Six « livres », six chapitres, regroupés dans la nouvelle « prisonnier de ses désirs », soit au final une courte histoire de 100 pages imprimées à peine si on enlève les espaces et les sauts de lignes inutiles entre chaque phrase. Stratégie commerciale ? Prendre le lecteur pour un pigeon ? C'est mon impression en tout cas.
Pour le contenu, perte de temps totale. le scénario aurait pu être intéressant s'il avait été traité correctement. Ici tout est plat, rien n'est creusé, les personnages ne sont pas charismatiques pour un sou, les réactions et comportements sont peu crédibles…
Quant à la plume, même sans être foncièrement désagréable, elle reste très scolaire, avec des redondances exaspérantes. L'orthographe et la syntaxe sont respectées, mais cela ne fait pas tout.
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