Une évidence

Reine travaille dans une agence de communication à Rouen. Elle élève seule son fils, aujourd'hui âgé de dix-sept ans. Lorsque son associé l'envoie chez un client à Saint-Malo, elle est loin de se douter que le passé va soudain lui sauter à la gorge et qu'elle va se retrouver face au père de son fils. Son précaire équilibre vole en éclats, surtout lorsqu'elle finit par décider de confronter le père et le fils, et dès lors que se pose avec une nouvelle acuité la question de ses choix amoureux.


Dieu que ces personnages m'ont agacée ! Je n'ai à vrai dire pas réussi à me laisser emporter par cette histoire dont j'ai trouvé les contorsions assez improbables et même ennuyeuses. Mais, surtout, j'ai eu constamment envie de secouer ses protagonistes, exaspérants d'indécision et d'auto-apitoiement, qui se mettent tour à tour à piquer leur crise, avant que tout rentre parfaitement dans l'ordre en un extraordinaire happy-end. Petit sourire juste en passant : avez-vous remarqué la prédilection des castings de romans sentimentaux pour les yeux gris et verts ?


En conclusion, une seule évidence : au vu de son succès, ce roman qui m'a fait osciller entre irritation et ennui a été écrit pour d'autres que moi.
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Mouais.
Je ne suis pas convaincue que cette auteur soit si extraordinaire.
J'en avais tellement entendue parler que j'ai plongé.
L'eau était trop froide sans doute.
L'intrigue est cousue de fils blancs, les persos sont des caricatures d'eux-mêmes, il y a des situations invraisemblables, Noé a un âge mental de 10 ans, sur-couvé par sa mère, la reine-mère devrais-je dire.
Non, vraiment, je ne comprends pas ces critiques dithyrambiques.
Je n'ai pas eu du tout le même ressenti.
C'est clair, je m'éclate beaucoup plus avec Duras qu'avec Musso ou Martin-Lugand.
Aucun snobisme là-dedans, mais j'ai quelque peu du mal avec les livres dits "populaires".
C'est encore une fois l'attrait de la facilité.
C'est sûr et certain qu'il faut se concentrer un peu plus et faire des efforts quand on lit du Proust, ce n'est que difficilement que l'on peut y goûter. De même la lecture de Bernanos n'est pas facile, mais quelle richesse !
Bon, en un mot comme en cent, je me suis ennuyée à mourir, et je n'ai que peu apprécié le style de l'auteure que j'ai trouvé gnan-gnan et médiocre.
(Oui, je sais je vais en prendre pour mon grade face à toutes les lectrices qui ont adoré ce livre. Tant pis.).
La fin est plus que prévisible, et j'aime tant être surprise en littérature.
Ce sera pour une prochaine fois.
J'espère.

BOF.

Bon, je sais c'est pas très constructif. Je vais donc développer.
L'histoire est presque sans intérêt (une femme, son ex et son Jules actuel, plus un enfant, c'est du convenu), les personnages sont clichés et surjouent à peu près toutes les scènes, rien n'est approfondi, on reste au bord. En plus il ne se passe rien d'imprévisible.
Non, ce genre d'histoire, on en a assez entendu, tout à déjà été écrit.
Il faut passer à autre chose. On est au vingt et unième siècle, on a accès à des millions de livres du monde entier, on ne peut plus écrire des histoires comme ça, il faut lâcher l'affaire.

Deuxième roman que je lis de cette auteure et malgré les recommandations chaleureuses de ma copine de lecture, encore une fois la sauce n'a pas pris pour moi.
L'histoire aurait pu être belle en effet mais j'ai trouvé les personnages surjoués et agaçants.
Ça dégouline de trop bons sentiments et ça en fait à mes yeux une histoire improbable et mielleuse.
Je me suis ennuyée tout le long avec cette impression permanente de lire un roman à l'eau de rose.
Je dois même avouer avoir lu les dernières pages en diagonale, pressée de le terminer pour passer à autre chose.

ok je n'ai lu que 221 pages sur 402 mais qu'est ce que c'est que cette connerie ?
"Une vie parfaite si elle n'était construite sur un mensonge qui, révélé, pourrait bien faire voler son bonheur en éclats"
A part avoir caché sa grossesse à un mec qui s'est barré en Inde et qui s'est trouvé une autre poule, y'a rien de transcendant la-dedans. Je ne spoile même pas, on le sait dès le départ.
Cette Reine se met des noeuds dans le cerveau POUR NADA, peur que son fils l'a raye nan mais n'im.po.rte quoi ! Elle l'a élevé seule, soit son fils est ingrat et débile mais qu'est ce que c'est que ce raisonnement à 2 balles ?
Ce fils de 17 ado fan de St Malo, ok c'est une très jolie ville mais faut pas non plus en faire un hobby.
Ce con de Pâcome, il se prend pour qui celui-la ?
Je ne me suis attachée à aucun personnage tellement ils sont abracadabrants.
Ecriture mièvre, lecture affligeante, perte de temps

Proche de la nullité absolue. Comment un tel livre peut-il avoir du succès?

J'ai dû m'égarer pour cette lecture, je ne sais pas, mais je n'ai pas accroché du tout.
Ni à l'histoire que j'ai trouvée fade et très convenue, ni au style de l'auteur dont c'était le premier livre que j'ouvrais.
De plus, les personnages m'ont particulièrement exaspérée, entre la valse-hésitation et l'auto-apitoiement .
Je suis passée complètement à côté, et je ne renouvellerai pas l'expérience.
L'histoire :
Reine mène une vie heureuse qu'elle partage entre son fils de dix-sept ans et un métier passionnant.
Une vie parfaite si elle n'était construite sur un mensonge qui, révélé, pourrait bien faire voler son bonheur en éclats...
Faut-il se délivrer du passé pour écrire l'avenir ?

Ce livre ressemble au précédent! Les personnages hurlent, alors que ce qu'on lit ne le décrit pas, la narratrice passe des éclats de rire au visage baigné de larmes... Je reste perplexe devant ces descriptions copiées des autres livres... le même personnage transposé à Saint-Malo ici reste inconsistant et peu mature, elle a besoin d'un amant, et ici de plusieurs, ça on le comprend bien. Je n'apprécie pas non plus l'utilisation peu gracieuse de la grammaire ("on alla") et des tournures mal utilisées, le besoin de répéter à longueur de page des "ça va"?, ainsi que les expressions ("dans les tours") qui ne voudront plus rien dire dans deux ans!

Autant le premier était sympa, mais la on tombe dans le cliché ! Je t aime, tu m'aimes, il m'aime, je te quitte, tu me quittes .... cousue de fil blanc, ennuyeux, du Levy au feminin, roman de plage
On est presque dans la collection Harlequin

J'ai trouvé que l'écriture de l'auteure s'était améliorée par rapport à son premier roman, et l'histoire est plutôt touchante.

Cela dit, j'ai trouvé Reine insupportable. Etouffante. J'espérais moi-même que son fils fugue pour s'échapper de cette mère toxique. Et qu'il ne revienne pas. Pour son bien.

J'ai enfin trouvé ce qui me gênais avec cette auteure :
1/ ses personnages caricaturaux.
2/ sa propension à basculer dans un pathos mélodramatique. S'éterniser des heures sur le malheur, la culpabilité, le chagrin, y revenir, avancer, y revenir etc.
Elle met tout en oeuvre pour tirer les larmes de la personne qui lit, et ça ne m'étonne pas qu'elle y soit arriver tant toutes les ficelles sont activées. C'est usant pour les personnages. Et pour le lecteur.