J'aime les histoires de métamorphes, mon topissime étant la série Infectés d'
Andréa Speed, suivie de près par les THIRDS et par la meute de Riverdance. Mais de temps en temps, j'aime aussi les séries que je qualifie de plaisirs coupables que j'assume totalement, ça me détend, le postulat de départ est amusant, les personnages sont clichés à souhait, on frôle le quarante douzième degré, c'est chaud comme une baraque à frites et parfois, au bout du xième tome, j'arrive à avoir une (petite) agréable surprise, comme Meute de la lune, d'
Amber Kell.
Cette série est bien partie pour être dans la même lignée : d'abord, c'est une meute de gros matous de diverses origines, l'Alpha est un tigre prônant la tolérance et la mixité, nous avons un personnage jouant la mouche du coche à la fois agaçant et attachant : Kennan, le frère de
Jamie, une palanquée de gros matous qui n'attendent que leur tour (ça viendra, il y a déjà 23 tomes de sortis) de trouver leur compagnon, l'auteur nous balance dans la seconde partie de ce premier tome la ligne rouge de sa saga : des gros méchants scientifiques qui font des expériences sur les métamorphes (tiens, ça me rappelle la meute de la lune...), c'est somme toute plutôt bien écrit et bien traduit vu le format assez court, bref, j'achèèèèèèèète, comme dirais Jean-Marc.