La collection A petits petons de Didier Jeunesse est une valeur sûre comme ce conte populaire norvégien où il est question de trois boucs qui veulent brouter la bonne herbe des montagnes. Seulement ils doivent, pour franchir le torrent, passer sur un pont de bois où le plus horribles des trolls vit en dessous. Très sympa à lire en faisant différentes voix pour les dialogues entre le troll et les malins boucs. Super !
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Cet album est inspiré par un conte populaire norvégien, et montre trois boucs, du plus fluet au plus replet en train d'affronter un troll. S'ils parviennent à s'en sortir, c'est grâce à leur ingéniosité et à la gourmandise du troll.
Les couleurs sont très marquées, vives, de larges traits noirs entourent les personnages qui sont tous attachants - sauf le troll.
Une histoire très amusante à partager.
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Je commence à devenir fan de la collection "A petits petons" chez Didier Jeunesse ! J'ai vraiment adoré ce conte norvégien qui met en scène trois boucs face à un méchant troll. Grâce à une ruse très simple, les frères boucs échappent au troll et atteignent la montagne, là où l'herbe est bien meilleure. Les illustrations aux traits épais me plaisent beaucoup également...
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Ce conte fonctionne à merveille auprès des enfants ! L'originalité, l'humour, la morale, le nom des personnages, le schéma narratif , le dénouement... tout y est pour faire de ce conte un classique indémodable. Lire ce livre à voix haute est toujours un moment de plaisir. L'idéal est de le lire en adoptant pour chaque personnage une voix différente, mettre beaucoup d'intonation afin de faire ressortir l'humour de la situation.
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Seulement voilà : pour arriver là, ils devaient franchir un torrent, pour franchir ce torrent, passer un pont de bois... et sous ce pont de bois vivait un troll.
Le plus horrible des trolls !
Des gros yeux ronds comme des boutons, le nez long comme un bâton, ce troll était aussi ventru ! et ceux qui passaient sur le pont, il les mangeait tout crus.
et sous ce pont de bois vivait un troll.
LE PLUS HORRIBLE DES TROLLS !
Des gros yeux ronds comme des boutons, le nez long comme un bâton, ce troll était aussi ventru ! et ceux qui passaient sur le pont, il les mangeait TOUT CRUS.
Et si depuis leur gras n'a pas fondu,
Ils sont toujours aussi dOdus.
Holà ! dit le troll,
qui trotte et sabote sur mon pont de bois ?
L'âne et le quincaillier par Jean-Louis le Craver