De natures complètement opposées, nul n’avait su comment, mais ils étaient devenus les meilleurs amis. Paul était le grand frère que Tristan n’avait jamais eu, et ce dernier le petit frère que Paul désirait avoir. Avec Jacques qui, à quelques nuances près, ressemblait mieux à Tristan qu’à Paul, ils composaient la plus solide des fratries. Si leur amitié était un château, l’amour en était la muraille. Si quelqu’un tentait de les désunir, comme un bateau perforé en me... >Voir plus