La prison de chair

C’était bien elle, cette fois.

Elle ?
Son corps, son visage, son trois-quarts et sa toque de fourrure, oui.
Mais Sylvie, la pimpante et rieuse Sylvie, comment avait-elle pu faire place à cette créature rigide, qui avançait d’un mouvement sec, presque mécanique, bien que rapide ? Il avança vers elle, mais elle ne manifesta nullement qu’elle le reconnaissait, ni même qu’elle apercevait cet homme qui venait à sa rencontre.
Il voulut ... >Voir plus