Nos résiliences

Oh mon Dieu que c'est long, que c'est banal, que c'est creux !

Si le sujet était intéressant et le début prometteur, cela tourne vite en romance mièvre et répétitif. C'est un récit fort cul cul la praline très inintéressant.

Je l'ai terminé péniblement.

Il a été facile à l'auteure, psychologue, de bien nous faire ressentir les états d'âmes d'Ava qui l'ont envahie après l'accident survenu à son mari, Xavier.
Le lecteur peut le comprendre. Mais ils reviennent un peu trop souvent au long de cette histoire. Des répétitions quelques peu lassantes qui nous présentent cette femme comme une victime de trop d'amour envers son mari. Souffrir, toujours souffrir…c'est visiblement son crédo.
Lecture pénible par tant de questionnements.
En revanche, son aparté avec Sacha (mari de Constance, accidentée par Xavier et dont nous ne savons rien) était bien prévisible. Cependant, l'auteure nous y mène étape par étape, détaillant avec précision les tourments de ces deux êtres. de l'oeil noir et haineux à celui rempli de douceur et d'amour.
J'aurais bien aimé une suite…
Quant à Xavier, qu'il s'inquiète de celle qu'il a renversée, qu'il culpabilise même, est tout à son honneur mais son attitude envers sa femme et ses proches est juste incompréhensible. Xavier s'enferme dans un mutisme sans précédent déroutant ainsi sa femme qui ne le reconnaît plus
Pour un couple que l'auteure nous décrit en osmose, il y a quelque chose qui m'échappe…
Et à la fin du livre, Xavier déclare à sa femme que le soir du vernissage, il souhaitait lui faire la surprise en se rendant à sa galerie. Il était en retard, comme à son habitude, aussi, il a accéléré et a grillé le feu rouge.
Elle se déclare donc aussi responsable. de quoi ?
Quelque peu déçue par cette lecture alors que j'avais apprécié beaucoup l'écriture et l'histoire de «désolée… »

Il s'agit du premier livre que je lis de cette auteure. J'ai trouvé quelques longueurs à la lecture et parcouru en diagonale certains passages surtout au début du livre, avant l'événement. L'ensemble est aussi assez prévisible.
C'est une histoire cousue de fil blanc, sans aucune surprise. Dommage.

Deux romans d'Agnès Martin-Lugand que je lis, deux déceptions que j'encaisse.

Seulement pas pour les mêmes raisons. En effet, "les gens heureux lisent et boivent du café" m'a intriguée, comme beaucoup par son titre. D'après le résumé il me semblait que c'était un livre profond parlant du traumatisme de perdre un mari et un enfant. Je tombai donc des nus lorsque je découvris un livre superficiel rempli de clichés qui me furent lever les yeux au ciel plus d'une fois.

Mais bref, revenons au sujet de cette critique: "Nos résiliences". En une phrase: une première moitié beaucoup trop vide à mon goût constituée de beaucoup beaucoup de faux-profonds comme je les appelle (de la torture intellectuelle qui se résume à la même chose: elle est bouleversée et ne fait que de penser à ce pourquoi elle est bouleversée) et une deuxième moitié accélérée où il se passe trop de choses pour que ça paraisse réel. Une espèce de carré amoureux un peu gros selon moi qui se ramène tard et pas très développé par le fait qu'il arrive 50 pages avant la fin! La fin d'ailleurs, parlons-en, elle est ponctuée par une mini-révélation qui laisse un goût amer dans la bouche en refermant le bouquin et qui ne casserait pas 3 pattes à un cheval (je sais plus c'est quoi l'expression).

Rappelez-moi la prochaine fois de ne pas retenter l'expérience.

Dégoulinant de mièvrerie et de bons sentiments ce roman que je m'empresserai de déposer dans la boîte à livres de mon quartier demain matin. Décidément, la littérature féminine à l'eau de rose n'est pas ma tasse de thé. Pas de réflexions sur des sujets sérieux et intellectuels. Je suis aussi étonnée qu'une auteure soit aussi cantonnée dans une vision machiste de la femme…

J'ai du mal en général à noter "médiocre" car l'auteur a mis sans doute beaucoup d'énergie à écrire son livre.
Mais là je n'ai pu m'identifier un seul moment aux personnages,tant les réactions émotionnelles sont caricaturales,que ce soit l'effroi,la culpabilité,le mensonge,la trahison...Cela donne une naïveté,une immaturité aux acteurs notamment Ava,alors que ce n'est pas un trait voulu de son caractère . Et le roman s'attachant surtout à la psychologie des personnages,on y perd l'essentiel.
Finalement, la découverte de métiers originaux comme galeriste,chef d'orchestre et vétérinaire a suscité heureusement ma curiosité.
En CD lu, l'expressivité des sentiments est plutôt exacerbée et n'apporte pas de nuance à la caricature.

J'avais adoré cette autrice avec La Datcha, je m'y suis donc replongée avec beaucoup d'espoirs hélas, je ne m'y suis pas retrouvée totalement. Pour camper l'histoire rapidement, Xavier, vétérinaire, se retrouve à l'hôpital suite à un grave accident de moto alors que sa femme Ava, organisait un vernissage dans sa galerie d'art. Nous allons suivre le difficile retour à la vie de son mari dont la culpabilité va rendre leur retour à une vie normale quasi impossible. 

Voilà pour l'histoire, la suite je vous laisse deviner, rien de bien surprenant.... Si je ne m'y suis pas retrouvée c'est sans doute que l'autrice fait un peu trop dégouliner les sentiments au risque de perdre le lecteur qui par moments s'interroge (enfin ce fut mon cas) sur le fait d'être en train de lire un arlequin. 

J'ai choisi ce roman en librairie, car je trouvais les avis plutôt unanimes, à savoir, qu'il avait plu à énormément de gens. du coup je me suis dit que j'allais passer un bon moment et en profiter pour découvrir cet auteur. Alors je dois avouer que je n'ai pas trop apprécié l'histoire. Pour moi, le peintre est un personnage de trop. Je ne comprends pas trop à quoi il sert. de plus, j'ai trouvé les chapitres trop longs. J'ai tout de même envie de persévérer dans la lecture de cet auteur.

Après la lecture de plusieurs livres sur Auschwitz et le problème juif, "Nos résiliences" me paraît très artificiel.
Xavier, le mari d'Ava, a eu un grave accident de moto et a renversé une cycliste. Il est hospitalisé, mal en point mais, surtout, il se culpabilise. Il se sent responsable.
Le hasard fait se rencontrer, dans la même clinique, Ava et le mari de la cycliste. Les rencontres se multiplient, comme par hasard. Peu probables tous ces hasards. Trop c'est trop. Ava n'arrive plus à avoir les échanges harmonieux qu'elle avait avec Xavier. Il s'éloigne d'elle, évite les échanges. Ils s'aimaient, étaient très attachés l'un à l'autre, heureux avec leurs 2 enfants. Xavier semble ne plus vouloir communiquer avec elle, coupe les ponts de manière brutale, agressive. Son état n'explique pas ce comportement qu'elle ne comprend pas.
Un roman facile à lire, dont on devine l'évolution. Bon roman de plage.

Alors que j'avais beaucoup aimé "Une évidence", livre paru en 2019, j'ai été très déçu par "Nos résiliences". Je me suis profondément ennuyé avec ce livre que j'ai trouvé sans intérêt.

Voilà deux fois que l'auteure me déçoit. Ça a déjà été le cas avec "A la lumière du petit matin".

Heureusement que "La datcha" reçoit beaucoup d'avis positifs sinon j'abandonnerais l'auteure ici.

"Nos résiliences", c'est 300 pages dont la moitié est du blabla inutile ! Il ne se passe rien, c'est de l'introspection, le récit de tout ce qui passe dans la tête de l'héroïne, Ava.

Ava mène une vie tranquille avec son mari, Xavier, et ses deux enfants jusqu'au choc : Xavier a eu un accident avec sa moto et il renversé une cycliste qui se trouve tout comme lui, bien mal en point.

Xavier doit se remettre de ses blessures tant physiques que morales car il culpabilise beaucoup. Son obsession : il a brisé la vie d'une femme, une excellente violoniste qui plus est.

Xavier rejette sa femme, ses enfants, sa vie et Ava n'arrive pas à lui faire remonter la pente...

Un roman qui manque de crédibilité et que j'oublierai bien vite.
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