Tout comme Pilly , je me trouve incapable de noter ce livre reçu de la part des éditions PUM ( Presses universitaires du Midi ) dans le cadre d'une opération Masse Critique . Je me suis pourtant accrochée jusqu'au bout dans ma lecture mais , après un avant-propos et une introduction que j'ai compris et appréciés, j'ai eu trop de mal à comprendre les contenus des chapitres , au langage et aux développement des idées trop ardus et pas assez concrets pour moi . Pratiquant le travail social depuis plus de 30 ans ( les SDF, les personnes âgées entre autres..) , formée au développement social local par le collège coopératif et toujours passionnée par la sociologie , je me pense aussi militante pour un autre modèle de "vivre ensemble" .Quand j'ai lu la 4eme de couverture , je me suis dit "Chic , un livre qui va alimenter ma réflexion et me donner à penser les choses avec un autre regard" . Donc un peu déçue . du coup , je me demande si ce livre est vraiment adapté au travail social ou si à quelques années de la retraite j'ai un peu décroché et perdu mes capacités de compréhension . du coup , dès que nous sortirons du confinement , je vais le prêter à une amie ancienne formatrice pour adulte pour avoir son avis . Je vous tiendrai au courant !
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Je ne pourrai pas donner une note à cet ouvrage, car j'ai dû en abandonner la lecture.
Je l'avais choisi dans le cadre d'une masse critique, en me fiant un peu à la 4e de couverture. Certes ce livre n'était pas mon premier choix, mais j'ai pensé qu'il pouvait m'intéresser et m'amener à réfléchir sur la possibilité de concilier le militantisme avec la recherche, ce qui de prime abord semble complètement utopique.
Ce thème n'est pas inintéressant, et je suis quelqu'un d'assez curieux de pas mal de disciplines. Sur la 4e de couverture, il est mentionné que ça pouvait intéresser des étudiants en sciences humaines, ainsi que des professionnels de l'animation, des travailleurs sociaux... Les sciences humaines est un de mes domaines de prédilection et je suis animatrice sociale. Je pensais donc que cet écrit était à ma portée. Que nenni !
Soyons clairs : cette lecture n'est pas pour le commun des mortels. le sujet est certes intéressant, mais les tournures de phrases et certains termes employés (sans doute commun dans la recherche et les sciences de l'éducation), me l'ont rendue passablement indigeste. Je me suis donc vue contrainte d'abandonner la lecture, car j'avais la vague impression de pédaler dans la semoule (ou la choucroute à vous de choisir).
Cependant, il n'est pas impossible que j'y revienne. Parfois, mon cerveau a besoin d'une deuxième lecture pour être totalement opérationnel et rendre les choses limpides.
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