Rencontre avec la revue Bouts du monde & Kares le Roy
Escales le mois du Voyage chez Gibert Joseph.
Bouts du monde, la revue du carnet de voyage
Willliam Mauxion I Fondateur et rédacteur en chef "Bouts du Monde"
Bouts du monde est une revue trimestrielle née en kiosque en 2008, et qui a refait sa vie en librairie depuis octobre 2010. Elle publie les récits, les photos et les croquis des voyageurs. Dans chaque numéro, une quinzaine de voyageurs nous proposent un regard neuf sur le monde à travers leurs expériences intimes du voyage. Aventures invraisemblables, grosses frayeurs, petits emmerdements ou grands bonheurs, Bouts du monde publie les notes des voyageurs qui dorment dans les petits carnets moleskines ou sur les blogs.
Dans chaque carnet de voyage, les voyageurs nous confient leurs coups de gueule ou leurs espoirs, leur désenchantement ou leur ras le bol, leurs incompréhensions ou leurs étonnements sur les nouveaux mondes qu'ils découvrent. Un ton poétique, drôle, émouvant, parfois grave ou irrévérencieux, qui prend le pouls de la planète.
La revue Bouts du monde est éditée à Angers par la SAS Bouts du monde Editions, une jeune maison d?édition qui réunit des passionnés du voyage, de la photo, des histoires, des livres?
Lien Gibert Joseph: http://www.gibertjoseph.com/catalogsearch/result/?token=b545e224abb1aac2c25dc46110fa61cd9a8b046c&q=Bouts+du+monde&product_type=*
Kares le Roy
Kares le Roy est un photographe et réalistaeur.
"Je suis parti en Juillet 2009 pour traverser l'Asie de Jakarta à Istanbul. A travers mes photos, j'ai tenté de mettre en lumière les peuples qui vivent en marge de la civilisation, que l'on stigmatise ou que l'on oublie.
Durant ce long voyage, j'ai eu la chance de marcher à travers les Annapurnas au Népal, de croiser cette grand-mère et de la prendre en photo en avril 2010. Depuis 1 an, j'ai sorti un livre "56 000 kilomètres - un continent et des hommes" qui retrace tout mon parcours d'Asie du Sud Est jusqu'au Moyen Orient. En couverture de ce livre, le visage de cette femme, que j'ai surnommé : Ma Grand-mère des Annapurnas."
Lien Gibert Joseph: http://www.gibertjoseph.com/ashayer-7057589.html
Lien Gibert Joseph: http://www.gibertjoseph.com/56-000-kilometres-un-continent-et-des-hommes-7057587.html
Kares Le Roy
EAN : 9782954003627
Amu Darya (01/01/1900)
/5
2 notes
Amu Darya (01/01/1900)
Résumé :
Ashayer est une épopée photographique sur les nomades qui peuplent les paysages de l’ancienne Perse et d’Asie Centrale. Inspiré par un premier voyage sur le continent Asiatique, d’où naît un livre 56 000 kilomètres - un continent et des hommes, Kares Le Roy est reparti vers l’Orient. Au cours d’un périple en van qui a duré 16 mois, il s'est immergé dans le monde tribal. Le photographe a partagé le quotidien et les transhumances de différents groupes ethniques qui su... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Ses photos respirent l'immensité, le lointain, le jamais vu sur terre. On y voit des enfants, des femmes, des hommes dont les yeux et les rides nous emmènent vers l'infini de ces déserts rocailleux et de ces montagnes titanesques. Les rares villages sont d'une grande discrétion et ne gênent guère l'harmonie des paysages sauvages. On y sent la route de la soie qu'arpentait jadis Marco Polo, un chemin fait de vents, de poussières et de populations farouches à votre arrivée.
Le peu de gens rencontrés par Kares le Roy sont qashqai, ouzbeks, tadjiks, afghans ou kirghizes. Ils ont tous en commun d'être des nomades chez qui la civilisation a à peine effleuré.
Chaque page est d'une beauté époustouflante, une beauté qui vous rend plus humble dans votre course poursuite au mirifique bonheur. Ces photos sont à la fois sages et violentes. Sages, car le temps s'y est arrêté. Ces nomades savent que l'espace prendra toujours le dessus sur leur condition humaine. Et violentes, car les conditions de vie y sont rudes.
En tout cas, le livre est splendide. le papier, les clichés, les couleurs… tout est travaillé avec le plus grand soin. En feuilletant « Ashayer », vous êtes dans un véritable voyage sans avoir à quitter votre canapé.
Le peu de gens rencontrés par Kares le Roy sont qashqai, ouzbeks, tadjiks, afghans ou kirghizes. Ils ont tous en commun d'être des nomades chez qui la civilisation a à peine effleuré.
Chaque page est d'une beauté époustouflante, une beauté qui vous rend plus humble dans votre course poursuite au mirifique bonheur. Ces photos sont à la fois sages et violentes. Sages, car le temps s'y est arrêté. Ces nomades savent que l'espace prendra toujours le dessus sur leur condition humaine. Et violentes, car les conditions de vie y sont rudes.
En tout cas, le livre est splendide. le papier, les clichés, les couleurs… tout est travaillé avec le plus grand soin. En feuilletant « Ashayer », vous êtes dans un véritable voyage sans avoir à quitter votre canapé.
Citations et extraits (1)
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Tuer le nomade c'est tuer la part de rêve où toute société va puiser son besoin de renouveau.
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