Le pensionnat des innocentes

😵J'ai adoré Franchement! Nikel!!!🤗 Personnages attachants #inspectricekimstone....le dénouement de l'enquête impressionnant... le fait de recueillir les preuves dans la lecture pour trouver l'assassin juste Parfait... 🤤🤤 J'me suis douté de rien jusque dans un passage ou sa a fait Tilt.. Mon opinion c'est avéré fonder qu'à la fin.... Bravo a l'auteur #angelamarsons qui c'est nous tenir en haleine... et nous fait balancer de droite à gauche

Séduite par le résumé, je n'attendais pas grand chose de ce thriller anglais. Pourtant, j'ai été plus que séduite !

Lorsqu'on lit beaucoup de thrillers, surtout beaucoup de livres du même auteur à la suite, on a une forte impression de redite. Alors lorsqu'une nouvelle plume fait son apparition, c'est toujours un plaisir.

Dans un premier temps, j'ai beaucoup aimé le cadre du roman. L'auteure elle-même est issue du Pays Noir, cette partie de l'Angleterre autrefois très industrialisée mais qui connaît un taux de chômage très élevé. le froid palpable et donne au livre comme un goût des oeuvres scandinaves en la matière, avec une patte particulière. L'écriture est nerveuse, ne ménage pas son lecteur et évite l'ennui en restant droit au but. Il y a peu de temps mort dans l'enquête de la redoutable Kim Stone.

L'enquêtrice elle-même, personnage principal du roman, séduit par son caractère: obstinée, tenace, intelligente, elle est aussi dénuée de toute forme de talent pour les relations humaines, ce qui la rend paradoxalement très attachante.

L'enquête est prenante et originale, les rebondissement finaux sont bien pensés et nous tiennent en haleine jusqu'à la dernière minute. le livre traite de thèmes assez difficiles, notamment l'abandon et la maltraitance des enfants.

C'est un livre que je ne peux que vous conseiller si vous aimez les thrillers sans temps mort et les héroïnes fortes à la Stieg Larsson.


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Ce thriller anglais aux allures suédoises m'a plu dans le dynamisme du récit : les questions et les rebondissements s'enchaînent avec entrain. La fin était particulièrement succulente, car elle ne semblait jamais vouloir s'arrêter. Angela Marsons prend plaisir à jouer avec les nerfs de ses lecteurs, et tant mieux ! le dynamisme venait aussi de la confession, entremêlée au récit, du meurtrier, sans que l'on sache, bien évidemment, son identité, et cela le rendait judicieusement diabolique. C'est ce schéma narratif qui m'a, bien sûr, fait penser aux romans de Camilla Lackberg.
En définitive, j'ai eu un peu de mal à rentrer dedans, peut-être à cause du côté bourru de Kim, je ne sais pas, mais au fur et à mesure, le roman devient vraiment haletant et il est difficile de le lâcher !

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