Après avoir fait un rêve prémonitoire, Milo et Sirah sont propulsés par les ondées vers un nouvel univers. Ils sont supposés y retrouver Valia qui s'est sacrifiée lors du tome 6.
L'univers est froid, glacial, inhospitalier et désespéré. La mise en couleur correspond bien à l'ambiance. Milo et Sirah rencontrent des êtres venant de divers univers parallèles. C'est intéressant, il y a plein d'idées et de pistes à explorer, l'imagination des auteurs fonctionne bien, mais cette routine bien installée depuis le début a quelque chose de lassant qui m'empêche de m'immerger pleinement.
J'ai aussi l'impression que les auteurs essaient de faire correspondre leur BD à un public ado un peu plus âgé. Milo a grandi. Parfois on a le sentiment qu'il n'est plus l'enfant du tome 1, mais un ado. Et la planche suivante on retrouve Milo un peu froussard et indécis.
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Graphiquement, Christophe Ferreira nous offre une très agréable prestation, pleine de vie, d'expressivité ! On plonge aux côtés de ces deux jeunes héros, on est surpris tout autant qu'eux par ce qui se présente ! C'est beau, c'est frais…
Lire la critique sur le site : Sceneario
Nous sommes tout seuls...
On n'est pas dangereux du tout !
Et à moi on ne me dit jamais rien...
Une grande aventure fantastique, composée aujourd'hui de cinq cycles, portée par le talent de conteur de Richard Marazano et le dessin de Christophe Ferreira, qui nous rappelle l'univers des meilleurs films de Miyazaki.
Découvrir la série : https://www.dargaud.com/bd/le-monde-de-milo