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Louis, 8 ans, est un enfant taciturne et solitaire. Il vit seul avec sa maman dans une petite ville normande. Il ne sait rien de son père, en dehors de ses origines asiatiques. Sa mère, française, ne lui en a jamais parlé. A l'école, Louis l'eurasien est habitué au racisme ordinaire de ses petits camarades qui le traitent de « fils de Bruce Lee ». Il n'a pas d'ami et cela lui convient très bien. Un jour, ne supportant plus de le voir tout le temps seul, sa mère lui offre un canari. Ce nouveau compagnon va devenir le confident de l'enfant jusqu'à l'arrivée d'une famille de réfugiés cambodgiens. Ces gens ont connu son père. Peu à peu, les coins du voile vont se lever et sa mère va devoir lui révéler la vérité...

Un terrible secret de famille, un enfant en souffrance, les stigmates d'une guerre épouvantable... tous les ingrédients sont réunis pour faire de ce récit intimiste un concentré d'émotion. Avec beaucoup de pudeur, les auteurs dressent le portrait touchant d'un jeune garçon en quête d'identité. L'analyse de ses réactions est fine et sonne juste et la progression du récit, très lente, est d'une grande délicatesse. Si j'avais un reproche à faire, il concernerait les personnages secondaires : pourquoi une voisine acariâtre dont le mari sort de prison pour la terroriser ? Pourquoi un camarade de classe dont le père s'est suicidé ? Pourquoi une grand-mère mourante ? Il y a là comme une volonté d'en rajouter dans le pathos. Comme si absolument tous les protagonistes devaient être en souffrance pour se mettre au diapason de Louis. Il me semble au contraire qu'il aurait été plus judicieux d'équilibrer les choses en offrant ici ou là quelques « respirations » positives.

Graphiquement, Michaël Sterckeman navigue entre un découpage classique en gaufrier plus ou moins régulier et une mise scène onirique qui retranscrit à merveille les angoisses de Louis. L'utilisation d'une bichromie de noir et de gris colle à l'aspect terne et triste de l'existence des différents personnages. Les visages sont peut-être un peu trop figés et manquent d'expressivité mais le dessin reste dans l'ensemble très efficace et accompagne sobrement le récit.

Une belle histoire qui sombre néanmoins par moments un peu trop facilement dans la dramaturgie pure et dure. Mais le personnage de Louis est tellement attachant que mon impression concernant ce premier tome reste largement positive. J'attends donc la conclusion de ce diptyque avec une certaine impatience.
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Cent mille journées de prières est un album très touchant et profond. On découvre le quotidien de Louis, ce jeune garçon dont l'identité asiatique lui cause problème à l'école. Il est le seul Eurasien et se promène souvent au son des railleries de ses camarades, qui lui assènent sans cesse le fameux "hey ! t'es le fils de Bruce Lee ?!". Sa vie à la maison n'en est pas plus gaie : sa mère Laurence pleure souvent le soir, mais Louis ne sait pas pourquoi et n'ose pas lui demander. Sans amis à qui se confier, Louis reporte toute son affection sur un oiseau qui vit en cage dans sa chambre. La relation que le petit garçon vit avec son oiseau m'a vraiment touchée : ils se protègent mutuellement et se comprennent, bien que n'appartenant pas à la même catégorie d'êtres vivants.
Cent mille journées de prières explore des sujets sensibles : la question identitaire au stade de l'enfance, la vie d'une famille monoparentale, l'absence pesante d'un père et les lourds secrets familiaux. Les illustrations de Michaël Sterckeman traduisent parfaitement ce sentiment d'insécurité constante qu'a Louis, aussi bien à la maison qu'à l'école, ainsi que sa souffrance de ne pas savoir qui est son père ni ce qu'il fait. J'ai été ravie de pouvoir en apprendre un peu plus sur l'histoire du Cambodge et des Khmers rouges qui est amorcée vers la fin de l'album et de voir cette partie de l'histoire à travers des yeux d'enfants. Cent mille journées de prières est aussi une belle leçon de courage et de tolérance, surtout dans le milieu scolaire. J'ai beaucoup apprécié cette BD, et j'attend avec impatience la sortie du deuxième tome !
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C'est un récit imagé et intimiste que nous offrent Michael Sterckeman et Loo Hui Phang. A travers des dessins précis où se mélangent le noir et blanc, les auteurs évoquent la souffrance d'un enfant qui tente de comprendre le parcours de ses parents et de saisir ses origines. Un récit qui alterne histoire personnelle et historique sans néanmoins parvenir à une harmonie parfaite. L'histoire de Louis, laissé dans l'incompréhension la plus totale, inquiète autant qu'elle étonne. Un récit dont l'histoire peine à prendre corps et qui s'avère au final une succession de refus sans explications. Dommage.
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Louis est un petit garçon de 8 ans, d'origine asiatique. Il vit seul dans une banlieue normande en compagnie de sa mère et ignore qui est son père. Malgré les nombreuses questions sur ses origines, sa mère refuse de lui répondre. Louis, que sa différence de peau éloigne de ses camarades peu tolérants, est un solitaire. Aussi c'est l'oiseau que lui a confié sa mère, fort absente à cause de son métier d'infirmière, pour tromper son ennui qui lui sert de confident. L'animal silencieux, réceptacle de ses peurs, de ses questions et bientôt de ses folles suppositions sur son paternel, devient dès lors, même à travers sa mort, un compagnon mystérieux au pouvoir intriguant qui détiendrait la vérité cachée.

Voilà un très bel album qui se penche sur les secrets de famille et surtout sur le rapport filial d'un enfant à son père.
L'album s'inspire d'une partie de l'histoire familiale de la scénariste Loo Hui Phang. Découvrant sur un tard la disparition et par là-même l'existence d'un oncle, de tantes et de cousins qui subirent le régime sanglant des Khmers rouges, l'auteur revient de manière détournée sur ce sujet.
L'album raconte l'enfance de ce petit garçon qui grandit sans père. Mais au-delà du manque, c'est surtout l'ignorance qui blesse avant tout Louis. Démuni devant ses camarades de classe qui se moque de lui ( et le prennent pour le fils de Bruce Lee), démuni devant sa mère qui évite à tout prix le sujet et semble très affectée à tout évocation, Louis n'a d'autres choix que de s'inventer un père. Il l'imagine héros et construit des histoires à travers une photo qu'il a trouvé. Bientôt, l'arrivée d'amis cambodgiens bouleverse un peu plus la famille. Alors que le racisme ordinaire s'accentue un peu plus dans la population, Louis découvre des bribes du passé de sa mère, sa vie au Cambodge avant qu'il naisse, sa capacité à parler la langue khmer et même des traces de son père qui serait prisonnier au pays. le voile qui se lève peu à peu sur les origines de Louis ne manquera pas de s'épanouir pleinement dans un deuxième tome attendu.

Cent mille journée de prières, c'est le parcours d"un enfant à la recherche de ses origines, de sa vérité et de sa propre identité. Qui est-il ? D'où vient-il ? Son père est-il un héros ou un criminel ? Un chemin qu'il parcourt seul aidé par son oiseau fantôme et des indices semés ça et là par des adultes incapables de faire face à leur détresse, trop empêtrés dans leur propre souffrance. le récit est extrêmement poignant et on ne peut rester insensible face à ce petit garçon qui souffre en silence et tente de grandir et de se construire sur une absence et des secrets qui ne lui sont pas accessibles.

Le dessin de Sterckerman est dépouillé et s'épanouit dans un noir et blanc qui renforce l'aspect intimiste du récit. le dessinateur réussit à transcrire en quelques traits l'angoisse du petit garçon et développe avec succès une partie plus onirique liée à l'oiseau.

Voilà donc un album très fort qui fait la part belle aux sentiments et à la souffrance d'un enfant quelque perdu sans tomber dans un pathos voyeuriste. Les auteurs montrent avec beaucoup de pudeur l'importance des relations filiales et la vérité sur les origines qui aident chacun à se construire personnellement, d'autant plus lorsque l'on est un enfant "différent" qui peine à s'identifier physiquement à ses proches. Un album sensible donc qui semble se diriger un peu plus dans le deuxième opus vers l'histoire dramatique du Cambodge et ses millions de disparus et de prisonniers. On attend la suite !
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Louis est un jeune garçon solitaire dont les origines eurasiennes sont souvent sujet de moqueries de la part de ses camarades de classe. Vivant seul avec sa mère, il ne sait quasiment rien de son père et aimerait bien percer le secret de cette absence paternelle. le sujet étant classé tabou, il laisse libre cours à son imagination pour s'inventer des racines… jusqu'au jour où des amis cambodgiens viennent trouver refuge chez eux. C'est pour lui l'occasion de vérifier quelques indices récoltés au fil des années et d'en apprendre plus sur ses origines.

Indirectement touchée par la guerre civile déclenchée par les Khmers Rouges fin des années soixante, Loo Hui Phang s'inspire donc de l'histoire de sa propre famille pour livrer un diptyque qui aborde cette page sombre de l'Histoire du Cambodge. Cette mise en place invite à suivre le malaise d'un enfant dépourvu de repères essentiels et quotidiennement victime d'une différence que sa mère refuse d'expliquer. Se heurtant constamment au silence qui entoure ce lourd secret familial, il est obligé de trouver lui-même réponse à ses nombreuses interrogations. Se servant d'un canari comme principal interlocuteur, Louis partage difficilement ses angoisses et ses peines, tout en développant un monde onirique censé combler le vide laissé par le mystère qui entoure son père. Si le voile concernant ses origines ne se lève que très lentement, c'est avec beaucoup de justesse que l'auteur décrit la souffrance de l'enfant. Passant régulièrement du rêve à la réalité, la narration puise sa force dans les non-dits qui accompagnent le mal-être de Louis.

La mise en images très sobre de Michaël Sterckeman conforte le ton intimiste du récit. Un dessin noir et blanc assez minimaliste qui s'inscrit totalement au service du scénario. L'ancrage historique cambodgien n'étant qu'effleuré lors de cette mise en bouche, la conclusion de cette saga est donc attendue avec grand intérêt.
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Louis est un petit garçon solitaire. Pas d'amis, pas de frère ni de soeur, il vit seul avec sa mère. Son père ? Il ne sait rien de lui alors il l'imagine et lui donne le visage de ses idoles. Sa mère est infirmière, généralement absente à la maison en raison de ses horaires de travail.

Un jour, elle se rend compte de l'isolement de son fils et décide de lui offrir un compagnon du quotidien. Elle lui achète un canari, l'oiseau meurt rapidement mais un lien fort avait déjà commencé à se tisser entre l'enfant et l'oiseau. Louis fait croire qu'il a enterré l'animal alors qu'il garde en secret son cadavre. Il le sort quand il est seul dans la maison et lui parle. L'oiseau est omniprésent dans sa solitude et dans ses rêves, il rempli ce vide laissé par ce père absent. Qui est-il ? Où vit-il ? Pourquoi n'est-il pas en France avec eux ?

Découverte de deux auteurs pour commencer qui ont ici fait le choix d'un récit intimiste pour raconter cette tranche de vie. On remarquera rapidement la similitude entre le prénom de la scénariste, Loo Hui, et le prénom de l'enfant. D'ailleurs, elle explique en préface que ce récit contient des éléments biographiques. Elle dédie ce livres à ses proches qu'elle n'a jamais connu et qui sont morts suite au génocide cambodgien.

" D'une manière abrupte et inattendue, mon père m'apprit que son frère cadet et trois de ses soeurs, ainsi que leurs familles, comptaient parmi les victimes de la tragédie cambodgienne. En quelques minutes, j'ai vu surgir puis disparaitre une partie de ma famille. Ces morts n'avaient jamais été un tabou. Mon père ne les évoquait pas parce que je ne posais pas les bonnes questions. (…) Mes oncles, mes tantes, mes cousins sont morts sans sépulture, enterrés sans cérémonie. Ce livre est pour eux ".

Cet ouvrage est un bel objet. du visuel de couverture incitatif et intriguant, au titre parfumé de nostalgie et la vision de cet enfant, enfin, lové sur un immense oiseau. de même, j'ai pris plaisir à toucher le papier de cet album, un Munken Pur 130g. doux, mat et agréable qui met en valeur les dessins de Michaël Sterckeman. le trait est minimaliste, parfois grossier, assez lisse en apparence. Totalement au service du scénario, j'en ai réellement apprécié la discrétion, l'émotion et la pudeur qu'il dégage.

Quant aux mots de Loo Hui Phang, ils ont une portée impressionnante. A plusieurs reprises, j'ai eu peur que le récit ne devienne morbide et pathétique, mais la souffrance de cet enfant face à l'inconnu est sincère et formulée avec justesse. Un enfant en quête de lui-même, à la recherche de ses origines. Il est démuni face à la souffrance de sa mère qui pleure lorsqu'il la questionne sur son père. Elle élude, elle évite… elle fuit les réponses qu'elle doit lui donner. Pourquoi ? L'intrigue est ménagée et il faudra attendre le second tome de ce diptyque pour avoir les clés de compréhension. Un récit qui donne lieu à de nombreux monologues de Louis dans lesquels l'oiseau est son unique interlocuteur et des scènes de dialogues montrent l'enfant fuyant face à l'Autre mais, peu à peu, Louis va changer.

" Je préfère être seul. En groupe, je me sens stupide ".

Un petit garçon touchant qui ne se connait pas et ne se reconnait pas dans l'autre. Une narration qui oscille en permanence entre le monde onirique de Louis et sa réalité qui le dépasse.

Touchée par cet album. le ton est juste, le témoignage sincère, l'auteure se dévoile avec pudeur et crée un personnage-enfant très présent, mature. Une suite de diptyque que j'attends déjà…

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Cette BD m'intéressait surtout par son sujet, qui est assez peu abordé par chez nous en occident. le génocide perpétré par les Khmers Rouges est encore bien mystérieux pour moi, et c'est assez délicat de se renseigner sur cette période, effacée de l'histoire même du Cambodge.

Cela dit, la BD s'intéresse autant à ce qu'il s'est passé là-bas qu'aux conséquences ici-bas, dans notre France, où le protagoniste se retrouve en but au racisme ordinaire (de par ses origines), au secret de famille sur le devenir de son père et à ses propres interrogations sur ses origines. Fils d'un médecin chinois et d'une française, sa vie est liée au Cambodge, bien qu'il n'y ait jamais mis les pieds avant la fin du récit.
Et c'est bien porté, comme récit. A la fois traitant des difficultés qu'il connait en tant que fils d'étranger, connaissant le racisme ordinaire réservé aux populations asiatiques, mais également aux non-dits dans la famille et aux conséquences de la guerre au Cambodge. L'auteur utilise plusieurs procédés bien vu pour symboliser tout ce qui ronge le héros, entre le trou dans le sol et l'oiseau mort qui sert de passeur de message. Il y a des bonnes idées visuelles et narratives qui rajoutent beaucoup à l'ensemble du récit et le rendent touchant.

Ma note est un peu abaissé par rapport au sentiment général de la narration, et c'est principalement parce que je reconnais des faiblesses au dessin. Surtout dans le deuxième volume d'ailleurs, où j'ai remarqué plus spécifiquement des visages assez similaires et des difficultés à reconnaitre certaines personnes. Sans dire que l'auteur manque de maitrise, j'ai l'impression que certaines planches sont plus confuses, peut-être par manque de temps pour les finaliser (j'ai surtout eu ce ressenti sur les dernières planches). Bref, il manque un petit quelque chose dans le dessin pour que j'adhère complètement à cette BD, qui sait pourtant utiliser des trouvailles visuelles saisissantes.

Une très bonne BD, mais qui a quelques faiblesses m'empêchant de trop bien la noter. Cela dit, elle m'a plu et je serais ravi de la relire d'ici quelques temps, lorsque ma mémoire aura été un peu défaillante et que je souhaiterai me replonger dans les affres d'une guerre sanglante et impitoyable qui se déroula il y a peu de temps, dans un pays appelé le Cambodge ...
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Cent mille journées de prières est un roman graphique divisé en 2 tomes qui aborde le génocide perpétré par les Khmers rouges au Cambodge à la fin des années 70.

L'histoire adopte le point de vue de Louis, 8 ans, qui vit en France mais qui a des origines eurasiatiques. Louis ne sait rien de son père qu'il n'a jamais connu et il s'invente tout un tas d'histoires … C'est un enfant solitaire.

Pour tenter de rompre sa solitude, sa mère, Laurence, lui offre un canari, qui devient peu à peu le confident de Louis, mais cet oiseau meurt et Louis décide de la garder dans sa chambre, persuadé qu'il connaît son histoire. Peu à peu, cet oiseau mort prend une place centrale dans la narration …

Le style graphique en noir est blanc est assez particulier et un peu « glauque » cela correspond bien à l'histoire mais je n'ai pas accroché. En revanche, cette lecture m'a permis de découvrir cette partie de l'histoire que je ne connaissais pas du tout.
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Pour comprendre l Histoire effacée !
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En noir et blanc, l'album mêle la vie réelle de l'enfant et un univers rêvé par l'intermédiaire de son confident, un canari (vivant puis mort) offert par sa mère. Je trouve un peu dommage qu'il n'y ait pas de traduction des quelques bulles en khmer. La mère dit cambodgien, mais linguistiquement, c'est du khmer, même si désormais ce mot est lourd de sous-entendus, mais le khmer (langue) et les Khmers (peuple) existaient avant les Khmers rouges. Certes, cette non-traduction renforce l'idée d'incompréhension de l'enfant, et la graphie est très belle, mais Cet album aborde deux sujets: un enfant « différent » (métisse asiatique dans une « classe de blancs »), victime de racisme hélas ordinaire, et un lourd secret de famille. le choix de la mère de vivre seule sa peine, sans parler à son fils, est lourd de conséquences pour lui. Il ne sait même pas de quel pays il est originaire. [la suite sur mon blog]
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