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3,77

sur 277 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Premier livre de Graham Masterton que je découvre, Rituel de chair envoie du lourd...

Charlie Mcclean est un critique gastronomique à fond dans son travail au point d'en avoir négligé sa vi familiale. Cette fois, il sillone les routes des States avec son fils âgé de 15 ans, Martin. Au détour d'une halte dans un resto, Charlie entend le nom d'un restaurant qui attise sa curiosité: le Reposoir. Cet établissement ne figure sur aucun guide et semble y abriter une clientèle particulière.
Notre critique souhaite en savoir plus, malgré la désaprobation de plusieurs personnes qu'il croise sur son chemin. Mais il s'obstine, jusqu'à vouloir forcer le portillon du reposoir avec sa voiture. Mal lui en prendra car son fils disparaît brutalement...Charlie découvre alors que ce restaurant abrite une organisation légèrement portée sur le goût de la chair humaine et, avec l'aide de Robyn, une journaliste, il va tout tenter pour retrouver Martin et le faire sortir de cet "enfer".... Avis aux amateurs!
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Hé bien je voulais un livre d'horreur, j'ai été servie au delà de toutes mes espérances. J'ai déjà lu quelques livres du genre, il y a des années mais je crois que celui ci est le pire que j'ai pu lire. Ce qui m'a le plus horrifié c'est que la justice et les forces de l'ordre sont impuissantes ou cautionnent une secte pareille. Premier livre que je lis de cet auteur et ce ne sera pas le dernier. Mais pas de suite hein car si tout ses livres sont du même style....je dois respirer un peu et lire d'autre genre de livre. En bref, vous voulez frissonnez vous voulez être écoeuré, vous voulez de l'horreur ..... N'hésitez plus c'est ce livre que vous recherchez.
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Je viens de relire pour la X fois « Rituel de chair » de Graham Masterton, un de mes auteurs favoris.

L'ambiance y est vraiment oppressante, l'intrigue est elle aussi calibrée comme il le faut par ce maître de l'horreur moderne. Tout du long de l'histoire, on se croirait presque dans un thriller, effrayant et ignoble, certes, mais un thriller. le côté fantastique n'apparaît que très tard.

Ce livre parle de cannibalisme alors âmes sensibles s'abstenir parce que les scènes sont vraiment très détaillées. L'auteur nous dépeint, les Dévots en train de se manger eux-mêmes pour le salut de leurs âmes en découpant eux-mêmes leurs parties du corps pour ensuite les dévorer ou les donner à manger aux guides. Certains d'entre eux, n'ont plus de bras, jambes, organes génitaux ...

L'histoire vraiment intéressante, surtout concernant l'apparition des Célestins, comment leur croyance est venu au monde, pourquoi personne ne fait rien pour les arrêter. Charlie n'est pas vraiment un héros au sens propre du terme car il est assez particulier dans sa façon d'être, notamment dans ses rapports tumultueux avec son fils.

En tout cas, il n'y a pas à dire, Graham Masterton est un maître de l'horreur incontesté et je suis fan !
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Et bien je ne dirai qu'une chose. Assurez vous d'avoir l'estomac bien accroché avant d'envisager cette lecture. Parce qu'ici on est sur du cannibalisme, explicite, détaillé, gore, et dans le roman d'horreur absolu!
Alors bien évidement, faites ce que je dis pas ce que je fais... j'ai quand même trouvé le moyen de lire le dernier chapitre (le fameux dîner de l'avènement donc) pendant que j'étais dans mes casseroles, et plus précisément en train de rôtir une escalope de dinde! Mon steak me paraissait beaucoup moins appétissant après ça ahahahah.
Sinon, j'ai trouvé l'histoire vraiment bien. Un peu long aux premiers chapitres, mais après cela ne manque pas d'action, entre les courses poursuites, les nains tueurs avec une machette, les explosions, incendies... ça décoiffe.
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Comme son nom l'indique, c'est un livre très choupi, pas du tout d'horreur, pas du tout glauque et sanglant, pas du tout du tout … Ce livre raconte l'histoire de Charlie McLean, un père divorcé, critique culinaire, qui est en déplacement avec son fils Martin qu'il ne connait presque pas et avec qui il n'a quasi aucun lien, sinon celui du sang. Ils essayent tant bien que mal de faire connaissance, mais Martin est un enfant / adolescent de 15 ans, n'est-il pas trop tard ? Toujours est-il que le critique culinaire et son fils apprennent l'existence d'un restaurant gastronomique français très secret et inaccessible pour le commun des mortels. En bon critique culinaire qu'il est, Charlie va devenir obsédé par l'idée de rentrer dans ce restaurant, ce qui n'est sûrement pas une bonne idée car 1) ce restaurant est en fait l'antre d'une secte d'illuminés aux pratiques trèèèès douteuses et 2) son fils va rapidement disparaitre. On va donc suivre un combat acharné (cf le thème lutte de pouvoir) entre le père qui va TOUT faire pour sauver son fils et la secte.
On est ici dans un livre d'horreur bien gore et bien malsain, donc il ne pourra vraiment pas convenir à tout le monde, mais pour ma part j'ai globalement bien aimé. Les thèmes sont intéressants et il y a quelques réflexions sûrement plus profondes qu'elles n'y paraissent, au milieu des scènes sanglantes, sur les droits qu'ont les parents sur leurs enfants, sur les sectes et leur emprise, sur la foi, sur la gastronomie (non ça c'est faux). Un bémol sur la fin, qui est trop rapide et peu satisfaisante, après plus de 400 pages pour la construire et l'amener. Dommage mais sinon ce fut une bonne lecture.
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Le meilleur Masterton à ma connaissance ? On en était pas loin mais non ! Rituel de chair est à la fois l'un de mes Masterton préférés et un de ceux que je trouve les plus décevants.

Pourquoi un de mes préférés ? Parce que l'histoire, qui part pourtant sur le thème assez classique du cannibalisme, utilise une approche vraiment originale. Ici, on parle de personnes qui se mangent elles-mêmes. Que faire contre ça ? Est-ce même vraiment un problème ? Après tout, chacun ne devrait-il pas être maître de son propre corps ? Mais comment faire quand on est le père d'une de ces personnes ? Un adolescent n'est-il que la propriété des parents, n'a-t-il pas le droit de faire ses propres choix, même si ce choix revient à se détruire lui-même ? Rituel de chair nous amène sur le terrain de toutes ces questions que l'on ne pensait pas avoir à se poser un jour. Et j'ai adoré cet aspect.

Dans le prolongement de cette idée, les "méchants" de l'histoire sont ici bien plus nuancés que d'habitude. Ils pensent réellement être dans leur bon droit et oeuvrer pour une bonne cause. Ce qui ne les empêche pas de se salir les mains (avec du sang, de préférence) s'il le faut. Je les ai donc trouvés plus intéressants que les entités Mastertonniennes habituelles, tout en étant aussi sinistres et effroyables. le côté malsain des scènes gores en ressort avec d'autant plus de force. En bref, totale réussite là encore !

Côté personnages, on n'est pas en reste non plus. Ils sont tous réussis et intéressants. Même l'obsession du héros ne m'a pas paru gênante (là où une obsession similaire était vraiment insupportable dans le Sphinx, par exemple). Mention spéciale pour "l'enfant" qui réserve bien des surprises (mais je ne dirai rien ! À vous de lire pour en savoir plus).

Mais alors, pourquoi serait-ce le Masterton le plus décevant avec toutes ces louanges ? Rituel de chair est pour moi un sans faute de A à Y. Manque juste le Z, la dernière marche où tout s'effondre. La dernière marche correspondant ici aux 20 dernières pages du roman. Je m'attendais à deux fins possibles. Aucune des deux n'était spécialement originale mais elles avaient au moins le mérite d'achever ce chef-d'oeuvre comme il se doit. Masterton a préféré une troisième fin, sorte de mélange des deux fins espérées, certes plus "originale" mais tellement mielleuse et insupportable ! On balaie tout ce qu'on vient de lire, l'idée que personne n'est entièrement bon ou mauvais, les questions philosophiques sur l'anthropophagie que l'on ne pensait même pas se poser un jour. On efface tout et on remplace ça par l'idée qu'il y a le Bien et le Mal, et que les Gentils s'en sortent toujours parce qu'ils sont gentils tandis que les Méchants sont punis parce qu'ils ont été méchants... le tout saupoudré de religions comme je les aime pas. Et pour bien enfoncer de clou, on enchaîne sur un épilogue cliché et inutile. Je ne spoilerai rien de cette fin, ni de cet épilogue, mais ils m'ont particulièrement frustré. Si l'histoire avait été moyenne jusque-là, je n'aurais peut-être même pas relever. Mais gâcher une histoire pareille avec une fin si convenue, ça relève du crime littéraire.

Rituel de chair est donc à la fois l'un des meilleurs Masterton et l'un des plus décevants. Pour ma part, je renie les dernières pages pour en conserver le souvenir d'un coup de coeur littéraire. Peut-être même que je le relirai un jour (et que je renierai à nouveau la fin, mais là n'est pas la question). Malgré cette dissonance d'opinion, on ne peut nier la maitrise de Masterton sur son sujet et ses personnages. C'est d'autant plus flagrant quand on commence à connaître quelques uns de ses textes. On retrouve des thèmes récurrents d'un livre à un autre et, pour l'instant, Rituel de chair est celui qui traite ces thèmes avec le plus de justesse.
Lien : http://murphypoppy.canalblog..
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C'est quoi un bon livre d'horreur? Une fois la dernière page refermée, la nuit tombée, si vous vous maudissez de ne pas avoir fermé les volets, si vous hésitez à ouvrir les fenêtres pour les rabattre, si vous dormez avec la veilleuse de vos enfants et bondissez aux moindres bruits... C'est un bon livre d'horreur.
Ici il s'agit d'une histoire de cannibalisme. Alors on s'attend à des hordes affamées traquant le touriste égaré, à des naufragés reluquant leurs petits compagnons comme le dernier hamburger, à des zombies. Il n'en est rien, c'est encore pire. Ici il s'agit de bouffeurs de chair humaine institutionnalisés, reconnus, civilisés, gastronomiques. Pas de contraintes, le gibier est volontaire, consentant, heureux de faire don de son cuissot.
C'est une secte religieuse. Leur pensée est savoureuse! Cette façon qu'ils ont de prouver que manger de l'humain, c'est normal et pieux.
Et c'est ce que j'ai apprécié dans ce roman, pas de petits hommes verts, de forces surnaturels, de magie, juste l'absurdité de l'esprit humain....
Le héros , Charlie, est critique gastronomique. Il arrive dans une petite bourgade et entends parler comme par hasard d'un club gastronomique très privé. Oh! Quel hasard!!!! Charlie a un fils, il est divorcé et son fils est un peu paumé. Son fils cède aux sirène de cette religion et Charlie va chercher à le faire sortir du garde-manger. Allez savoir pourquoi!
Mon seul regret dans ce roman c'est la touche de surnaturel (je sais j'ai dit qu'il n'y en avait pas: j'ai menti!). Elle arrive comme un cheveu sur la soupe, une solution de facilité. J'ai vraiment été déçue par ce choix de l'auteur.
Et c'est le seul bémol. Ce livre est bien plus efficace qu'un pamphlet sur la viande pour devenir végétarien. Si après cela vous réclamez un steak saignant c'est que vous êtes prêt pour devenir un Séraphin.
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« Je me suis libérée disait-elle. Libérée de tout besoin physique. Tout ce qui me retient sur cette terre c'est mon corps, et je vais le manger. » p. 202

J'avais des envies de littérature horrifique…
Ça me défoule en période de grande tension. Et je me suis souvenue des conseils de ma copine Nabila, une professionnelle de l'hémoglobine, dézingueuse de zombies de la première heure avec un goût très sûr en la matière. J'ai donc missionné mon homme pour écumer le fond « Masterton » de la médiathèque, et il est revenu avec un bouquin. le livre a vécu, ça se voit à sa couverture toute gondolée, il a voyagé, essuyé des centaines d'heures de consultation. Il est lourd, avec des pages bien épaisses et a une magnifique couverture ornée de crochets de bouchers… Ok…

C'est donc dans cette ambiance déjà chargée que je débute ma lecture…
Quelques jours plus tard, je suis toujours là et je rassemble mes quelques forces restantes pour vous parler de Rituel de chair, un des ouvrages du célébrissime « Master of Horror » Graham Masterton.

« Tout le monde les appelait les Célestins. Mais ce mot n'a pas qu'une seule signification. Il désigne aussi cette société gastronomique secrète et, que les rumeurs à leur sujet soient fondées ou non, le nom de Célestins désigne une personne qui mange ce qu'elle n'est pas censée manger » p. 145

Ça envoie quand même comme citation, ça met dans l'ambiance, non?
L'histoire que je vais évoquer parle de nourriture parce qu'elle commence au cours d'un voyage de Charlie McLean, critique gastronomique du renommé guide MARIA. Celui-ci est parti pour deux semaines dans le nord-ouest des États-Unis afin de visiter des hôtels restaurants en vue de prochaines chroniques. Il est accompagné de son fils Martin, 15 ans, avec qui il est en conflit car celui-ci ne lui pardonne pas ses fréquentes absences et la séparation d'avec sa mère. L'adolescent est fragile et le père désarmé face à cette colère latente. C'est dans ce climat tendu qu'ils font halte au Chaudron de Fer, une table du Connecticut où l'antipathique patronne leur parle d'un lieu très particulier, le Reposoir, dans la bourgade d'Allen's Corner. Ce lieu très sellect, tenu par des français, se veut officier une gastronomie réservée seulement à des initiés triés sur le volet. L'amour propre de Charlie est piqué, il doit absolument découvrir ce mystérieux endroit dont il se fait éconduire fermement dès sa première visite. Il décide donc de rester quelques jours dans les parages afin d'obtenir la recommandation d'un notable local, sésame pour une dégustation tant espérée.

« le Bonhomme-la-Mort s'approche. le vieux Baron Samedi, c'est comme ça que ma mère l'appelait ». p. 384

Seulement ces quelques jours qui devaient avoir l'allure de vacances ne se déroulent pas comme envisagé par McLean. Les locaux ne sont pas avares d'histoires et bientôt, notre héros se rend compte que des disparitions se multiplient dans les parages. Une mystérieuse épidémie de fugues semble mettre à mal la population, chaque famille est dans l'attente du retour d'un proche évanoui brusquement dans la nature. Martin qui semble très mal à l'aise mène la vie de plus en plus dure à son père, l'explosion est imminente entre père et fils, ce qui entraine une immense culpabilité chez Charlie le matin où il découvre la disparition de Martin. Prêt à tout pour retrouver son enfant, l'homme se lance sur les traces d'un groupuscule se faisant appeler les Célestins dont les pratiques cultuelles sont à rendre fous les esprits sensibles…

« Car qu'a-t-Il dit lors de son Dernier Souper? Il a dit « Ceci est Mon corps donné pour vous. Faites ceci en mémoire de Moi » et Il a dit « Cette coupe est la nouvelle alliance en Mon sang versé pour vous. » p.295

Tu veux du roman « terrific », tiens, prends donc ça!

Après une mise en place un peu lente mais essentielle sur la première centaine de pages, l'histoire finit par prendre un rythme beaucoup plus soutenu, ce qui m'a amené à lire les 350 pages suivantes sur les chapeaux de roues. Les thèmes abordés par Masterton dans son roman sont passionnants, il s'agit d'une course contre la montre d'un père pour sauver la vie de son fils aux prises avec une secte jouant à la perfection avec cultes chrétiens, rites vaudous, anthropophagie, embrigadement, manipulation… L'intrigue et les intentions des personnages sont très bien amenées, le lecteur rencontre une pléiade de « seconds rôles » qui ont chacun une place importante dans le récit. Les décors sont impeccablement décrits, notamment quelques scènes dans le Carré Français et dans le bayou de la Nouvelle-Orléans, ambiance cajun, un régal. Tout le monde devrait y trouver son compte, les amateurs d'histoire, d'action, d'émotions fortes. Je mets tout de même en avant un avertissement, certains passages peuvent être choquants, il faut quand même être un lecteur averti…

« le bonheur, le nirvana, un cerveau vide. le Ciel n'appartient qu'à ceux qui renoncent à toute volonté de vivre » p. 459

L'écriture simple et efficace de Graham Masterton a été une excellente découverte pour moi. Ce roman a plus de 30 ans mais est d'une grande modernité et je vais continuer à explorer son oeuvre dès que je déniche un exemplaire du « Diable en Gris » qui, selon mes sources, est un bijou.
Un grand merci à celle qui m'a mise sur la piste de Rituel de chair, je vais le recommander à plus d'un.
Lien : https://leschroniquesdeminui..
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Roman horrifique, Rituel de Chair nous entraîne dans les méandres d'une secte anthropophage. On y suit Charlie McLean, critique gastronomique et son fils Martin, partis découvrir des nouveaux restaurants et qui en même temps cherchent à se découvrir. Suite à son divorce, Charlie et son fils n'ont pas des liens faciles et essayent grâce à ce voyage à renouer des liens. Au détour d'une ville quelconque se dresse un restaurant français, le Reposoir, lieux très select ne prenant que des clients triés sur le volet. le critique est intrigué et cherche à tout prix à déjeuner là-bas. Malheureusement, ce restaurant est l'antre d'une secte qui pratique l'autophagie suite à une lecture et une interprétation très personnelle et libre de la Bible. Lorsque son fils se retrouve kidnappé par ces individus, Charlie essayera de le récupérer et de lui faire entendre raison.

J'ai dévoré ce roman comme les personnages se sont dévorés eux-mêmes. le roman est très prenant, les différents retournements de situations sont bien amenés et le rythme est très soutenu. Lu en quelques jours seulement, j'ai beaucoup aimé cette immersion dans les rites de cette secte. Certains passages sont gores, c'est supportable, je m'attendais néanmoins à plus de descriptions de mutilations, et pourquoi pas, des recettes cannibales.

Je conseille fortement ce roman pour les aficionados de roman horrifiques et de groupes religieux. Ce n'est pas le meilleur roman de ce type que j'ai pu lire mais j'ai tout de même passé un excellent moment de lecture.
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Un livre à la couverture qui m'a tout de suite attiré et son résumé qui m'a convaincu.

Charlie, la quarantaine, est un critique gastronomique pour le guide Maria.
A force de sillonner les États Unis, à manger dans des restaurants, hôtels et j'en passe, il est passe à côté de sa vie de famille.
Alors que son ex femme décidé de partir en vacances, il va devoir s'occuper de son fils de 15 ans dont il ne connait presque rien.
Pendant une semaine, il veut lui faire découvrir son quotidien de travail et essayer de lier des liens. Ceci va être un échec , malgré ces efforts, il n'arrive pas à établir une confiance avec lui.
Alors qu'un soir ils dînent dans un petit restaurant, ils vont entendre parler d'un restaurant français " le reposoir" que Charlie n'a jamais entendu parler, ni répertorié et qui va suciter sa curiosité.
C'est alors que ces ennuis vont commencer.
Et oui la curiosité est un vilain défaut !

L'histoire est vraiment très intéressante, j'ai beaucoup aimé le sujet traité de la secte et elle nous donne bien une vision sur le comportement des personnes qui se font retourner le cerveau 🤣.
Dans ce roman , c'est même plus qu'une secte car on parle de cannibalisme 🤭
Les personnages, les descriptions et les scènes sont bien travailler, elles ne sont ni trop courtes , ni trop longues, qui permet bien de s'imaginer les choses.
Une histoire qu'on a du mal à lâcher.
En revanche, je suis restée un peu déçu par la fin.

Attention pour certaines scènes, il faut avoir l'estomac bien accroché ! 😅
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