n'avais pas la moindre idée de ce qui pouvait se passer dans une famille très aisée habitant un quartier assez huppé du 17 ème arrondissement de Paris, dans les années 80... Dépassée par mon temps, mon âge, une éducation différente, une approche des événements aux antipodes de ce que pouvait vivre l'héroïne de ce cahier.
Quoi, qu'il en soit, le document est faux, c'est un canular, un roman écrit par le journaliste lui-même, donc le texte perd toute crédibilité et une grande partie de son intérêt.
Divertissant sans plus...
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Je connaissais en partie ce roman pour avoir lu des extraits parus dans OK Magazine, mais j'étais moins maline que Stef car moi je lisais les pages des Chanteurs "déglingos". En revanche je trouvais dégoûtant ses passages aux toilettes sans parler de ses sandwichs farfelus d'où le titre du livre. Ses drames peuvent apparaître mineurs mais ils sont propres à toute génération. Notre regard est maintenant attendrissant sur une époque révolue, celle de notre adolescence. Chose étrange je me sens plus proche d'elle aujourd'hui qu'hier. Nostalgie quand tu nous tiens...
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Je ne m'attendais à rien ne débutant ce série, hormis le fait de découvrir la plume de Philippe Labro, grand écrivain français que je n'avais encore jamais lu. Mais sans doute me suis-je trompée de roman pour une première entrevue avec l'auteur, qui a arrangé son écriture pour ce texte haut en couleurs. En effet, lors de sa parution, Des cornichons au chocolat était signé Stéphanie. Un pseudonyme utilisé par l'écrivain pour faire croire que la narratrice, également protagoniste du récit, en était également l'auteure. Durant de nombreuses années, les lectrices étaient certaines de découvrir la vraie vie de Stéphanie, ses déboires, ses malheurs, ses craintes, ses petits bonheurs. Ce n'est qu'en 2007, soit plus de vingt ans après, que Philippe Labro avoue que l'histoire de Stéphanie n'a jamais existé, qu'elle sort tout droit de son imagination.

Mais qui est Stéphanie, me diriez-vous. Stéphanie est une jeune fille de treize ans, qui se confie à la première personne du singulier dans des petits carnets à qui elle s'adresse. Elle y raconte son quotidien de fille unique, délaissée par ses parents, souvent moquée par ses copines, un peu différente des autres enfants, mais pas totalement non plus : elle se cherche, se questionne, se compare aux autres. Comme toutes les adolescentes de son âge, elle s'intéresse aux règles, aux garçons, aux relations sexuelles, à l'amour… On s'attache à cette jeune fille solitaire, on souffre avec elle face à ses tourments : des parents totalement absents, qui lui laissent pleine autonomie à seulement treize ans, regrettent de l'avoir engendrée, la maltraitent, la rabaissent constamment. J'ai été émue face à cette situation désastreuse.

Heureusement, dans ses tourments, Stéphanie peut compter sur Garfunkel, son fidèle chat, à qui elle se confie abondamment, avec qui elle communique en langage chat ; mais elle peut aussi compter sur l'Autre, un garçon plus jeune qu'elle, handicapé, qui reste cloitré dans sa chambre sans en sortir. Un beau message de solidarité, d'empathie et d'entraide.

J'ai néanmoins trouvé le récit plat. Sans doute celui-ci a-t-il mal vieilli (il date de 1983), les mentalités ont évolué, la société a changé, plus rien n'est comme avant. Aucune action majeure ne vient dynamiser l'histoire, si ce n'est la fugue finale de la jeune fille, qui, là aussi, se déroule avec lenteur et longueur. de plus, j'ai trouvé que Philippe Labro rabaissait par moments Stéphanie et par extension les jeunes filles dans leur ensemble : à treize ans, en 2021, les filles ne sont plus des idiotes, elles comprennent le monde, la société, elles savent réfléchir par elles-mêmes. Certains passages semblaient montrer le contraire et faisaient le portrait d'une adolescent de neuf ou dix ans et non treize.

Un faux journal intime d'une jeune fille de treize ans, qui pourra peut-être parler à certaines filles du même âge, bien que j'en doute fortement. le récit a mal vieilli, il s'étire en longueurs et s'éloigne des moeurs de la société actuelle. Première rencontre littéraire avec Philippe Labro assez décevante...
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Je ne vais pas vous mentir, cette lecture remonte à mon adolescence...
C'est un cadeau que j'ai reçu pour mes 12 ou 13 ans, car je porte le même prénom que son auteur :)
Le titre me laissait perplexe, trop bizarre mais finalement je me suis retrouvée dans ce portrait de jeune adolescente confrontée aux différents changements de son corps, de son esprit...

Je ne peux vous parler que de mon souvenir qui est très bon et qui me renvoie à une période charnière de ma vie. Cela reste une délicieuse lecture que je conseille aux jeunes filles.
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Des cornichons au chocolat est un livre qui m'a beaucoup marqué lorsque je l'ai lu, adolescente. Je me souviens qu'il me parlait incroyablement. Je viens de découvrir, grâce à Babelio, que c'est en fait Philippe Labro qui l'a écrit. Surprise, déçue ? Je ressens des sentiments partagés par cette découverte. Quelque part en effet, une partie du mythe ("mythe" est tout de même un bien grand mot) acidulé que me laissait ce roman s'évanouit parce qu'il semblait réellement écrit par une adolescente. Mais du coup je me dois de saluer le grand talent de Labro qui, comme dans l'Etudiant étranger, a su véritablement transcrire ce moment charnière du passage de l'enfance à l'âge adulte et qui plus est, au féminin. Ce roman date un peu, mais, maintenant mère d'un adolescent, il me semble que l'adolescence d'il y a 30 ans n'a pas vraiment changé.
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