D'entre les morts

Ce nouveau thriller d'Alexis Laipsker fera à nouveau couler beaucoup d'encre, peut-être même davantage que les précédents. C'est pourquoi mon billet ne sera pas long, d'autres s'en chargeront. D'abord il est impossible de parler de l'intrigue sans spoiler. de plus, l'auteur a tissé une intrigue très complexe qui exige beaucoup de concentration, ce qui n'est pas toujours le cas pour un thriller. Aborder l'intrigue ne peut donc pas se faire en quelques mots, aux lecteurs de la découvrir.
Comme beaucoup d'autres lectrices et lecteurs, j'aime bien ce duo d'enquêteurs hors normes et leurs joutes verbales et j'espère que l'auteur les mettra en scène à l'avenir également, malgré les apparences. Parlant d'apparences, ce roman en est truffé, l'as du poker mettant tout son talent au service des apparences, des faux-semblants et des leurres et balade ses lecteurs tout au long de ces 400 pages. Tous ces rebondissements nous font passer un bon moment de lecture, une fois de plus. Mais la question que je me pose, après ce déferlement de twists « D'entre les morts », c'est jusqu'où il pourra encore nous conduire à l'avenir tout en restant crédible.

Découverte des romans d'Alexis Laipsker, au travers de cette nouvelle enquête menée par le flic bougon Venturi (toute ressemblance avec les rôles habituels d'un acteur-catcheur des années 60, dont le prénom est Lino, étant sans doute volontaire) et une profileuse plus posée, Montalvert, dite menthe à l'eau.
Les deux vont se trouver à essayer de trouver une logique criminelle à un cadavre affreusement mutilé et présentant un aspect bien tordu en fait il s'agit d'un corps reconstitué à partir de huit corps, situation que j'ai déjà lue par ailleurs – je n'arrive pas à retrouver dans quel roman, si quelqu'un le sait je suis preneur , une pille de cadavres carbonisés dans une forêt et des personnes présumées mortes qui réapparaissent dans des captations vidéo.

Le début est un peu gore, mais cela se calme ensuite. La forme est efficace, l'auteur sait entretenir son suspense en basculant de courts chapitres en courts chapitres vers de nouveaux rebondissements. Les dialogues entre les deux personnages principaux sont truculents et constituent un des points forts du livre. La lecture est donc plutôt plaisante.

Mais à trop mélanger des intrigues parallèles qui finalement ne sont pas totalement liées, la crédibilité du récit en prend un coup. D'entre les morts est un polar dynamique, vite lu, mais qui pêche à force « d'en faire trop ». le polar de détente est bien là, mais il ne restera pas dans les mémoires par l'habilité de sa construction.

J'attendais avec impatience de retrouver le duo d'Alexis Laipsker Victor Venturi/Olivia Montalvert, alias le cow-boy/Menthe à l'eau et c'est donc avec une certaine fébrilité que je me suis plongée dans son petit dernier : « D'entre les morts ».
Le ton est donné d'emblée… ce thriller sera éprouvant !
Et la suite ne laisse pas de répit : les scènes de crimes s'enchainent avec des cadavres mutilés… ou pas… mais vous comprendrez en le lisant.
« Toutes ces femmes mortes. C'était à cause d'Elle. C'était pour Elle qu'il faisait ça. Pour qu'Elle vive. Pour qu'Elle revive. Pour qu'Elle revienne… d'entre les morts. »
Une intrigue bien tordue avec des victimes sans lien apparent et une mise en scène surréaliste… Voilà de quoi donner bien du fil à retordre aux services de police et à la psychocriminologue…
Le rythme s'accélère au fil des pages et les enquêteurs semblent avoir toujours « un temps de retard »… avec en toile de fond des incendies ravageurs et incontrôlables de tout leur secteur…
Un criminel insaisissable sur fond d'Enfer, voilà ce que vous propose Alexis Laipsker dans son dernier thriller « D'entre les morts ».
Malgré ma grande attente (trop grande peut-être… ?), je n'ai pas été totalement séduite par ce nouveau thriller ☹
Un peu trop de tout !
Trop de cadavres, trop de personnages, trop d'intrigues entremêlées… mais aussi (et ça m'a désolée) trop de dialogues caricaturaux avec un Cow-boy ronchon à en devenir détestable et une Menthe à l'eau « soumise » à en devenir risible, voire exaspérante… du point de vue de sa personnalité, pas de ses compétences ! le petit chapitre sur les sorcières et l'origine de ces croyances, en particulier l'aspect « émancipation féminine », est intéressant mais semble bien éloigné de l'image que j'ai ressentie d'Olivia.
Malgré cette petite déception, je resterai une lectrice assidue de l'auteur… dont j'attendrai le prochain opus avec encore plus d'impatience 😊

Encore un thriller !
Oui mais pas n'importe quel thriller, et non, c'est du Alexis Laipsker.
Alors je vous préviens, si vous commencez la lecture de l'un de ses bouquins, prévoyez d'avoir du temps devant vous.
Pourquoi ?
Parce qu'une fois que vous avez démarré votre lecture vous ne pourrez plus vous arrêter.

Ça commence toujours fort et tout s'enchaîne très vite, sans temps mort avec notamment la recette des chapitres courts autour de trois ou quatre angles de vue différents. le meurtrier, la victime, le flic, l'adjoint, le ou les collatéraux, dans un rythme endiablé.

La construction du roman et de l'intrigue est finement calculée. Tout est imaginé pour balader et maltraiter le lecteur qui cherche sans cesse sa respiration.

Le duo Venturi-Montalvert apporte un peu de fraîche et un peu d'humour dans cette ambiance parfois suffocante et ce rythme endiablé.

Une véritable partie de poker.

J'ai lu « D'entre les morts » de Alexis Laipsker
Dans ce thriller nous allons trouver le Cowboy (Victor Venturi, commissaire ) et Menthe-à-l'eau (Olivia Montalvert, psychocriminologue). Ils sont émouvants et hors-normes à la fois. Tout leurs vies, leurs émotions sont décortiquées d'une main de maître par l'auteur.
Les autres personnages du livre sont tous aussi atypiques. Décrits à la perfection.

Quant à l'histoire elle est abracadabrante…surtout à partir de la seconde partie du roman. Il va vous falloir être extrêmement attentif et concentré sous peine de vous perdre.
L'histoire donc, commence par la fin, et nous sommes immédiatement sur la sellette. Sans vouloir trop détailler sous peine de spolier, il y a plusieurs protagonistes qui se mêlent les uns aux autres. Finalement le puzzle prend forme petit à petit.

On sent qu'Alexis Laipsker aime écrire dans la complexité et qu'il y prend du plaisir.
Si vous êtes amateur·trice de sensations fortes, ce roman est fait pour vous.

Un corps d'une femme retrouvé, mais voilà ce n'est pas seulement une victime, mais bien huit qui reconstituent un seul corps.
Qui sont les victimes ?
Une scène abominable l'auteur est machiavélique et n'a aucunement peur de choquer ses lecteurs.
Le commandant Victor Venturi dit le Coboy et sa partenaire Montalvert sa psy préférée qu'il surnomme Menthe à l'eau vont devoir s'armer de patiente pour cette affaire hors du commun. Un humour propre à eux qui nous délectent. On les adores.

L'auteur nous met dans le bain dès la première page, il commence par la fin et là, c'est le choc pendant quelques secondes, trop spectaculaire pour être vrai en mon sens.
L'histoire est diabolique, un vrai page turner angoissant, le stress monte de pages en pages avec de nombreux cliffhangers à couper le souffle.
Une plume incroyablement fluide et des chapitres très courts ne nous laissent aucun répit.
Le récit est extrêmement complexe, je m'y suis perdu par moments pourtant, je connais les petites manies de l'auteur.
Pour moi, l'histoire est poussée à son extrême, un peu trop qui ne la rend que peu crédible sous de nombreux points.
Un véritable sac de noeuds qui retourne littéralement le cerveau.
Alors le suspense est à son comble effectivement, je n'ai rien vu se tramer, le final m'a stupéfaite, je l'avoue.
Une très bonne lecture qui se dévore, mais avec beaucoup top d'exagération qui m'a procuré une sensation déstabilisante, un peu capharnaüm malheureusement.
J'attends quand même avec grande impatience le prochain.

« Bon, vous venez ?? » On va retrouver le Cow-boy (Victor Venturi) et Menthe-à-l'eau (Olivia Montalvert) ! Je ne sais pas vous, mais moi, cette idée me remplissait de joie ! Parce que ce sont deux personnages que j'adore, parce que le tome précédent était l'un de mes coups de coeur de 2023, et parce que j'apprécie tout particulièrement l'écriture piquante de l'auteur. En voilà plein de bonnes raisons de m'y plonger, la dernière étant la réception grâce à une Masse Critique Babelio (Merci !) !

Cette fois, Venturi et Montalvert font de nouveau face à un psychopathe tordu. Des petits morceaux cadavres par-ci, par-là, une personnalité a priori insaisissable, et, pour changer, Venturi est sur la sellette. de quoi donner le ton dès le départ, d'autant que l'auteur ouvre le bal sur une scène qui mettra en grave danger les plus cardiaques d'entre nous, avant de rembobiner l'histoire pour mieux nous laisser mariner ! le procédé a ceci d'efficace qu'il est hors de question de rester avec nos interrogations, alors la seule solution, c'est d'avancer dans la lecture ! En parallèle, on va suivre une jeune femme qui réemménage dans la maison de son enfance où, a priori, un drame a secoué sa famille. C'est un coin perdu, et la demoiselle a l'air un peu paumée. Elle est aussi un chouïa parano… ou pas, peut-être ? Dans les deux cas, elle nous fait flipper, elle aussi ! Très sincèrement, c'est très difficile d'en dire beaucoup plus sur l'histoire pour ne rien dévoiler. Je préfère vous laisser découvrir !

On arrive à la partie un peu compliquée de cette chronique, alors je vais arracher d'un coup le pansement, parce que franchement, ça va me faire très mal d'écrire ça ! Mais je n'ai pas été entièrement convaincue par l'intrigue… Pour ne rien dévoiler, j'ai eu l'impression que le trop était l'ennemi du bien. Bien entendu, c'est un sentiment bien personnel ! Et, au vu des retours tous plus convaincus les uns que les autres, j'aurais pu passer ce point sous silence, mais ce blog est d'abord et avant tout mon propre carnet de lecture, alors j'y livre en toute sincérité mes émotions de lecture !

Et des émotions, il y en a eu plein d'autres, très positives, celles-là ! L'enquête est dynamique et ne manque pas de rebondissements, comme l'auteur nous y a habitués. On ne s'ennuie pas une seconde !

Et du côté des personnages, des dialogues, tout est un véritable régal ! J'ai souri, ri, complètement adoré ! Car là réside la patte qui fait que, même un peu moins convaincue par le fil conducteur, je passe un excellent moment malgré tout, du début à la fin ! Depuis ma première lecture, j'ai constaté que Laipsker a ce « truc » dans son écriture qui me cueille à chaque fois, ces répliques hilarantes, ces échanges savoureux entre deux héros qui sont tellement différents et pourtant tellement complémentaires… et pourtant, ce ne sont pas des échanges creux ou vides de sens. Ceux qui aiment lire entre les lignes auront de la matière aussi 😉 ! Ajoutons cette capacité de m'accrocher à mes pages, avec aucune envie de les lâcher… alors oui, un petit bémol, cette fois… mais une lecture que j'ai malgré tout vraiment appréciée, me donnant déjà envie d'être à la prochaine !
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Nous sommes donc ici dans le 3ème volet des aventures de Victor Venturi, et je conseille à tous de lire précédemment "Les poupées" puis "Hurlements" même si en soi la compréhension de l'histoire n'en serait pas entachée. Mais il serait dommage de passer à travers l'évolution de nos deux personnages principaux, Venturi alias le Cow-boy et Olivia Montalvert alias Menthe à l'eau.

Le résumé est court, aussi je n'en fais pas de personnel cette fois-ci.

Résumé : Toutes ces femmes mortes.
C'était à cause d' Elle.
C'était pour Elle qu'il faisait ça.
Pour qu' Elle vive.
Pour qu' Elle revive.
Pour qu' Elle revienne... d'entre les morts.

Fan inconditionnelle de l'auteur depuis ses débuts, c'est avec joie et impatience que je me lance toujours dans le "petit" nouveau d'Alexis Laipsker.

Dans ce nouvel opus, après un prologue de fou, comme toujours, Alexis Laipsker sait dès les premières lignes (oui oui toujours !) nous captiver et à l'aide de chapitres courts nous ferrer ! Ce sont deux des qualités de sa plume. Ceci sans même vous parler de chaque chapitre qui finit sur un cliffhanger 😱

Que dire de plus ? C'est cette fois encore machiavélique, et il va falloir se montrer très attentif (surtout dans le dernier quart) car l'auteur pourrait bien vous perdre sinon ! Il s'en est fallu de peu pour moi car c'est un véritable casse-tête, une enquête très complexe. Nos nerfs sont mis à rude épreuve dans cette enquête qui nous balade de macabres découvertes en sordides courses poursuites !

Les personnages, on les adore, et ici l'humour entre le Cow boy et Menthe à l'eau est encore un niveau au-dessus et j'ai adoré leurs joutes verbales !

C'est encore une fois une réussite, avec un petit effet too much quand même pour moi à la fin mais qui tient malgré tout la route et un thème qui devient de plus en plus récurrent dans les thrillers mais c'est un ressenti tout à fait personnel. En tout cas rien qui ne m'empêche évidemment de vous le conseiller absolument !

D'entre les morts est le 5ème roman d'Alexis Laipsker, qui s'est vite fait une place dans l'univers des auteurs de thrillers . Un succès fou depuis son premier livre le mangeur d'âmes , qui d'ailleurs vient d'être adapté en livre ( sortie prévue dans 3 jours) .
Nous retrouvons pour la 3eme fois - après les poupées et Hurlements - un duo très attachant, vite devenu un de mes duos préférés ( peut être bien le premier d 'ailleurs ) Venturi et Olivia , surnommée Menthe à l'eau ( très bonne idée d'avoir donner ce surnom , ça permet de la rendre encore un peu plus inoubliable) . Ces deux personnages à eux seuls sont une des grandes forces de cette série , et je pourrai lire leurs aventures les yeux fermés sans lire le résumé avant .
Je les ai donc retrouvés avec plaisir, et c'est ainsi que j'ai fait un aussitôt acheté, (quasiment) aussitôt lu . D'autant qu'il faut souligner que la couverture est superbe .
Je n'avais lu que de très bons retours avant de tourner la dernière page, ce qui ne m'avait pas étonnée. Mais comme il m'arrive souvent d'avoir des avis plus mitigés sur des gros succès ..
Après une grosse frayeur dès la 2eme page , on a le droit à des crimes atroces : des femmes retrouvées mais avec des parties marquantes, tandis que sur une autre scène de crime, une pauvre femme est retrouvée reconstituée.. .
Débute alors pour Venturi , menacé par sa maladie de plus en plus présente et visible, et Olivia, une enquête difficile , qui va s'avérer solide et riche en rebondissements.
Malheureusement, cette enquête m'a plusieurs fois perdue, mais je ne peux pas en dire plus . Une impression de ne pas avoir tout compris qui me laisse un goût amer . Une intrigue trop alambiquée pour moi , avec en plus un air de déjà vu dans le dénouement, et j'ai vu arriver un des rebondissements . Surement est ce du aussi à une thématique qui ne m'attire pas ( avec la aussi un air de déjà vu)

Par contre , les dialogues entre nos deux héros sont toujours percutants et drôles, franchement c'est un vrai plaisir de lire leurs échanges , comme dans un match de ping pong ou chacun rend coup pour coup, dans le respect toujours , même si Venturi peut parfois s'avérer très pénible ( mais ça participe à son charme) . J'adore la relation entre ces deux personnages si différents, mais avec finalement des interactions surprenantes et qui prennent plus de profondeurs à chaque tome .
On peut imaginer, ou espérer , que la série soit adapté aussi en film, et je me plait à me demander quels acteurs pourraient interpréter ce duo . Bon dommage, François Civil est trop jeune ..

Je ne sais pas si ce duo va encore pouvoir exister longtemps mais c'est certain que je serai triste le jour ou l'auteur décidera de passer à autre chose .

Même si l'intrigue m'a moins emballée dans ce nouveau tome, ça reste du très bon thriller, hyper bien écrit , efficace . du haut niveau comme toujours.
Vivement le prochain .

Je découvrais Laipsker avec ce "D'entre les morts". Et je dois avouer que j'ai été quelque peu désarçonné dans ma lecture. Si d'emblée on adhère au duo Venturi et Olivia ; et à ces deux scènes de crimes sordides, j'avoue m'être perdu par la suite.
A force de coups de théâtre et de faux semblants, je me suis arraché les cheveux pour comprendre l'intrigue et qui était qui en réalité.
Ce n'était peut être pas le bon roman pour découvrir la plume de Laipsker dont on vante les mérites. Il faudra donc que j'essaye de nouveau avec soit Les Poupées, soit Hurlements.