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Je suis tombée par hasard sur cette bande dessinée et je ne suis pas déçue. La Première Guerre Mondiale n'est pas à proprement parler le sujet du scénario. Elle sert de fond. le thème est le meurtre de trois jeunes filles. Un soldat a été fusillé pour la première. Il avait juré sa mort, un soir de beuverie, parce qu'il n'avait pas réussi à ... comment dire... vous avez bien compris, ne faites pas les innocents, hein !!! On n'était pas sûr que ce soit vraiment lui le meurtrier mais on a voulu marquer les esprits. Mais lorsque deux autres femmes subirent les mêmes atrocités, il fallut bien se résoudre à enquêter. Et c'est le lieutenant Vialatte qui en est chargé...

Les dessins sont admirables. Les couleurs ne sont pas choisies au hasard, elles accompagnent parfaitement l'histoire. Les décors nous plongent vraiment dans cette froide ambiance. Enquêter en pleine guerre... le sujet est original.

Allez, je vous laisse, je vais aller me plonger dans le deuxième tome (il y en a quatre) !
Lien : http://www.lydiabonnaventure..
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Je découvre avec bonheur, cette série qui me met en projet de lecture pour quatre tomes certainement captivants. Cette bande dessinée pourrait être classée dans les romans policiers avec pour cadre, la première guerre mondiale.

Un vieil homme, sur son lit de mort, raconte la guerre, les tranchées... et nous amène dans le village de Méricourt, entre Châlons sur Marne, Reims et Verdun, l'année n'est pas précisée mais j'imagine que nous sommes au début de la guerre (il est fait allusion au mois d'août précédent). Les soldats montent du front pour se retrouver à l'auberge. Une dispute éclate entre le soldat Choffard et la serveuse. Cette dernière sera retrouvée morte, égorgée et Choffart, accusé du meurtre, sera fusillé. Fin de l'affaire... croit-on... mais deux autres femmes sont retrouvées assassinées et on retrouve après chaque meurtre, un écrit de l'assassin près du corps...

Intervient alors le héros : le lieutenant Vialatte, gendarme à qui on confie l'enquête. Une enquête difficile, notre homme devra aller se renseigner sur le front, rencontrera l'hostilité des soldats, et dans ce premier tome, aura bien de la peine à trouver les indices lui permettant d'avancer.

Une magnifique Bande dessinée, sombre certes, mais nous sommes en plein front, et les auteurs semblent conscients de l'importance de mettre en évidence toute la noirceur et la laideur de cette guerre, et un roman qui vous happe quand vous constatez qu'il y a une enquête que l'on suivra au fil des tomes, qu'on démasquera certainement un coupable.

Je ne tarderai pas à découvrir les autres tomes !
Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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Janvier 1935. Sur son lit de mort, Roland, un vieil homme, prie. Au loin, le son des cloches lui rappellent la mort..
Août 1914. La guerre fait rage. Dans les tranchées, les corps des hommes s'accumulent. Dans le village de Méricourd, en Champagne, à l'intersection de Reims, Verdun et Châlons-sur-Marne, la guerre avait pris ses quartiers non loin de là. Chez le cafetier du coin, la "Champagne heureuse", les soldats venaient s'y réfugier et chercher un peu de réconfort pour se donner du courage et tenter d'oublier les horreurs de la guerre. le corps de la jeune serveuse, Joséphine Taillandier, a été retrouvé. Egorgée et enterrée dans une tranchée, à la va-vite, une lettre d'adieu à la main écrite par son propre assassin. le coupable est de suite désigné: un soldat avec qui elle avait eu une altercation dans le café. Pas le temps de chercher plus loin, il y avait meurtre, il fallait un coupable. Que cela serve de leçon aux autres soldats, le jeune homme fut fusillé. Malheureusement, moins de deux semaines plus tard, ce furent deux corps que l'on retrouva, deux jeunes femmes égorgées sur la ligne de front, des lettres d'adieu à la main. le lieutenant Roland Vialatte est envoyé sur les lieux pour retrouver le vrai coupable...

Voilà un premier tome fort prometteur... Sur fond de guerre, Kris installe une enquête policière. En effet, des jeunes femmes sont retrouvées mortes sur le front. Et la gendarmerie envoie l'un de ses lieutenants pour résoudre cette sombre affaire. le pauvre homme n'aura d'autre choix que de se confronter aux horreurs de la guerre et aux hommes qui la font. L'enquête n'est finalement qu'un prétexte pour montrer les absurdités de ce conflit, la terreur et l'effroi dans les tranchées. Kris nous offre ici un premier tome riche et dense, un travail en aval sans nul doute conséquent, tant sur le fond que sur la forme. Car, les dialogues et les récits sont étoffés, et les expressions de l'époque ne manquent pas. Au dessin, Maël a su recréer parfaitement cette ambiance poisseuse et froide. Les aquarelles, en couleur directe, sur fond gris, siéent parfaitement à ce récit.

Notre mère la guerre, Première complainte au son des cloches...
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Attention, chef d'oeuvre !

La " der des Ders ", comme si vous y étiez, mâtinée d'une enquête portant sur les meurtres de jeunes femmes supposément commis par un poilu un poil polisson.

Pari risqué que ce nouveau récit sur la Grande Guerre mais relevé haut la main, les trois mains oserais-je même.
Prendre en toile de fonds ce conflit majeur et y accoler une enquête policière, l'approche est insolite et fonctionne à plein.

Un coup de maître indéniable légitimé par le travail fusionnel de Kris (scénario) et Mael (dessin et encrage).
Des aquarelles somptueuses amalgamées à un scénario original et solide, Notre Mère La Guerre a déjà tout du classique et ce n'est que justice !

A noter l'adaptation cinématographique par Olivier Marchal incessamment sous peu. Souhaitons-lui de tutoyer tout autant la perfection...


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Toute guerre a son lot de morts, ils sont contenus dans le mot-même.
Qu'un soldat meurt au front, c'est une tragédie. Des soldats meurent, c'est la suite logique.
Puis un jeune homme est fusillé pour l'exemple. L'exemple de quoi ? Pour faire plus peur aux autres soldats ? Pour leur faire préférer la mort par une balle plus ou moins perdue de l'ennemi ?
Non, ici c'est parce qu'une femme a été assassinée après des menaces dans un bar. Et le corps est trouvé dans une tranchée… de quoi faire vraiment désordre !!

Alors partout où il y a un corps (d'un civil, une femme en fait), il y a une enquête par un gendarme. Et comme un "indice" n'arrive jamais seul, il a la "chance" de trouver deux autres corps pour étoffer son enquête.
Partout où il passe, le gendarme se heurte à la méfiance, au ressentiment et presque au mépris des autres soldats qui eux ne sont pas planqués derrière un bureau à réfléchir à la dimension romantico-intellectuelle de la guerre et de la mère patrie.

Le scénario est très bien ficelé, le rythme n'est ni trop lent ni trop rapide, le temps que le lecteur s'imprègne de l'atmosphère et des lieux magnifiquement peints par les auteurs.

Un très bon moment de lecteur, tour à tour émouvant, intrigant et drôle qui fait suite à ma lecture des Chroniques de Notre Mère la Guerre.
Vivement les tomes suivants !!
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Maël, ce sont les crayons, les pinceaux. C'est un graphisme singulier, une maîtrise de son art saisissante, interpellante, touchante, hyperréaliste, des couleurs travaillées qui vous enserrent les pupilles, vous subjuguent, vous fascinent, font renaître un monde, une époque, des personnages qui prennent forme et vie et vous invitent à les suivre.

Kris c'est la plume. Les mots d'un authentique écrivain, d'un pur produit des lettres dans ce qu'elles ont de plus abouti. Cet auteur est autant à l'aise dans les dialogues du quotidien, dans le langage oral que dans les didascalies littéraires où il n'hésite pas à faire intervenir Hugo, Gide à travers citations, références et poèmes. Sa langue à lui est de très haute tenue.

Avant de rendre son âme à Dieu, un vieillard raconte une histoire qui l'a marqué.
Nous sommes en Champagne, à Méricourt, dans les premiers mois de la Grande Guerre.
Trois jeunes femmes sont assassinées ; égorgées pour deux d'entre elles, étranglée pour la troisième. le ou les assassins transportent les corps dans les tranchées. Sur chacune d'entre elles est retrouvée une lettre d'adieu écrite par l'assassin et scellée avec la boue des tranchées, cette terre mère que " le grand troupeau " comme l'appelle Giono, arrose de son sang et pour laquelle il consent au sacrifice suprême... sans compter...
Cette terre où la femme a une représentation symbolique prégnante à laquelle ces hommes sommés de vivre l'invivable se raccrochent comme on se raccroche à cet ultime rempart d'humanité qu'elles incarnent. Ces femmes qui sont la survie, la rédemption, le renouveau.
Alors, qu'ils soient eux les victimes expiatoires de la Grande Boucherie, le fatalisme, la contrainte, le patriotisme les y obligent... mais qu'on assassine des femmes, c'est à front renversé assassiner la guerre. L'état-major en a conscience et confie la résolution de l'enquête au lieutenant de gendarmerie Roland Vialatte.
Fin limier, l'homme cultivé, catholique progressiste nous entraîne au coeur de la guerre et du mystère.
À sa suite, nous pénétrons dans les tranchées, au plus près du quotidien de ces hommes desquels on exige l'impossible, l'impensable... et ils nous parlent.
Un roman policier dont l'action se situe dans les tranchées des Poilus, quelle passionnante idée et quel passionnant roman-BD !
Au passage, parmi tout ce que ce magnifique ouvrage peut nous offrir, j'ai appris que contre une remise de peine on envoyait au front des gamins délinquants de 15,16 ou 17 ans ... ça ne vous rappelle rien ?...
-" Remise de peine contre un bon bol d'air dans les tranchées ! Ah, c'est d'la bonne idée venue d'en haut, ça. Puisque les gosses ont le vice précoce, on va les réhabiliter en les envoyant tuer ! C'est ça qui est régénérateur, pour sûr !"

Un extrait pour vous donner la tonalité :

-" Je voulais m'enivrer l'esprit du danger qui rôde, longer l'immense précipice de la mort à mes pieds, le divin absolu d'une vie suspendue au fil des cruels hasards, haletant chacun de ses instants comme une première, une dernière seconde...
Et j'eus droit à une nuit de fête foraine, avec ses manèges d'ombres et ses orgues étouffées, comme le songe d'un sourd qui rêverait en silence."

Les planches sont d'une esthétique qui m'a troublé, Kris est une plume de très haute envolée que j'ai découverte épaté.
La BD est un must dans le genre.
Première complainte d'une série de quatre, j'espère pouvoir lire l'intégrale !...









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Début 1915, les armées françaises et allemandes s'affrontent dans le nord-est de la France. Le lieutenant Vialatte, issu de la gendarmerie, est chargé d'enquêter sur les meurtres de trois jeunes femmes retrouvées mortes dans les tranchées, et de retrouver le ou les coupables. Sur chaque corps l'assassin a laissé un mot d'adieu, écrit sur le même papier…

Les auteurs nous entrainent avec le lieutenant Vialatte sur les traces d'un tueur en série, mais c'est surtout l'occasion de nous décrire les absurdités et les horreurs de la guerre, les tranchées boueuses, les traumatismes psychologiques, les angoisses, la colère, la souffrance, la cruauté et les injustices nombreuses entre les soldats du front et ceux à l'arrière.

L'écriture de cette série de quatre bandes dessinées s'appuie sur des témoignages d'époque, aussi l'histoire fait preuve de rigueur historique et de sensibilité. A plusieurs reprises les auteurs abordent la thématique de la correspondance ; les échanges épistolaires entre le front et l'arrière tenaient effectivement une grande place tout au long du conflit. Les principales sources visuelles sont des photographies de l'hebdomadaire « L'Illustration », et les dessins très réalistes permettent de se faire une juste opinion de ce qui se vivait au front. Les soldats sont des victimes forcées de partir au combat mais les auteurs veulent comprendre pourquoi certains ont agi de leur plein gré et comment ils ont pu survivre à plusieurs années de tranchées.

La palette de couleurs est volontairement restreinte, déclinée dans des tonalités généralement froides. Elle traduit une atmosphère terne, souvent douloureuse et oppressante, servant une intrigue assez sombre. Cette absence de luminosité renforce le côté angoissant de l'ensemble.

Toutefois, qui pourrait en réalité s'intéresser au meurtre de trois personnes parmi les milliers de soldats morts quotidiennement ? Cette enquête n'est bien sûr qu'un prétexte pour parler de la guerre et de ses horreurs. L'approche est originale mais fonctionne bien car le scénario est bien écrit, l'intrigue intéressante, et le tout se lit comme un roman. Une belle BD.
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Comment aborder la der des Ders, la Grande Guerre, d'une autre manière ?

Comment nous faire traverser les tranchées, aborder le No man's land, éviter les corps morts, patauger dans la boue, bref, comment nous faire revivre cela une fois de plus sans que cela fasse déjà-vu ?

Non pas que je sois blasée, c'est impossible, il y a tant à dire, mais je connais les gens, il le sont vite, eux, blasés.

Il suffisait d'y penser : nous faire entrer dans la Grande Guerre à reculons, à petits pas, puisque nous enquêterons avec le lieutenant de gendarmerie Roland Vialatte sur des meurtres de femmes commis non loin des tranchées, dont un dans une tranchée.

On a bien fusillé un soldat qui avait eu des mots avec la première victime, sans sa poser la question de savoir s'il était coupable ou non, fallait juste un exemple, un mort pour prouver aux autres que les chefs, c'étaient pas eux et qu'ils avaient intérêt à se tenir à carreau, nom de dieu.

Pas de bol, juste après avoir fusillé le coupable, d'autres meurtres de femmes ont eu lieu… Alors, on fait venir un gendarme pour enquêter, sans doute pour éviter d'en fusiller encore, des innocents à grande gueule.

L'album commence lui-même d'une manière non conventionnelle : un soldat chantonne ♫ Je suis petit oiseau, c'est la faute à Rousseau ♪ alors qu'il est blessé gravement par des balles, puis, on avance dans le temps (1935) et on passe sur le lit de mort d'un certain Roland qui nous raconter une histoire…

Le scénariste a fait en sorte de nous plonger de manière réaliste dans la Première Guerre Mondiale, avec ses soldats dont certains étaient fait de bric et de broc, sortis des prisons, ou alors des gamins encore humides derrière leurs oreilles…

Entre les gradés qui se planquent, qui ne risquent rien mais qui jouent avec la vie de leurs soldats, pour quelques arpents de terre Française, le froid, la boue, la pluie, le manque de sommeil, la folie qui guette chacun, le tout passera dans le récit, faisant de Roland un spectateur malgré lui, lui qui est resté à l'arrière pendant que d'autres mourraient devant.

Des dessins qui sont des aquarelles, ça donne une majesté à un récit qui n'avait besoin que de ça pour se sublimer encore un peu plus. J'ai même eu l'impression que, une fois de plus, l'enquête n'était qu'un prétexte pour dénoncer les imbécilités et les horreurs qui eurent lieu durant celle que l'on pensait être la dernière.

L'ambiance n'est pas aux tons chaleureux, vous vous en doutez, le tout est dans des gris froids, glacés. Normal, il fait un temps à ne pas mettre un Poilu dehors, ni même un casque à pointe.

Sans en faire des tonnes, avec peu de mots, mais des mots justes, qui claquent comme les balles des Fritz d'en face, les auteurs nous montrent toute la brutalité et les abominations de cette guerre de tranchée, comme si vous y étiez.

Un premier tome qui met la barre très haut, des crimes toujours pas résolus, même si on a un poilu hautement bizarre qui m'a tout l'air d'être LE meurtrier, sauf si je me trompe et je parie que je me plante royalement.

Bon, le suspense est à son comble, les tripes sont nouées, pari réussi de me donner des sueurs froides et de faire passer des meurtres de femmes au second plan, quasi. Il ne me reste plus qu'à me jeter sur les tomes suivants.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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1935, un vieil homme sur son lit de mort prie. le son des cloches lui évoque de sombres souvenirs, de ceux qui ne s'oublient jamais. Ceux de la grande guerre, des tranchées et des hommes qui y laissent leur vie.
vingt ans plus tot alors que la guerre fait rage, on assassine une femme et on dispose son corps en première ligne avec un poeme d'adieu. L'affaire est vite réglée. Un soldat lui avait crié "r'croise pas ma route ou j'te saigne comme une truie". Il est jugé, ou pas d'ailleurs, et excuté. Seulement ça recommence 1 fois puis 2. Alors on envoie une hirondelle survoler les tranchées. Un gendarme, le lieutenant Vialatte. Il devra trouver le meurtrier, et vite.

Une plongée impitoyable dans les tranchées et les horreurs de la première guerre mondiale. Mais avec beaucoup de pudeur, et de poésie. Presque de la douceur dans toute cette violence relatée.
Le dessin de Mael donne une atmosphère poignante. Ses aquarelles donnent le ton et transpirent d'émotions. On y ressent le froid et l'humidité des tranchées. La boue qui colle aux vetements. La peur qui envahit les tripes.
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Wahw!
C'est le premier "mot" qui me vient à l'esprit!
Cette Bd est juste un chef d'oeuvre. C'est une BD de guerre mais ce n'est pas tout à fait une BD sur la guerre. Si, bien sur la guerre est là, elle est le fond, elle est la forme. L'histoire se passe dans les tranchées, sous les bombes, avec les poilus mais le génie de Kris est de ce servir de ce milieu hostile, froid, noir et sale pour y placer une enquête policière. Et pas n'importe quelle enquête : il s'agit ni plus ni moins d'un tueur en série.
C'est bien construit, haletant. Les dialogues sont très bons.
Les dessins à l'aquarelle sont splendides.

En un mot, génial!
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