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4,04

sur 1083 notes
J'avais découvert le téléfilm petite, j'ai lu le livre 20 ans plus tard et j'ai adoré !
Un roman bien écrit, une histoire impossible - certes un peu tirée par les cheveux, mais c'est joli - et une intrigue qui se déroule sur presque toute une vie !
Aux lecteurs qui ont besoin de rêver à un amour inattendu et plus fort que tout, je recommande.
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J'avais beaucoup aimé cette grande saga australienne que j'ai lue il y a plus de vingt ans.
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Lu il y a fort longtemps (au temps de mes premiers émois), je suis tombée sous le charme du Père Ralph de Bricassart (incarné plus tard à la télévision sous les traits du non moins séduisant Richard Chamberlain) mais aussi sous celui de l'écriture pleine de poésie de Colleen Mc Cullough. Je garde un souvenir ému de cette belle histoire d'amour interdite bien que ce ne soit plus du tout mon genre de lecture.
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Ce livre n'est pas seulement un simple roman d'amour; il retrace également toute l'histoire d'une famille australienne du XXème siècle, en traitant des relations mère-fille, père-fils, des amours interdits, de la fatalité... On parvient également à voyager à travers les grands décors australiens décrits de manière splendide et d'observer les changements climatiques parfois imprévisibles du grand pays. Mais bien évidemment, ce qui ressort de ce gros roman, c'est la relation unique, précieuse et indicible entre l'attachante Meggie Cleary et le charismatique Ralph. C'est une passion dévorante, déchirante qui touche les deux êtres si sincères l'un envers l'autre, mais séparée à cause de la religion. Un roman marquant et puissant.
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Une magnifique histoire que du plaisir à lire.
Bien écrit, histoire sensée qui peut arriver ou qui est arrivée.
Mais aussi des femmes et des hommes courageux .
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Mieux que le téléfilm
Lu toute jeune et relu
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Triste saga familiale relatant la vie de la famille Cleary de 1915 à 1969.
Oui, le premier mot qui me vient, c'est "triste".
Colleen Mc Cullough a beau nous faire découvrir l'Histoire de l'Australie avec ses us et coutumes du XXe siècle, je retiens principalement la tristesse de la vie des Cleary puisqu'elle est plus parsemée de morts et de malheurs que de joie.
On connaîtra trois générations dans ce livre.
À chaque génération, une seule femme.
À chaque femme, sa croix.
Parce qu'au fond, ce sont ces trois femmes qui font vivre cette histoire. C'est au travers d'elles qu'on vibre, qu'on se questionne, qu'on comprend. Ces trois femmes qui vont tenter de mettre fin à leur malédiction qui semble se transmettre de mère en fille. Pourquoi n'arrivent-t'elles pas à vivre leurs amours de façon épanouie ?...

Je ne raffole pas des amours romantiques contrariés.
Je ne suis pas sûre de m'être attachée aux personnages principaux parce que j'ai versé une larme seulement sur la vie de Stuart Cleary.
Je ne suis pas sûre d'avoir retenu les principaux évènements historiques parce que j'ai avant tout été frappée de découvrir les origines de la myxomatose.
Mais j'ai aimé ce livre triste. Indéniablement.
Et si je le déconseille aux déprimés, j'ai bien envie de découvrir Colleen Mc Collought au travers d'un autre de ses livres en espérant y découvrir un peu plus de joie de vivre.
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N'est pas Margaret Mitchell qui veut... et Drogheda n'est pas Tara, pas plus que Meggie n'est Scarlett !

Pour mes vacances, j'avais envie d'une grande saga romanesque qui s'étale sur de longues années et de longues pages... Les oiseaux se cachent pour mourir répondait parfaitement à ce souhait, et pourtant je n'y ai pas trouvé beaucoup de plaisir.

Déjà parce que mes signaux d'alarme internes se sont déclenchés très vite, dès que le prêtre a eu une révélation d'amour pour Meggie... qui avait 11 ans à l'époque... Platonique, hein, la révélation, mais assez malsaine quand même... surtout qu'on comprend bien que cet amour impossible ne restera pas toujours platonique et sera le ressort principal du roman... Sauf qu'une histoire entre un prêtre et une gamine, ça ne correspond pas exactement à ma définition du romantisme.

Ensuite parce que c'est écrit (ou traduit) avec les pieds (ou les plumes des oiseaux qui se cachent pour mourir, en tout cas pas avec style, panache et orthographe) : descriptions grandiloquentes et interminables des paysages, et l'auteure avait notamment bien potassé le dictionnaire des couleurs, en citant jusqu'à 15 pour un même coucher de soleil; erreurs de syntaxe ou de grammaire pas tout à fait aussi abondantes que les couleurs mais bien présentes tout de même...

Le début m'a vraiment dérangée et ennuyée, paradoxalement bien plus que la deuxième moitié qui devient une saga, certes très classique et un peu verbeuse, mais tout à fait lisible. Pas sûr toutefois que je regarde jamais l'adaptation, malgré les commentaires émus lus ou entendus un peu partout; tant qu'à faire dans le vieux libidineux et la nymphette je choisirais plutôt Lolita !

(désolée pour ceux et celles qui ont vibré avec Ralph et Meggie, c'est peut-être moi qui suis trop coincée sur ce coup-là).

Challenge PAL et challenge Pavés 22/xx
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Qui ne connait pas cette histoire étonnante de l'amour terrestre d'un jeune prêtre pour une petite fille devenue une jeune femme dans une Australie poussiéreuse et hostile ? Une relation pourtant très chaste, faite d'espérances et de renoncement. Car c'est bien de choix dont il est question dans ce premier tome, et le prêtre de Bricassart en fera l'expérience parfois douloureuse. Homme ambitieux, au service de Dieu, il préférera sa vocation à l'expérience douloureuse des passions. Un rapport intéressant puisqu'il n'est pas si courant en littérature, porté par une écriture claire et simple. Colleen McCullough signe ici une oeuvre intemporelle qui, au-delà des rapports bien connus entre Meggie et Ralph, évoque une grande saga familiale et les conditions de vie difficiles d'une famille exilée. Un premier tome plutôt réussi qui s'avère bien plus vaste et complexe qu'une simple histoire d'amour. L'affection que porte le père Ralph à la jeune Meggie est finement présentée : entre tendresse du père et attirance de l'homme pour la jeune femme qu'elle est devenue. le personnage de Meggie, seule femme dans une fratrie uniquement composée de garçons, subissant sa condition de femme, ignorante des codes amoureux et sociaux, est intéressant en ce qu'il représente les attraits et les rêveries de la jeunesse. Un roman sur les choix, leurs conséquences, les erreurs et cette volonté farouche de s'extraire de sa propre condition.
Lien : http://leblogdeyuko.wordpres..
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Il y a ce quelque chose d'inexplicable avec ce roman, d'inoubliable. Ce peut-il qu'il soit LE livre marquant le passage de l'enfance au monde des grands ? Ce livre légué par ma mère, à l'aube de mon émancipation, est celui de la découverte de soi. Un de ces romans que l'on chéri si intimement qu'ils en deviennent un peu notre.
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