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3,78

sur 680 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
C'est avec "Nous rêvions juste de liberté" que j'ai découvert Henri Loevenbruck. J'avais entièrement été conquise par ce roman initiatique façon road movie, extrêmement touchant et inoubliable.

Aussi lorsque son thriller "Le syndrome Copernic" est venu jusqu'à moi (trouvé parmi d'autres ouvrages près d'un point de collecte d'ordures ménagères), je me suis dit que c'était une excellente occasion de renouveler l'expérience.

A mon grand regret, elle ne fut pas concluante.

Le récit manque de relief. Monocorde, il finit par devenir ennuyeux. Les quelques scènes d'actions ne viennent pas trancher le rythme qui reste trop linéaire. Par ailleurs, il ne se passe grand chose, en tout cas pas suffisamment à mon sens pour justifier 508 pages (format poche).

En étirant ainsi son récit, Henri Loevenbruck a certainement cherché à créer une tension (que je n'ai pas ressentie malheureusement) et un degré de suspense propres à tenir en haleine le lecteur. Pour autant, la stratégie a été contreproductive ; j'ai eu assez vite le sentiment que les choses tournaient en boucle.

En outre, et peut-être que ceci explique cela, je n'ai pas réussi à m'attacher au héros, Vigo Ravel, malgré la situation dans laquelle il se trouve et tous les questionnements et les doutes qui l'assaillent. Je suis restée indifférente à ce "je" qui pourtant tend à être plus immersif qu'un "il".

Enfin, le dénouement a été, pour moi, sans surprise. Tant de choses avaient été dites auparavant que la grande révélation a fait pchit.

Je ressors donc déçue de cette lecture devenue poussive par trop de blabla.
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Vigo Ravel schizophrène échappe de justesse à un attentat parce que des voix l'ont avertis du désatre meurtrier. C'est le point de départ d'un complot pour le moins rocambolesque mais malheureusement prévisible à bien des égards. Les moments de suspens sont plus rares que les impressions de déjà lu. La fin est décevante.
Malgré ma lecture j'ai encore des difficultés à saisir ce qu'est le fameux syndrôme Copernic!
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Un matin d'été ordinaire, trois bombes explosent dans une haute tour du quartier de la Défense. Toutes les personnes qui étaient entrées dans le gratte-ciel périssent dans l'effondrement. Toutes, sauf une.
Vigo Ravel, quelques minutes avant l'attentat, a entendu des voix dans sa tête qui lui ordonnaient de fuir. Et il a survécu. Il comprends alors qu'il détient un secret qui pourrait changer la face du monde. Encore faut-il en comprendre l'origine. Qui sont ces hommes qui le traquent ? Quelle énigme se cache derrière le Protocole 88 ?

Un Loevenbruck décevant ... malgré une documentation toujours aussi fouillée.
L'histoire est très longue et très lente à se mettre en place, surtout si dès les premières lignes vous vous doutez des tenants et des aboutissants.
À partir de là, les explications sur la schizophrénie et le syndrome de Copernic semblent interminables, ainsi que la lecture des carnets de moleskine qui sont une sorte de fil conducteur.
Il y a une dizaine d'années entre Nous rêvions juste de liberté et le syndrome Copernic et ça se sent, même si nous sommes ici dans deux styles diamétralement opposés. L'auteur a depuis peaufiné son écriture et a trouvé son style. Il est donc difficile d'être objectif sur ce livre tant l'ombre de Nous rêvions juste de liberté est tenace. Après L'apothicaire ou encore J'irai tuer pour vous, ici il y a un goût de trop peu.

Dans les romans de Loevenbruck, ce n'est pas celui que je conseillerai.
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Un bon livre plein d'action, ou l'on se demande si le personnage principal ne serait pas un peu schizophrène.
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Encore un livre qui m'a été conseilé il y a un moment et... qui devrait rester dans mes annalles pour quelques temps, mais pas pour les bonnes raisons.
Je dois en effet confesser que je n'ai pas lu ce bouquin en entier. Pas par mauvaise volonté ou dégoût, il est même plutôt agréable à lire mais simplement parce que l'imprimeur m'a fait une farce en oubliant une quarantaine de pages, tout en me mettant une deuxième fois la fin. C'est très particulier, je suis plutôt un gros lecteur (genre une petite trentaines de bouquins par an) et ça ne m'était encore jamais arrivé. J'aurais pu le renvoyer à mon dealer habituel, Amazon, mais j'avais pas envie de me prendre la tête et finalement cet énorme défaut en fait un objet rare, une petite curiosité qui lui donne un ptit regain d'intérêt.
Lien : http://marcanciel.over-blog...
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