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sur 696 notes
Mon premier "Arsène Lupin"...Dois-je avouer que ce choix trouve son origine dans le souvenir d'un feuilleton télévisé de mon enfance....Oui je l'avoue, la nostalgie fait toujours son retour.... Thierry La Fronde, Belphégor, Graine d'Ortie, Chéri Bibi, Jacquou le croquant, l'homme du Picardie...et puis le secret de cette île de Sarek. Ok. Nous sommes d'accord, cCela n'a pas vraiment d'interet , il est vrai... La curiosité donc de lire Maurice Leblanc ! Il faut l'avouer, le récit a, disons le, quelque pu vieilli..C'est un Arsène Lupin détective "patriotique" que l'on découvre. Il est vrai que l'action se déroule en 1917. "les sales boches" en prennent pour pour leur grade. Les personnages sont presque caricaturaux. Les situations improbables. le sous marin, la radium ne viendront pas au secours du récit...
La curiosité, est,... (tout le monde le sait)....je vous laisse devinez.
Astrid Shriqui Garain
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Bref, une très bonne redécouverte et je suis ravie d'avoir testé l'audio pour Arsène Lupin (je vais donc continuer). Cet épisode présente à la fois les caractéristiques d'un bon roman de la série (grands stratagèmes, humour, aventures échevelées), et une ambiance oppressante teintée de surnaturel très originale et qui renouvelle agréablement la saga.
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Qui trop embrasse mal étreint.

Malgré une postérité télévisuelle réputée, L'Île aux trente cercueils apparaît comme un salmigondis indigeste. Cette terrifiante plongée dans les légendes de l'inhospitalière Sarek avec sa ceinture d'écueils et ses souterrains secrets aurait pu -aurait dû- me ravir. Une atmosphère de cauchemar térébrant, des messages de l'au-delà, d'abominables crucifixions et une touchante victime éplorée... tout était réuni pour réjouir le lecteur impressionnable que je suis.

Las, Maurice Leblanc y multiplie les invraisemblances pharamineuses, les coups du sort abracadabrants et les élucidations capillotractées. Les méchants, concupiscents et sadiques, éructent leurs noirs desseins et les cruelles aux yeux charbonneux et aux mains crochues fulminent leur haine quand les gentils, très gentils, dégoulinent d'une générosité melliflue. Cerise sur ce gâteau indigeste, l'apparition en nécromant bouffon d'Arsène Lupin alias Don Luis Perenna ne fait qu'ajouter du grotesque au ridicule.

Avec ce compendium turgescent du grand oeuvre lupinien, Leblanc se fourvoie et galvaude ce qui faisait sa force : la légèreté et l'élégance.

Insupportable !
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Ce roman traite de meurtres horribles, de tortures et de superstitions malsaines. Mais en 1919, date de sa parution, on n'écrivait pas de façon "glauque" et la narration aujourd'hui très désuète évoque plutôt les écrits d'Agatha Christie ou une enquête du commissaire Maigret. On n'a pas du tout peur mais ça reste divertissant.
A noter un "racisme anti-Allemands" de bon ton à l'époque, ainsi que des explications pseudo scientifiques sur les "bienfaits" de la radioactivité.
Un roman somme toute très daté. Dans les écrits de Maurice Leblanc, je recommanderai donc de s'en tenir aux romans d'Arsène Lupin de facture plus classique.
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Adolescent j'ai eu ma période Arsène Lupin et L'île aux trente cercueils m'avait marqué par la quasi absence de Lupin mais surtout par son côté gothique, fantastique et sanglant proche de l'horreur qui détonait dans les aventures du gentleman.
Evidemment depuis j'en ai vu et lu bien d'autres et la frayeur se réduit à un agréable stress mais le roman se tient toujours et les multiples rebondissements fonctionnent.
Deux parties distinctes : la première entraîne la malheureuse Véronique d'Hergemont dans les pires tourments, les évènements diaboliques s'enchainent sans pitié avec la mort pour seule issue. Dans la deuxième, rassurons-nous, une intervention inattendue permettra de punir les méchants, de rendre son bonheur à Véronique et surtout d'expliquer au lecteur pantois tous les dessous de l'affaire.
Leblanc, on le sent, a dû s'amuser à écrire cette histoire pleine de fureur en s'appuyant sur de vieilles légendes druidiques pour jouer avec les nerfs du lecteur émotif dans les premiers chapitres, dans la fin du roman quand il se sent obligé de donner toutes les explications rationnelles il est moins convaincant, et finalement on regrette de ne pas refermer le livre avec quelques mystères à méditer.
Ce qui est intéressant aussi c'est de voir combien le roman est de son temps : l'écriture est surannée à peine sortie du XIXème mais ce n'est pas pour déplaire, la germanophobie est à son comble (la parution est de 1919) et l'abominable Vorski est bien sûr teuton, enfin le scientisme de l'époque est bien représenté en donnant la clé de l'énigme.
Bon divertissement dont les héros sont l'île imaginaire de Sarek et ses secrets ainsi que le lecteur lui-même qui doit mobiliser son imagination pour suivre cette aventure géographique

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L'Île aux trente cercueils est un roman policier et fantastique de Maurice Leblanc dans lequel apparaît, dans la deuxième partie, son personnage d'Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur. Ce roman paraît en feuilleton dans le Journal du 6 juin au 3 août 1919, puis en librairie en octobre 1919 aux Éditions Pierre Lafitte. À noter qu'en 1922, il sortira en deux volumes : Véronique et La Pierre miraculeuse. le rythme est feuilletonnesque, rempli de rebondissements, avec une intrigue qui se fonde sur des légendes et des personnages retors. Ce livre a un peu vieilli et ne m'a que moyennement captivé.
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Lecture dans laquelle je n'ai pas réussi à me projeter ni à adhérer. Je suis restée hermétique à cette histoire. Pourtant le titre me titillait.


En 1902, Antoine d'Hergemont refuse de donner en mariage sa fille Virginie au comte Alexis Vorski, personnage à la mauvaise réputation. Vorski force alors les choses en enlevant la jeune fille et en l'épousant contre la volonté du père. Un enfant naît un an plus tard de cette union. Mais le père de Virginie pour se venger de l'affront, enlève l'enfant. Malheureusement le grand père et l'enfant firent naufrage. Virginie folle de douleur entre dans les ordres, quittant un mari néfaste, violent et infidèle.
Quatorze ans plus tard, Virginie quitte les ordres et découvre par hasard au cinéma ses initiales dessinées sur une cabane en bretagne.

La jeune femme décide de mener l'enquête et se rend bientôt sur l'île de Sarek aussi appelée l'île aux trente cercueils. Là, elle apprend que son père et son fils François sont encore en vie. Malheureusement, de terribles événements se produisent sur cette île maudite. les cadavres s'accumulent rapidement sur fond de prophétie et de malédiction et de légendes bretonnes.


Trop de mystères pour moi. Trop de rancunes aussi et de vengeance que je n'ai pas trouvées très réalistes. le début de l'histoire m'a semblé un peu tirée par les cheveux. Je n'ai pas réussi à m'attacher à Virginie.
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Un bon début avec du suspense, des légendes bretonnes, des superstitions, un cadavre qui disparaît, des meurtres... et au moment où l'action est à son sommet... Arsène Lupin débarque et c'est la catastrophe. Cela a été un tel contraste que j'ai failli abandonner la lecture ! Je regrette de ne pas l'avoir fait !! Quelle déception !
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j'ai lu ce roman, il y a longtemps. après avoir vu la série tv.

c'est mon préféré de l'oeuvre de Maurice Leblanc.
Arsène Lupin, n'est qu'un prétexte dans ce roman, il n'apparait pratiquement pas. et n'apporte rien a l'intrigue.
il n'apparait pas dans la série tv d'ailleurs.
pourquoi Leblanc a cru bon de l'ajouter dans ce roman......
mystère.
il a pourtant écrit d'autres romans du genre sans son héros .
alors..
mais j'aime beaucoup ce roman, un peu "gothique" "celtique"
j'aime le relire de temps en temps.
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Je n'avais aucun souvenir de ce livre lu il y a déjà plusieurs années. Et pourtant j'ai trouvé que c'est une excellente mouture. Lupin n'intervient que vers la fin pour dénouer une intrigue particulièrement bien ficelée. Gouailleur comme à son habitude, il confond avec verve et panache un méchant de la pire espèce; la démonstration est épique bien que l'on doive passer outre à certaines invraisemblances. Dans l'ensemble ce genre de huis-clos est fort bien réussi, sans temps mort et le héros ne déçoit pas, même s'il se fait discret. Jusqu'ici, c'est sans le tome de la série que j'ai le plus apprécié.
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