D'entre les morts

Les premiers retours sont plutôt positifs c'est donc moi qui vais lancer un pavé dans la mare.
Si j'ai adoré "Les poupées" et "Hurlements" que j'avais trouvé grandioses et ingénieux,eh bien là je n'ai pas été embarquée...
Je me suis perdue...Mais complètement,déjà quand y a trop de personnages c'est vrai que j'ai beaucoup de mal donc ceci vient de moi.
Ça commençait bien pourtant.
Par la fin qui m'a donné des sueurs froides ,des chapitres courts et rythmés mais vite j'ai perdu le fil et
l'histoire en elle-même ne m'a pas convaincue et je pense être passée complètement à côté.
Je me demande même si j'ai tout compris et je m'en sens "neuneu".

Trop est l ennemi du bien.
Des rebondissements il y en a,du bluff aussi,bcp de bluff (trop?),des retournements de situation que je n'avais pas envisagé parce que, pour moi,trop tiré par les cheveux.

Attention,je ne suis pas là pour dénigrer le roman d'Alexis Laipsker, je montre juste où j'ai été déçue parce que oui forcément ce rendez-vous que j'attendais tant,ne c'est pas passé comme je le voulais.
Ça arrive hein.

MAIS c'était tout de même un grand plaisir de retrouver la formidable patience et le côté gueulard de Venturi (peut-être que je me reconnais un peu en ces traits 😅)
Ainsi que sa répartie avec notre petite Olivia,qui a pigé elle au moins contrairement à moi ce qu il c'est passé dans cette histoire!
Je continuerai bien évidemment à suivre Alexis Laipsker qui est un écrivain talentueux et je vous dirai surtout de vous faire votre propre opinion.
Pourtant,j'étais bien concentrée monsieur le juge je vous jure mais Elle est passée par ici et est partie par là et Elle est revenue de l'autre côté et....comment je m'appelle déjà ???

Je concluerai sur ces mots : "Bon vous venez?!"

Voici donc le dernier volume des aventures de Venturi et Menthe à l'eau… Cette lecture me laisse une impression mitigée : le prologue fait craindre le pire pour nos héros et laisse présager une intrigue prenante.

Malheureusement, même si je reconnais à Alexis Laipsker un certain talent à bluffer et à nous mener en bateau, je ne suis pas totalement convaincue. Certains éléments de l'histoire se règlent beaucoup trop facilement (je pense en particulier à la situation administrative de Venturi…) et il me semble que l'ensemble tient grâce à des bienheureux hasards (je ne peux en dire plus au risque de spoiler).

Bref, je lirai sans doute le prochain car j'avais beaucoup aimé les 2 précédents, mais je reste sur ma faim pour cet opus.

Ceci est le troisième tome avec le duo Venturi et Montalvert (alias Menthe à l'eau) et c'était vraiment un réel plaisir de les retrouver. J'adore le personnage de Venturi et sa verve incomparable, le cow-boy m'a encore surprise par sa répartie et sa légendaire pugnacité.

Autant j'ai adoré les deux premiers tomes qui sont « Les poupées » et « Hurlements », autant pour le coup, j'ai beaucoup moins apprécié celui-ci et croyez-moi j'en suis la première déçue. La période actuelle étant très compliquée pour moi au niveau privé, je pense que cela a dû également jouer son rôle.

On retrouve notre duo sur une enquête menée à tambour battant, pas de répit pour les braves et le roman commence très fort avec une scène de crime à faire pâlir un médecin légiste.

J'ai beaucoup aimé la première moitié du roman, j'étais hyper accrochée au récit et puis au fil des pages, au fil des hypothèses avancées par Montalvert et Venturi, je me suis complètement perdue (je ne me suis pas encore retrouvée d'ailleurs, où m'avez-vous emmenée Mr Laipsker ? )… Trop de personnages, trop de retournements de situation, trop de pistes qui partent un peu dans tous les sens, le trop est l'ennemi du bien…

J'ai le cerveau qui est parti en surchauffe et moi qui n'aime pas ne pas comprendre les choses (dans tous les domaines d'ailleurs), c'était un peu frustrant de me retrouver avec des points d'interrogation plein la tête : qui a fait quoi à qui et dans quel but ? Qui poursuit qui ? Qui sont finalement les victimes et les bourreaux ? Je me suis emmêlée les pinceaux et j'ai terminé la tête dans la gadoue.

Pour le coup, on peut dire que l'auteur nous a ficelé une intrigue vachement bien complexe (un chouia trop) avec des protagonistes plus bizarres les uns que les autres, la folie n'a décidément aucune limite.

Too much is too much...
Je suis très mitigée sur cette lecture. Ce nouveau tome du duo Menthe à l'eau/Venturi est, pour moi, du même acabit que les précédents : un polar distrayant pour se détendre, à lire en quelques heures.
J'ai trouvé dans ce roman beaucoup trop de clichés et de dialogues qui sentent la facilité. À plusieurs reprises, je me suis fait la réflexion qu'Alexis Laipsker était peut-être un gros beauf dans le fond, avec ces répliques trop faciles et trop lourdes pour être crédibles.
Tout est trop !
L'intrigue est franchement tirée par les cheveux, au point de perdre le lecteur. Les heureux hasards qui permettent à l'intrigue d'évoluer sont un peu trop présents.
J'ai le sentiment que l'auteur a voulu pousser le curseur plus loin que dans ses précédents romans en multipliant les rebondissements et en compliquant sérieusement le récit. Trop, selon moi.
Je n'ai pas trouvé que c'était un de ces polars bien ficelés qui promènent le lecteur de long en large jusqu'au superbe twist final qui nous met KO. Selon moi, nous sommes plutôt dans un ersatz de grand polar.
Peut-être que Alexis Laipsker a voulu viser un peu trop haut ?
Néanmoins, j'ai passé un moment distrayant, une lecture facile et rapide pour une soirée détente

❤️❤️❤️🤍🤍

Voilà un thriller incontestablement haletant qu'on s'empresse de dévorer pour connaître le final tellement on se sent manipulé par l'auteur de manière diabolique.
Dès la première scène, totalement incroyable, j'en suis restée bouche bée, totalement abasourdie, ça promet me direz-vous!

Pourtant malgré les tensions extrêmes, l'enquête complexe, le rythme soutenu, j'ai trouvé que cette fois l'auteur en avait fait un peu trop. Les intrigues qui s'entremêlent sans être totalement en lien, les rebondissements pas toujours crédibles ont fait que parfois je me suis sentie perdue, à me demander même si j'avais tout compris dans l'histoire (je me pose encore des questions sur qui a fait quoi exactement, et même en me refaisant l'histoire je m'emmêle les pinceaux). Une partie de l'intrigue pour moi est en trop et pas assez plausible, en tout cas je suis passée à côté c'est certain.
J'en ressors un peu frustrée car, malgré son immense talent, Alexis Laipsker ne signe pas là son meilleur roman.
Ce qui ne m'empêchera pas d'attendre les prochains avec impatience car ses précédents romans ont tous été des coups de coeur!

Alors qu'il court après deux hommes en cavale sur un terrain vague, le commissaire Venturi est alerté par un SDF. Ce dernier aurait vu une dame blanche errer autour d'une maison. Divagation ? Défonce ? Venturi écoute son 6ème sens et entre dans la masure.
Dans la cave, c'est l'horreur.
Dans cette cave, une sculpture corporelle. Impossible de le décrire autrement sans spoiler !
Accompagné de Montalvert, dite Menthe-à-l'eau, un Venturi à la santé précaire se lance dans une course contre la montre.

Glauque à souhait, comme un bon cru Laipsker. La base, me direz-vous. On retrouve dans ce roman ce qui fait le talent de l'auteur : le rythme sportif, des personnages aux caractères marqués, une appétence pour dire les choses sans filtre.

Alexis Laipsker propose ici une intrigue complexe qui demande un haut niveau de concentration. Trop complexe à mes yeux. Un roman casse-tête puzzle qui frôle la surenchère. Je lis partout : « D'entre les morts », c'est du lourd ! Je confirme, mais pas dans le même sens.

À ce sujet, Venturi manque cruellement de finesse. Son côté ronchon/bougon peut avoir un côté attendrissant s'il est mesuré, mais il est l'exemple du mec avec qui je n'aurais aucune envie de travailler ! Parfois, je me demande s'il ne se fatigue pas tout seul... Il n'a pas le charisme d'un Servaz ou d'un Sharko. Encore moins d'un Adamsberg, adepte de la répartie fin et intellectuelle.

Son pendant féminin, Menthe-à-l'eau, ne suffit pas à renverser la vapeur. Trop légère face au mastodonte.

Ce que je retire du roman : le prologue, diaboliquement efficace !

Bilan :
Une rencontre ratée entre moi et ce thriller.
J'avais adoré « Hurlements », je serai donc au rdv pour le prochain !