L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes

L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes a été une lecture très agréable, toute en légèreté. Avec beaucoup de tendresse et une pointe d'humour, l'auteur y esquisse à petites touches le portrait de femmes émouvantes qui ont su trouvé un certain équilibre malgré leurs blessures. J'ai également apprécié qu'il ne s'agisse pas de portraits figés : chacune évolue à sa façon, de manière plus ou moins marquée, parfois malgré elles.

Et même si j'aurais aimé un peu plus de temps dans cet Immeuble... afin d'en apprendre un peu plus sur les unes et les autres, j'ai passé un très bon moment avec ce roman.
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L'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes est "tenu" par "la Reine", telle une ruche rempli d'abeilles, elle ne sort plus de l'immeuble et veille sur ses locataires et au respect de ses règles. Les règles sont simples, il n'y en a d'ailleurs qu'une seule: aucun homme ne doit franchir le portail de l'immeuble. Jusqu'au plombier qui est une femme. le seul "mâle" toléré est Jean-Pierre, le chat d'une des occupantes.
On découvre au fur et à mesure de la lecture, les raisons qui ont poussées chacune de ces femmes à renoncer à l'amour. Chacune étant bien évidement persuadées du bien fondé de sa décision.
Mais lorsque Juliette emménage dans l'immeuble, elle qui est toujours à la recherche de l'amour, elle va venir enrailler la machine et semer le doute dans l'esprit de ses voisines.

chaque personnage est tantôt attendrissant, tantôt touchant, et c'est avec légèreté que l'on se prend à espérer que la règle sera transgressée.
J'ai trouvé qu'il manquait un peu d'action mais le livre se lie très rapidement, les chapitres sont très courts et s'enchainent avec fluidité.

On connaissait "Le coeur des hommes".
Avec la Casa Celestina, il y a l'immeuble des femmes qui ont renoncé à l'amour.
Point d'hommes dans cet immeuble, telle est la règle d'or à respecter et pourtant, comment ne pas y penser ?
Simone, Giuseppina, Rosalie, Juliette et la Reine de cette ruche, fan de Bach, vont nous le démontrer.
Suite au départ de Carla en Inde, Juliette va venir s'installer dans ce drôle d'immeuble et découvrir l'étrange pacte qui unit ses locataires.
Car elle, elle ne veut pas renoncer...ni aux hommes et surtout pas à l'amour !
Ces cinq femmes sont tour à tour, tendres, attachantes, drôles, émouvantes.
Une véritable quête d'idéal et de bonheur absolu.
Un moment divin !

Une histoire de femmes qui n'ont pas renoncé aux hommes, ni à l'amour. Disons plutôt qu'elles se sont résigné à l'idée de ne plus jamais plaire.... Mais qu'elles aimeraient bien un homme dans leur vie quand même ;)
Au début c'est un peu longuet, ce qui fait peur pour un livre d'à peine 200 pages... Mais finalement on rentre dedans, on découvre les personnages, leurs histoires, les raisons qui les ont poussé à vivre dans cet immeuble où les mâles sont "persona non grata" sauf le chat Jean-Pierre.
Une lecture agréable sans plus , pas inoubliable, pas à jeter aux orties non plus. C'est de saison , c'est l'été , le moment de ne pas se prendre la tête ( si tant est qu'il y ait un moment dans l'année qui nécessite ou demande qu'on se prenne la tête ...)

Quelle amusante idée que ce roman sur des femmes qui auraient renoncé à la gente masculine. Beaucoup d'humour, de tendresse et super agréable à lire, je l'ai fini très vite sans m'en rendre compte.

Les femmes du roman sont attachantes et on s'y retrouve forcément dans certains comportements, certaines réflexions. Juliette une jeune femme de 31 ans arrive dans un immeuble où 5 femmes âgées vivent déjà , elles vont se confier à elle et raconter leur histoire. Ce que j'ai aimé c'est le réalisme de chaque histoire, chaque expérience, ça pourrait être notre histoire et ça ajoute au plaisir de lecture. Les thèmes abordés sont la culture, les différences entre générations, les choix de vie, la famille.

Une belle histoire de solidarité, d'entraide, d'amour, de courage, tout en émotion. C'est drôle et positif même si les hommes se font égratigner un peu, et il n'y a pas de larmoiements. La fin est totalement inattendue et surprenante, pas de cliché et frais c'est le roman garantit sans prise de tête. Ca ferait un film très sympa.

VERDICT

A mettre dans la valise c'est absolument le roman de l'été . A offrir, à une amie, une soeur…

Un roman bien agréable à lire entre deux lectures plus difficiles. La tendresse, la nostalgie, la tristesse, la désillusion, l'espoir, l'amour, l'humour apparaissent au fil des pages . Quant aux personnages, féminins d'abord, elles sont attendrissantes, elles essaient de vivre après une déception. Contrairement à ce que le titre laisse imaginer, les personnages masculins sont bien présents et j'ai fait leur connaissance à travers les confidences de leurs compagnes ce qui apporte une note originale au roman. Ce livre est surtout une très belle description de l'amitié féminine. Leur complicité, leur entraide, leur franchise, leur délicatesse fait plaisir à lire, à imaginer.
r.

Autant l'écrire tout de suite: la lecture de l'immeuble des femmes qui ont renoncé aux hommes m'a profondément ennuyée.

Comme c'est un roman feel good, je pensais passer un agréable moment sans prise de tête. Que nenni !
Je pensais que ça allait être drôle, j'ai trouvé ce roman amer. Je pensais que ça allait être tendre, j'ai trouvé le récit beaucoup trop superficiel pour ça. Je pensais que j'allais suivre la route d'une bande de nanas survoltées, indisciplinées, effrontées... je me suis retrouvée avec une communauté de frustrées de tous âges. Et que ça rabâche que les hommes gnagnani et gnangana tout au long du bouquin. Mélangeant allègrement les anciennes histoires de coeur foireuses, la famille sicilienne macho, les parents absents, les amants de passage peu reconnaissants... on fait un bel amalgame et on conclut que les femmes vivent mieux sans homme. Sauf qu'aucune d'entre elles ne semble heureuse. Chacune à ses propres névroses, le seul compagnon de toutes ces femmes est un chat et même lui prend la poudre d'escampette par moment.

J'avais tant aimé Eh bien dansons maintenant! du même auteur que j'attendais peut-être trop de cette lecture.

L'écriture de Karine Lambert n'est pas à remettre en cause en tant que telle, c'est plutôt la construction du roman qui pêche par son manque de profondeur ce qui induit qu'on ne s'attache à aucun personnage et que rien, jusqu'à la fin, ne m'a conquise.

Lassant
Le sujet était bien au début mais hélas on se lasse trés vite, trop de répétitions de blabla pour pas grand chose. Les filles ne sont pas marrantes et je dirais même des tètes a claques. Livre pour passer le temps sur la plage ou les transports en commun

Mon avis : Pourquoi une telle lecture ? pour son titre à rallonge évidemment. C'est hypnotique, je suis irrésistiblement attirée par ce genre de roman mais plus souvent quand le titre est un peu plus loufoque mais je me demandais ce qui allait se passer dans cet immeuble.

Reine est une ancienne danseuse étoile qui a renoncé aux hommes et il est bien convenu qu'il en sera de même pour toutes les locataires. le seul homme qu'elle tolère c'est Jean-Pierre le chat de Simone.

Quand Carla part en voyage à Bombay, elle sous loue l'appartement à Juliette. Son arrivée va bouleverser la vie bien tranquille des quatre femmes.

Quelle déception, je me suis ennuyée. Après c'est facile à lire, les histoires passées de leur amour déçue sont sympathiques et hétéroclites mais je m'attendais à quelque chose de plus piquant, de plus grinçant, de plus drôle, j'ai trouvé le récit fade et les personnages survolés.
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C'est frais, c'est doux, un roman à lire sur une plage en été.
L'idée de départ est intéressante. Un roman sans prétention, mais qui assure le job. de jolis portraits de femmes, un quartier, une maison et des idéaux, vous mélangez et obtenez un premier roman sympathique.