Le pays du nuage blanc, tome 2 : Le chant des esprits

Pour ma part, je pense que ce n'est pas évident de conserver la même ligne d'attraction du lecteur dans une série littéraire. Ici, l'auteur a réussi à m'emporter dans ce 2è tome et j'ai ressenti le même plaisir à la lecture que pour le 1er tome. On s'attache aux personnages, on vibre aux rebondissements et comme des amis, on a hâte de les retrouver dans le 3è volume.

Je continue ma saga de pavés néo-zélandaise. le deuxième tome, le chant des esprits, m'a moins plu, malheureusement. On est pourtant dans les mêmes codes que le premier, mais sans le sel de la nouveauté. du coup, je me suis un peu lassée. Je vais lire le troisième tome pour clôturer la trilogie, en l'honneur du premier tome qui m'avait beaucoup divertie.

Cette seconde partie met donc en scène les petits enfants des héroïnes du départ, ainsi que leurs arrière petits enfants, qui je suppose, seront les héros du troisième tome.

Il faut quand même s'accrocher pour suivre qui est qui. Mis à part ça, il est agréable de découvrir la vie de la première et de la deuxième génération née en Nouvelle-Zélande après l'immigration de leurs aînés. J'ai de la peine pour le peuple maori, décimé et exploité par les blancs qui pensent que tout leur appartient. Leur culture imprègne tout de même l'histoire, à divers degrés selon les parties et les tomes. C'est très intéressant.

J'ai mis longtemps à finir cette brique, j'espère que la troisième se lira plus vite. Peut-être que je me lasse de la Nouvelle-Zélande, mais j'ai l'impression que je me lasse plutôt du style de l'auteur.

Ce 2me tome continue de nous faire decouvrir la Nouvelle Zélande. Les colons britanniques installés dans le 1er tome, fondent des familles, developpent des affaires ou pas.o
O est dans l Ère industrielle. Les petites filles de nos 1ers personnages connaissent des moments difficiles.le rythme de ce livre est palpitant, difficile de s arreter on a toujours envie de decouvrir le chapitre suivant. Des rebondissements vous attendent.hate de decouvrir le 3eme.

Si vous lisez le Pays du Nuage Blanc, vous ne pourrez très certainement pas résister à l'idée de retrouver ces personnages attachants. Vous plongerez donc dans le Chant des Esprits. Dans ce tome-ci, on entre aux coeurs des croyances polynésiennes, des rivalités de tribus et du problème d'intégration des colons. La Nouvelle-Zélande continue son développement commercial et les familles s'agrandissent. le roman oppose les deux tempéraments bien différents d'Elaine et de Kura, toutes deux cousines, et leurs destins correspondent à leurs conceptions de la vie.

Cette histoire est très agréable à lire et l'écriture fluide et captivante de Sarah Lark y est pour beaucoup !

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Après avoir suivi les aventures de Gwyneira et d'Hélène dans le pays du nuage blanc, ce sont à présent celles leurs petites-filles que nous découvrons dans le chant des esprits, Lainie et Kura.

On ne retrouve pas seulement dans ce second tome la densité du premier, mais également ses qualités et ses défauts. Si les descriptions sont toujours aussi sublimes, les répétitions de l'auteur n'en sont pas moins pesantes. La richesse de l'histoire est encore au rendez-vous, mais conserve les mêmes faiblesses.

Tout comme dans le premier volume (si ce n'est davantage), les personnages secondaires sont négligés : les frères de Lainie sont à peine mentionnés, Jack n'apparaît qu'à de très rares occasions... Il est tout de même agréable de retrouver, même brièvement, les héros du Pays du nuage blanc, sauf peut-être Gwyneira.

Si tous semblent être restés fidèles à eux-mêmes, ce n'est pas son cas. J'ai eu du mal à la cerner tout du long. Comment elle, qui n'a jamais pu aimer Paul en raison de ses origines et qui a toujours paru posséder une certaine fierté, peut-elle s'incliner de la sorte face à la capricieuse Kura ? Comment peut-elle surtout lui porter une telle affection alors que la jeune fille est aussi exécrable que son père ?

L'histoire, bien qu'aussi riche et intéressante que la précédente, manque un peu d'originalité. Certains passages sont très plaisants (notamment la vie de Lainie dans l'établissement de Mme Clarisse, les efforts de Tim pour l'apprivoiser ou encore la réconciliation progressive des deux cousines) et d'autres trop peu développés. Je pense notamment aux retrouvailles entre Zoé et Lainie, desquelles j'attendais beaucoup quand j'ai vu ressurgir la première nommée, mais qui s'achèvent finalement aussi vite qu'elles sont survenues.

Pour rebondir là-dessus, les heureux hasards déjà présents dans le tome 1 le sont également dans celui-ci. Les personnages finissent toujours tôt ou tard par se retrouver au même endroit, au même moment, si bien qu'on voit venir ces éléments de l'intrigue longtemps à l'avance.

L'originalité n'est pas transcendante non plus, puisqu'il est facile de faire de gros parallèles avec le pays du nuage blanc. L'une des héroïnes contracte un mariage malheureux avec un mari brutal (Hélène/Elaine... Tiens, tiens !), l'un(e) des protagonistes s'enfuit après avoir commis un meurtre (Paul/Elaine), la happy end où tout le monde se retrouve après quelques centaines de pages de pérégrinations...

C'est donc une histoire qui, comme la précédente, se laisse lire plutôt agréablement, mais qui souffre d'un style toujours aussi pesant et de rebondissements attendus. Contrairement au dépaysement, le suspens n'est pas au rendez-vous.
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Et hop, c'est reparti pour une saison 2 ! En avant vers les vastes plaines de la Nouvelle Zélande où gambadent les milliers de moutons qui font la fortune des éleveurs.
Dans le second volume de cette trilogie, on retrouve les deux héroïnes du "pays du nuage blanc", Gwynera et Hélène âgées d'une soixantaine d'années, qui ont enfin pu parvenir à mener la vie dont elles rêvaient lors de leur débarquement plus de quarante ans auparavant.
C'est autour de leurs deux petites filles que l'intrigue se noue. Celle de Gwynera, la belle et talentueuse Kura héritière du domaine familial mais qui ne rêve que de musique et d'opéra. Celle d'Hélène, la gentille et timide Elaine qui cherche le grand amour et qui voit son avenir brisé quand sa trop belle cousine s'entiche de son fiancé.
Il va leur en arriver des aventures à ces deux cousines que tout sépare ! Elles nous feront vibrer, frémir, sourire aussi.... et nous offrirons un petit zeste de magie en cerise sur le gâteau !
Bien sûr, les personnages sont comme dans le premier volume, trop "taillés à coup de serpe" à mon goût et les méchants trop caricaturaux pour être crédibles.
Bien sûr, les intrigues sont trop prévisibles pour surprendre le lecteur.
Bien sûr, la dernière partie du livre évoque un peu les séries télévisuelles pour jeunes filles romantiques mais néanmoins, on lit ce pavé jusqu'au bout en appréciant la verve de l'auteur qui offre avec ce roman, un honnête divertissement et on se prend à rêver à une adaptation sur grand écran qui aurait l'avantage d'en mettre plein les yeux tant les paysages décrits paraissent somptueux et variés.
Comme malgré un certain agacement devant certains retournements de situation par trop improbables, je n'ai pas "lâché l'affaire", je ne renonce pas à projeter la lecture du Tome 3 (peut-être en hommage à mes feuilletonistes bien aimés Michel Zevaco, Ponson du Terrail, Eugène Sue et consorts...)

J'ai voulu lire ce livre car je gardais un bon souvenir du précédent "le pays du nuage blanc". Cela faisait un moment que j'avais lu ce premier tome, je pensais que les détails reviendraient en commençant le 2°. Malheureusement, ce ne fut pas le cas, dans les premières pages , j'étais perdu, puis peu à peu, je suis rentrée dans l'histoire. Toutefois, je n'ai pas été captivée par l'histoire, il y a même des passages qui m'ont ennuyé. Je ne lirai pas la suite de cette saga.

Une petite déception…


Autant j'avais adoré le Pays du nuage blanc, autant j'ai commencé par être déçue par ce titre. Nous retrouvons nos chères Gwyneira et Hélène, que nous avions suivies tout au long du premier tome. Pour rappel, les deux jeunes femmes étaient arrivées en Nouvelle-Zélande en 1852 pour se marier. Après de nombreuses mésaventures (qui m'ont valu quelques nuits blanches de lecture), elles avaient réussi à s'en sortir.

Quarante ans plus tard, elles sont grands-mères. Kura est une belle métisse qui charme tout ce qui porte un pantalon. Très consciente de ses charmes et de sa voix, elle prétend devenir une grande chanteuse d'opéra et quitter enfin Kiward Station, le domaine familial dans lequel elle étouffe. Elaine est quant à elle une jeune femme plus réservée, un peu naïve. Tombée amoureuse de William, un jeune homme opportuniste, elle se voit larguée pour… sa cousine ! La tension entre les deux jeunes femmes ne risque pas de diminuer…

Premier point, un arbre généalogique n'aurait pas été de trop. Quand comme moi on ne se souvient plus parfaitement des différentes unions, de qui est le fils de qui et de qui s'est marié avec qui, c'est compliqué.
Deuxième point : les deux jeunes filles. Aucune n'est éminemment sympathique. Il en est de même pour les jeunes hommes. Résultat, on n'accroche pas aux héroïnes comme on avait pu le faire dans le premier tome. Ce n'est qu'en apprenant à mieux les connaître et en les suivant sur plusieurs années qu'on finit par s'attacher à elles, et par reprendre goût à cette auteur qui sait quand même manier l'imaginaire avec beaucoup de maîtrise.

Un bilan en demi-teinte donc !
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Voici la suite de la saga familiale « le pays du nuage blanc[ ». Nous retrouvons les personnages du premier volume, mais pour la plupart d'entre eux, ils ne joueront qu'un rôle secondaire, et certains le regretteront sans doute. L'intrigue est centrée sur les petits-enfants et plus spécifiquement deux d'entre eux : Kura (la petite-fille de Gwyneira), et Elaine (celle d'Hélène). Contrairement au premier volume qui dressait de grands portraits de la société, l'histoire est beaucoup plus centrée sur les événements que vivent les deux jeunes filles aux caractères opposés. Les détails du contexte général sont beaucoup moins présents.
[...]
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J'étais contente d'écouter ce 2e tome est j'y ai pris du plaisir, mais je me suis moins attachée aux personnage que dans le premier tome.
On découvre ici Elaine et Kura les petites filles de nos premières héroïnes. 2 gamines très différentes, une sympathique à qui on peut s' identifier et l'autre une espèce de gravure de mode froide et inexpressive.
Autant j'ai pu compatir de la succession de malheur qui arrive à Elaine, autant je n'avais aucune empathie et donc aucun intérêt pour la partie qui concernait Kura... Je me suis donc un peu plus ennuyée..