Ce qui nous paraît, en tout cas, remarquable dans Les Fils de Balaoo, c'est qu'on y retrouve, dans une action à la Gaston Leroux, le style si personnel de Steeman, son humour corrosif qui en fait une satire sociale, et qui ne ménage guère les chefs d'Etat à cette époque désemparée, en proie à la frénésie des fascismes.
Postface
Stanislas-André Steeman l'autre Simenon du polar belge.