C'est un des livres les plus grossiers et les plus grossièrement écrits que je n'ai jamais lus ...
Il y est question d'intrigues (au pluriel) policières sordides, rien d'étonnant pour un livre qui se veut un thriller, sauf qu'après 45% du livre ce ne sont pas les thèmes qui ont rempli les pages !
Le problème ? on ne passe pas dix pages sans une description torride et détaillée d'une scène de sexe ... et rien ne nous est épargné !
J'ai tenu jusque la moitié du livre. Mais après pléthore de membres virils douloureusement durs, de pénétrations multiples, variée, imagées ... et sordides, de moult exemples de ce que peut faire une langue ... et je vais m'arrêter là ...
Passionnés de polars, de thrillers, de livres bien écrits ... passez votre chemin !
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Le meurtrier aime les belles femmes. Il leur voue une véritable adoration. Il aime les belles choses, les œuvres d’art. Je ne vois pas son visage mais il semble grand et massif. Il entretient sa forme, c’est un sportif. Je sens son excitation devant cette magnifique femme. Il se félicite de l’avoir rencontré. C’est tellement facile pour lui, aucune ne peut lui résister. Ce succès auprès de la gent féminine renforce sa confiance en lui. D’ailleurs, il commence un peu à s’ennuyer. C’est trop simple pour lui. Il aimerait rencontrer un peu de résistance, rien que d’y penser, ça l’excite encore un peu plus. Mais pour le moment, il faut qu’il s’occupe d’elle. Il pense qu’elle est prête et qu’elle fera tout se qui lui demandera. Il a tout préparé dans les moindres détails. Son fantasme est de faire l’amour dans des lieux insolites et aime prendre des photos.
L'agriculture promettait d'être un secteur porteur. Mais pour respecter les quotas, il fallait produire et produire toujours plus si il voulait s'en sortir. Puis un jour, son exploitation fit des bénéfices lui permettant de finir la construction de son foyer. Son toit mais aussi celui de sa femme Déborah. Dévouée, elle le soutenait dans tous ses projets. Devant le foyer qui brûle il fut saisi d'une évidence. Il a eu beaucoup de chance de rencontrer Déborah. Vingt ans qu’elle partage sa vie.
N'écoutant que son courage, le jeune homme n'a pas hésité à se jeter dans les flammes afin de sauver une jeune fille prisonnière de l'enfer. Il est presque jaloux devant son héros portant dans ses bras une jeune fille frêle en admiration pour son sauveur. Cela le dégoute de voir que quelqu’un d’autre porte de l’intérêt à son Apollon. Ayant lu plusieurs fois avec délectation l'article, l'admirateur se lève de sa chaise puis sort de sa tanière sombre et exiguë mais qu'il aime tant.
Le commandant Vanhaecke est un spécialiste de crimes violents perpétrés par des psychopathes ou des tueurs en série. Il ne se compare pourtant pas à un criminologue métier reconnu grâce aux médias mais ses expériences professionnelles font de lui un homme doué dans ce domaine. Cependant, il est aussi réputé pour son caractère impulsif et ombrageux. Pourtant une sale enquête fit basculer tous ses repères.
Elle était plutôt grande et mince, à la peau très blanche, diaphane tel un fantôme. Elle lui ficherait presque la frousse. Ce qui n’est pas son genre. Les femmes ont tendance à le réchauffer et non l’inverse. Il ne put s’empêcher de regarder ses jambes qu’elle cachait sous une jupe longue et stricte