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155 pages
Harlequin (01/12/1979)
3.5/5   1 notes
Résumé :
Filippo Rosetti, comte de Venise, est immensément riche et dangereusement beau. Les femmes autour de lui ne manquent pas... et la jolie Claudia Medina n'a pas l'intention de laisser s'envoler un parti aussi intéressant.
Pourtant, le comte semble attiré par la jeune Erica Rayburn, blonde Anglaise qui ne croit pas au prince charmant. Mais elle va se retrouver mêlée, bien malgré elle, à une sombre affaire de vol de bijoux où elle risque d'être compromise... Ne v... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Sur la base de son résumé, « Emeraude et diamant rose » n'était pas le bouquin qui m'emballait le plus dans le lot vintage. Grave erreur, car il s'agit en réalité d'un des meilleurs lus jusqu'à présent !!!

Commençons par son cadre dépaysant à souhait : Venise. Rachel Lindsay a su très bien exploiter son décor. On suit Erica à bord des vaporettos, sur la célèbre place Saint-Marc, déjeuner dans les trattorias... Bien que le roman ne fasse que 155 pages, la ville y possède une vraie présence, n'est pas un nom lâché au hasard, contrairement au bref passage situé à Rome, dont on ne verra strictement rien. Mais comment s'en plaindre, quand le reste du temps l'autrice nous emporte aux côtés de son héroïne, ce qui n'arrive pas si souvent dans les livres aussi courts ?

En parlant de cadre, le métier d'Erica n'est lui non plus pas sous-exploité : la joaillerie occupe une part importante dans le récit, offrant une vraie intrigue secondaire. Certains rebondissements y sont même directement liés. Néanmoins, il ne faut pas oublier qu'il s'agit d'une romance avant tout, et l'on y retrouve ce qui deviendra la marque de fabrique de la future collection Azur : un love interest immensément riche, ainsi une dose raisonnable de quiproquos et de prises de tête.
Le principal défaut du livre, ce sont celles-ci : semblant souvent sortir de nulle part et manquant de naturel, elles tranchent radicalement avec la maîtrise du reste de l'histoire. En outre, Filippo est un héros plutôt plat : on ne sait pas grand-chose de lui ni de sa famille, ou même de ses activités. Sa personnalité est également difficile à cerner ; s'il se montre gentil et patient la plupart du temps, son côté autoritaire le rend à l'occasion assez antipathique. Bref, cet aspect du livre n'est clairement pas le plus réussi, et gâche même franchement le voyage à l'occasion. Dommage. Ceci dit, la mini dose de suspense sur la fin rattrape plutôt bien le coup. Certes, il n'y a pas là grand mystère, mais c'est un bonus très appréciable.
Dans le même esprit, s'il y a assez peu de personnages secondaires et que tous ne sont pas logés à la même enseigne, globalement, ceux-ci s'en sortent bien mieux : entre l'inénarrable patronne d'Erica et leurs dialogues bourrés de malice, la nièce délurée de Filippo et son soupirant, ou même la rivale étonnamment subtile, il y a déjà largement de quoi faire, là encore surtout compte tenu de la faible épaisseur du livre.

Finalement, sans être aussi chouette qu'elle aurait pu l'être sans quelques disputes absurdes, il s'agit tout de même d'une lecture aussi agréable qu'accrocheuse, qui ne trahit pas du tout son âge. L'éditeur peut le rééditer quand il veut, le lectorat d'aujourd'hui n'y verra que du feu !
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
– Il doit toujours faire froid dans un palazzo, murmura Erica.
– Nous avons un excellent chauffage central.
– Ça ne suffit pas pour combattre l'humidité, dit-elle.
– C'est un des inconvénients de la vie à Venise. Je dis toujours que dans ma prochaine réincarnation je reviendrai sous la forme d'un canard.
– D'un cygne, rectifia Erica et elle devint écarlate tandis qu'il souriait largement.
– Merci du compliment, Miss Rayburn, mais je crois que les canards ont meilleur caractère. Les cygnes ont tendance à mordre la main qui les nourrit.
– Votre morsure serait très aristocratique.
Il éclata de rire.
– Vous, au moins, vous savez que j'aboie plus que je ne mords !
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– Le temps des sombres princes séducteurs est révolu, Signora. Les demoiselles ne restent pas longtemps en détresse. Elles connaissent toutes de bons coups de karaté.
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