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3,6

sur 424 notes
Le service des manuscrits dans une maison d'édition est l'endroit où l'on reçoit des milliers de romans, essais, biographies, où l'on cherche la pépite qui pourra gagner un prix littéraire. Cette année c'est le livre de Camille Désencres qui sort du lot, « Les Fleurs de sucre ». Violaine Lepage, l'éditrice responsable de ce service, aimerait bien rencontrer l'auteure car son livre est en lice pour le Prix Goncourt et des meurtres similaires à ceux du livre se produisent. Mais après avoir signé son contrat par courriel, il a disparu.

Ce livre est écrit et construit comme un polars. Ça se lit d'un trait et nous tient en haleine … presque jusqu'à la fin que j'ai trouvé un peu alambiqué. Je me suis dit, tout ça pour ça??? On a l'impression que l'auteur a voulu terminer le livre trop rapidement … Dommage.
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Surprenant/ Captivant/ impossible à lâcher.

« Violaine Lepage, célèbre éditrice, voit le dernier roman choisi par son service des manuscrits entrer en lice pour le prochain Goncourt. le problème c'est que l'auteur/e reste inconnu/e. Et puis, la police vient enquêter car des hommes sont morts exactement de la même façon que dans le livre. »

À lire avant d'écrire l'oeuvre de sa vie.
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Un livre qui narre l'envers des livres (parfaite mise en abyme pour faire sortir du lot un roman). Certains ont presque besoin d'un pansement gastrique quand une lecture leur rappelle le boulot, mais moi j'ai adoré me plonger en dilettante dans ce monde de l'édition qui est mon quotidien (en moins romanesque, je l'avoue). Tout l'art de l'auteur a été de faire passer l'intrigue au second plan (des meurtres commis exactement comme dans un livre à succès dont l'auteur reste introuvable, autrement dit un mystère qui vaut bien d'autres mystères littéraires) et d'ériger en véritable héros de l'histoire ce service des manuscrits d'une grande maison d'édition parisienne, avec ses lecteurs professionnels, ses loups aux dents longues et son lot quotidien de livres qui n'en sont pas encore. Sans crier au génie, j'ai lu avec plaisir cette pseudo enquête qui n'en est pas vraiment une et qui se déroule loin des lieux-clichés propices aux énigmes policières pure souche.
Lien : https://tsllangues.wordpress..
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Antoine Laurain, nous plonge dans l'univers de l'édition, notamment au "Service des manuscrits", à travers Violaine Lepage, célèbre éditrice de Paris.
Violaine décide de publier le roman Les fleurs de sucre de Camille Désencres.
Non seulement elle ne sait pas qui est l'auteur, mais il semble que des meurtres identiques au roman soient perpétrés. de plus, ce roman replonge Violaine dans son passé.

Plus que mitigée sur ce livre. Je ne me suis pas ennuyée, non loin de là, l'intrigue est sympa, mais il y a un petit je ne sais quoi qui me laisse perplexe. L'écriture est bien. Mais je crois surtout que c'est la fin qui me dérange. La chute est, à mon goût, tirée par les cheveux, bâclée et surtout improbable. Mais peut-être est-ce le style de l'auteur, et que ce style un peu décalé est volontaire.
Vous l'aurez compris, je n'ai pas vraiment adhéré.
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Violaine Lepage, célèbre éditrice, reçoit un manuscrit, Les fleurs de sucre, qu'elle publie mais dont l'auteur est inconnu. Quand le livre est sélectionné pour le Goncourt, Violaine part en quête de cet auteur introuvable. Puis, des meurtres se produisent et sont similaires à ceux décrits dans le livre… Que se passe-t-il ? et surtout qui a écrit ce livre ? le roman n'est pas un polar à proprement parler ; il y a bien une enquête policière mais le lecteur n'a pas tous les éléments pour réfléchir de son côté. Bien que le roman soit court (220 pages), j'ai été séduite par les personnages. J'ai surtout adoré être plongée dans l'ambiance de la maison d'édition et découvrir le service des manuscrits. L'enquête est un peu tirée par les cheveux, mais ça reste néanmoins une lecture très agréable.
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J'ai lu ce roman rapidement, comme on suce un petit bonbon acidulé. La douceur des phrases associée à une certaine acidité de l'intrigue en a aiguisé ma perception et accéléré mon appétit de découvrir le dénouement de cette histoire.
Les pages se tournent et la trame apparait d'emblée attachante servie par une écriture élégante émaillée de savoureuses petites digressions de quelques lignes.
Ce jouissif chassé-croisé entre une affaire de meurtre et la vie d'une maison d'édition qui reçoit un manuscrit d'un inconnu digne d'obtenir le prix Goncourt m'a capté instantanément.
La vie personnelle et professionnelle de l'éditrice Violaine Lepage femme énergique et libérée ce qui n'est, soit dit en passant, pourtant pas si facile sera dévoilée, fouillée et ne me laissera pas indifférent.
Antoine Laurain que je suis ravi d'avoir découvert lors de récentes investigations dans la boite à livres de ma commune m'a offert ici un séduisant roman ciselé comme une fleur de sucre de pâtissier mais un peu carnivore tout de même.
Comme je n'y connais rien en matière d'écriture et que c'est un peu le sujet de ce roman je qualifierai le style de l'auteur de « désinvolte étudié » ce qui ne veut surement pas dire grand-chose mais qui pour moi est représentatif d'un écrivain qui maitrise parfaitement son sujet et qui, sans en avoir l'air, sait le mettre en valeur.

« …Ça vous fait jouir de refuser les manuscrits des braves gens et de publier vos copains.
Editeurs = ordures. Ennemis du peuple ! »

Même si Laurain était mon copain, je l'aurais édité quand même pour que vous puissiez gouter à ce petit roman polissé qui a du chien.

Au passage, je remercie la mairie qui a eu la bonne idée de disposer une ancienne cabine téléphonique de l'époque filaire à cet endroit stratégique.
Je remercie également l'inconnu (e) qui a, par sa grande gentillesse pensé à déposer ce roman pour que d'autres s'en régale.
Et enfin, je me félicite de passer tous les jours devant cet édicule qui considérablement enrichit ma culture et qui sans cesse de livres m'élève un monticule.

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Violaine Lepage est éditrice dans une grande maison d'éditions parisienne. Elle découvre avec son équipe un roman bien placé pour remporter le prix Goncourt cette année-là, Fleurs de sucre de Camille Désencres. Mais son auteur veut garder à tout prix l'anonymat, ce qui pose problème si le roman est nommé prix Goncourt. A ce moment-là, le lieutenant de police Sophie Tanche vient interroger Violaine car il y a de très fortes similitudes entre trois meurtres commis récemment et ceux évoqués dans le roman. L'auteur serait-il le meurtrier ? A moins qu'il ne s'agisse d'une affaire de trafic de drogue comme de fortes quantités ont été retrouvées au cours de l'enquête... L'auteur semble en tout cas détenir les clés du mystère.

Je connaissais Antoine Laurain à travers le chapeau de Mitterand et La femme au carnet rouge que j'avais beaucoup aimé. Cela faisait longtemps que je voulais découvrir le service des manuscrits de cet auteur que j'apprécie, d'autant plus que ce roman se situe dans le monde littéraire, dans une maison d'éditions et je suis toujours curieuse quand il s'agit d'un livre qui parle de livres.
J'ai beaucoup apprécié ce roman qui ne ressemble pas aux précédents de cet auteur car il se démarque par son genre plus policier, ce qui m'a d'ailleurs étonnée. Il y a du suspense dans ce livre et je trouve que l'intrigue est bien ficelée quand on connaît le fin mot de l'histoire.
J'ai trouvé intéressantes les références à la nomination du Prix Goncourt, j'ai appris des choses à ce sujet.
Quant à l'écriture d'Antoine Laurain, elle est toujours aussi agréable à lire, ce roman se lit facilement et rapidement, c'est encore une fois pour moi une réussite.
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Après les héros de "la Pâqueline" qui ne savent pas aligner trois mots de Français correct, je suis entrée dans le monde de ceux qui ont le pouvoir de peut-être faire de vous le prochain Goncourt, grâce à Violaine et tout son petit monde perso ou pro dans "le service des manuscrits". La maison d'édition reçoit un jour un manuscrit qu'elle décide de publier où il est question de meurtres qui vont bientôt se dérouler pour de vrai. Parallèlement à l'histoire de l'héroïne, on y découvre une part du quotidien d'une maison d'édition dont le traitement des manuscrits en nombre qui apporte le meilleur de ce roman. Je découvre Antoine Laurain, primé en 2012 pour "le chapeau de Mitterrand" dans ce petit roman (211 pages) à l'écriture sans fioriture. Un roman plaisant qui ne me laissera pas un souvenir immémorable.
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Un titre qui ne peut qu'attirer les amateurs de littérature mais la déception est vite au rendez-vous : une intrigue paresseuse, une écriture sans relief, des personnages artificiels, une chute que l'on voit venir de loin... Un roman court, vite fait, vite lu, vite oublié. On espère retrouver l'auteur du Chapeau de Mitterand plus inspiré.
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Premetto che i gialli non sono x niente il mio genere. Ma qs libro, che ho vinto grazie al simpatico concorso organizzato da @natiora ( grazie ancora !) e che mi ha attirato irresistibilmente con il suo titolo( 😇...😉), non si può definire veramente tale. Direi che è fra il romanzo e il giallo e quindi… non è né l'uno né l'altro ! Peccato, perché la trama potva essere promettente e avrebbe potuto generare un buon libro. E invece ho trovato che molti passaggi, per non parlare dei personaggi, sono inseriti ma appena trattati: sfiorati, quel che basta per metterti in guardia e aspettare qualcosa che puntualmente non arriva. Un'enormità di stereotipi, di caratteri e situazioni già fatti, appena sgrossati e la struttura stessa del libro mi hanno lasciata perplessa…. sembra quasi che l'autore avesse un tempo limite impartito x la stesura decisamente troppo breve e ha annotato le sue idee senza veramente svilupparle.


Je préviens: les polars, ce n'est pas mon truc. Mais ce livre, que j'ai gagné grâce au sympathique concours organisé par @natiora ( merci encore!) et qui m'a attiré d'une façon irrésistible avec son titre(😇 .... 😉), ne peut pas vraiment être défini comme tel. Je dirais qu' il est entre le roman et le thriller, et donc... ce n'est ni l'un ni l'autre ! Dommage, parce que l'intrigue pourrait être prometteuse et aurait pu générer un bon livre. Et au lieu de cela, j'ai trouvé que beaucoup de passages, sans parler des personnages, sont insérés, mais à peine traités : ils sont effleurés, juste assez pour réveiller vos sens et vous mettre en attente de quelque chose qui n' arrivera jamais. Une énormité de stéréotypes, de clichés, de caractères et de situations déjà faits, à peine dégrossis et la structure même du livre m'ont laissée perplexe.... On dirait que l'auteur a eu un temps limité beaucoup trop court pour la rédaction : il a noté ses idées sans vraiment les développer.
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