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Citations sur Les gens heureux lisent et boivent du café (254)

Putain, y a pas de doute, ce mec-là est irlandais. Il a appris à marcher sur un terrain de rugby. Quand il m'a plaqué au sol, j'ai cru que je participais aux Six-Nations ...
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J'étais bouffie, mon mascara avait coulé sous mes yeux, mes cheveux ressemblaient à un nid de corbeaux.
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J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux.
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Tu n’es pas ma béquille, ni un médicament, tu mérites d’être aimé sans condition, pour toi seul et non pour tes vertus curatives. Et je sais que... je ne t’aime pas comme il faut. En tout cas, pas encore. Il faut d’abord que je me reconstruise, que je sois forte, que j’aille bien, que je n’aie plus besoin d’aide. Après ça, seulement, je pourrai encore aimer. Entièrement.
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Je ne pensais pas que ce serait si dur... pendant ton absence, j’ai beaucoup réfléchi à tout ce qui nous est arrivé depuis que je suis ici. Tu es rentré dans ma vie et j’ai eu à nouveau envie de me battre, de rire et de vivre...
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D'un seul coup, je fus à l'abri.
Edward s'était installé derrière moi, ses bras autour de mon corps, ses mains sur les miennes.
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Je n'entendais plus ce qu'il me racontait, je le fixais et le redécouvrais, ses cheveux en bataille, sa barbe de trois jours, la couleur de ses yeux.
Je sentis son parfum pour la première fois, un mélange de savon et de tabac froid.
L'émotion fut telle que je dus fermer les paupières.
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Je levai le visage vers lui. Je le fixai, j'avais envie de lui prendre la main, et rien ne m'en empêcha.
Il m'attira contre lui. J'y restai quelques instants, chamboulée par le sentiment de sécurité qui me submergeait.
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J’avais retrouvé mes repères. Je ne m’habillais plus, je mangeais n’importe quoi, n’importe quand. Je dormais une partie de la journée. Si le sommeil ne venait pas, je restais dans mon lit à observer le ciel et les nuages, bien au chaud sous la couette. Je comatais devant des niaiseries à la télévision, qui se transformaient en cinéma muet lorsque c’était en gaélique. Je parlais à Colin et à Clara en fixant leurs photos. Je vivais comme chez nous, à Paris, mais sans Félix. Cependant, le soulagement tant espéré ne venait pas. Aucun poids en moins sur la poitrine, aucun sentiment de libération. Je n’avais envie de rien, je n’arrivais même plus à pleurer. Le temps passait, et les journées me semblaient de plus en plus longues.
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- C’est adapté à la circonstance. Tu ne trouves pas ?

- C’est parfait.

Je le regardai fermer le crochet et boutonner l’empiècement du bas du dos. Il embrassa mon épaule et alla finir de s’habiller. Cinq minutes plus tard, quand je le rejoignis dans la chambre, il se battait avec sa cravate. Je supposai que c’était bien la première fois que cela lui arrivait.

- Laisse-moi t’aider.

Je fis son nœud de cravate, parfaitement sûre de moi.
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