La Femme de ménage

J'étais enthousiaste pendant ma lecture, j'ai dévoré en quelques heures les 364 pages. Mais, une fois le livre refermé et le soufflé retombé, qu'en reste-t-il ? une légère indigestion peut-être ?
La première qualité de ce thriller c'est avant tout l'ironie mordante de l'auteure, c'est ce qui m'a réellement séduit et apporte tout le sel à l'histoire.
C'est intelligemment construit en 3 parties, dans la première, la version de la fameuse femme de ménage, Wilhelmina Calloway, dite Millie, dans la deuxième celle de son employeuse Nina Winchester, puis dans la troisième les chapitres alternent entre l'une et l'autre. le rythme est trépidant, le page-turning fonctionne à plein régime. Oui mais…
L'écriture est simple, fluide et efficace, mais parfois un peu trop simple, dans ce huis-clos de cinq personnages, les deux personnages masculins sont essentiellement décrits comme beaux et sexy.
Elles ont quand même du bol ces deux filles, deux superbes éphèbes à portée de main, bodybuildés, le biceps saillant, la crinière soyeuse et puis vous l'ai-je déjà dit ? surtout, ils sont bbeeaaauuxxx et seeeeexyyyy ! Oui, oui, oui !
J'avoue, j'ai tout bonnement fait un petit blocage là, tant Andrew et Enzo sont beaux et sexy (j'espère ne pas avoir les yeux complètement exorbités, là, sinon je risque de faire un peu peur), et ces deux adjectifs sont martelés un tel nombre de fois, que c'en est indigeste et un tantinet limité en vocabulaire.
Certains rebondissements se voient arriver de loin, la psychologie des personnages est assez caricaturale , et, à plusieurs reprises, le hasard fait un peu trop bien les choses pour que le tout soit crédible. A priori une suite s'annonce, pas sûr que je regarderai par le trou de la serrure une nouvelle fois !

Qui n'a pas vu passer sur les réseaux le premier livre de Freida McFadden ? Après avoir lu tant de critiques élogieuses sur ce "thriller psychologique", je me suis dit que j'allais à mon tour le découvrir.

En compagnie de Millie, notre jeune femme de ménage, j'avoue que je n'ai pas vu les pages défiler. L'écriture de ce livre est fluide et agréable à lire mais je n'ai malheureusement pas été convaincue par cette lecture.
Mais pourquoi me diriez-vous ? Tout le monde aime ce livre Hélène, tu aurais dû aussi l'apprécier !
Tout d'abord, j'ai eu beaucoup de mal avec les personnages qui, même si je pense que c'est volontaire, sont assez caricaturaux. Cela a eu pour conséquence que je n'ai pas réussi à m'attacher à eux.
Si je m'en tiens à l'histoire, je pense que ma principale déception vient de l'engouement autour de ce livre. Je m'attendais à autre chose (plus à un thriller psychologique) qui allait me faire dire "whaou" et finalement ça n'a pas été le cas. Je regrette que la deuxième partie de l'histoire n'ait pas été aussi longue que la première car ça a conduit à de nombreuses facilités.

Pour éviter l'impression que j'ai eu, je vous conseille de faire abstraction des différents retours que vous pouvez lire, car au moins, vous n'aurez pas d'attente et donc vous l'apprécierez mieux. Malgré mon impression, la femme de ménage reste une intrigue agréable à lire et vous risquez d'être surpris à la fin de sa lecture.

Le Femme de ménage – Freida McFadden (USA) – 2023 – « j'ai Lu » …
Un Livre Récent à Grand Succès.
Comme tout ceux de cette catégorie, on a moins de scrupules à taper dessus…
Millie rend visite à Madame Winchester pour faire le ménage chez elle. Mais celle-ci est-elle vraiment recommandable ?
« Et lorsque Millie découvre que la porte de sa chambre mansardée ne ferme que de l'extérieur, il est peut-être déjà trop tard... »
Au moins ce n'est pas un Taiseux.
Suspens.
On commence par la fin… Une femme attend patiemment qu'on lui passe les menottes. Quelque chose de grave s'est passé.
J'avoue que ce Livre ne m'a pas plu. Je n'ai pas été immergé, ni convaincu par le Style. J'ai bien compris qu'on parlait d'un Thriller, d'un Huis-clos, mais j'ai préféré Jérôme Camus/Nathalie Hug par exemple dans ce genre-là… En fait Millie se retrouve enfermée dans sa chambre qui n'ouvre que de l'extérieur et puis les méchants l'ont cachée. Et bien des ennuis aura, celui ou celle qui regarde par le Trou de Serrure… Car les Riches ont souvent raison…
Phoenix
++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcg

Millie n'en revient pas lorsqu'elle réussit, après un entretien, à décrocher un emploi de femme de ménage, ou plutôt de gouvernante dans une famille très aisée. Pour elle qui dormait dans sa voiture, et risquait de perdre le bénéfice de sa liberté conditionnelle si elle ne retrouvait pas d'emploi, c'est une aubaine ! Certes, l'atmosphère de sa chambre au grenier la met mal à l'aise, la maîtresse de maison semble changer d'avis et de caractère toutes les cinq minutes, et Millie peine à se faire respecter par la fillette de la famille. Seul le père est aussi aimable qu'agréable à regarder...
Je ne veux pas en raconter trop, mais sachez qu'en changeant de point de vue dans une deuxième partie, tout ce que l'on a pu imaginer au début est sérieusement remis en cause.
Pour avoir déjà lu quelques thrillers « domestiques », je m'imaginais que les combinaisons et situations possibles, entre situations d'emprise et de vengeance, étaient assez limitées, il n'en est rien, et Freida McFadden le prouve. C'est parfois au prix de quelques légères incohérences psychologiques, ou d'explications un peu rapides à propos de pathologies... Mais le roman se lit extrêmement vite, il est impossible à refermer avec son lot de rebondissements, ou de renversements inattendus !
Lien : https://lettresexpres.wordpr..

C'est vrai que je suis bon public pour ce genre de lectures: en effet, je n'en vois jamais venir la chute. La surprise. le retournement de situation. BANG ! chaque fois je tombe des nues. Et du coup, j'ai été plutôt servie avec ce roman.

Ceci dit, autant dès le début j'ai été prise dans cette lecture plutôt addictive, autant le style d'écriture m'a déplu dès les premières pages. Peut-être que parfois c'était en lien avec la traduction, mais d'autres fois clairement plutôt dû à l'écriture en soi.

Exemple, la première partie de l'histoire : nous nous trouvons dans une belle maison avec une femme de ménage désespérée, sa patronne odieuse et le mari de la patronne qui est «très beau». Si au fil des pages vous veniez à oublier qu'il est beau, pas de soucis, l'auteure se charge de vous le rappeler à peu près toutes les 10 pages. Car il est BEAU. Très beau. Vraiment beau. le matin au réveil avec les cheveux ébouriffés, il est si beau ! Puis ensuite, habillé en costard pour partir au bureau, là vraiment il est extrêmement beau. le soir quand il rentre avec un léger début de barbe, il est presque encore plus beau. Mais en fait, rasé de près, il est aussi, vraiment très beau. Et alors la nuit, en caleçon sur le canapé, là, il est décidément formidablement beau.

Bon, je m'arrête là, mais croyez bien que l'auteure a poursuivi plus longuement. Et c'est ce genre d'écriture qui me déplait. Un détail encore, comment peut-on planter une scène dans un restaurant français très chic, s'amuser à y insérer des paroles en français, un menu en français, un vin rouge très cher qui y sera commandé et écrire un «le serveur lui rempli son verre de vin à ras bord» ???? Pour moi les auteurs se doivent d'apporter du soin à ce qu'ils écrivent, et être un minimum renseignés sur les situations qu'ils décrivent.

Donc en conclusion… bof…. Je ne partage pas l'avis des très nombreuses personnes qui ont adoré cette lecture et ne lirai pas un autre roman de cette auteure. Mais ceci dit, je l'ai lu très vite, j'ai été tenue par le suspens, et très surprise par les rebondissements.

Le genre de livre qu'on ne lâche pas, sur lequel on n'a pas le risque de s'endormir et de se prendre le livre sur le visage. Un thriller le plus académique qu'on puisse lire et comportant tous les ingrédients pour manipuler le lecteur en lui faisant croire ce qu'il veut bien et pour, au final, la découverte puis la révélation du pourquoi du comment. Une lecture addictive.

Millie est une jeune femme qui sort de prison et a besoin de travailler, étant en liberté conditionnelle. Elle vit dans sa voiture.
Elle va postuler pour un emploi de femme de ménage chez un couple très riche.
Elle s'aperçoit très vite qu'il règne une ambiance bizarre dans cette famille. Nina, la mère de famille semble d'humeur très changeante, la petite fille est odieuse, Andrew le mari est beau comme un Dieu et adorable. Mais faut il se fier aux apparences ? A quoi sert le petit cagibi dans le grenier qui sert de chambre à Millie ?

Un bon thriller psychologique.
Mais beaucoup de clichés et des invraisemblances.

Cela reste un bon moment de détente, une lecture facile et addictive.
Contente de l'avoir lu dans l'édition de poche.

C'est un livre qui me faisait de l'oeil (sans mauvais jeu de mots ahaha) depuis quelques semaines. Je l'ai vu défiler sur des blogs et groupes littéraires de nombreuses fois. Il fallait donc que je le lise pour m'en faire, moi aussi, mon propre avis.

Nous suivons l'histoire de Millie, une jeune femme qui est au service de la famille Winchester. Bien qu'elle vienne de débuter, elle se rend déjà compte que quelque chose ne tourne pas très rond dans cette famille. Nina, la mère, est toxique, menteuse et manipulatrice. A l'inverse, son mari est étonnamment doux, prévenant et serviable. Enfin, leur fille est étrange et se comporte comme une véritable petite peste... Les choses sont de plus en plus louches et incohérentes, sans compter que Millie est logée dans un cagibi minuscule et étrange sous bien des aspects....

Pour ce qui est des personnages, pas vraiment de demi mesure ici. On aime, ou pas.
Millie est une héroïne assez franche et débrouillarde. Mais on peine à s'y attacher. A l'inverse, on prend plaisir à détester Nina tout au long de l'histoire. Quand à Andrew, on ne peut s'empêcher de le plaindre de la situation... Je déplore un peu ces personnages clichés. D'ailleurs, les "mâles" sont tous virils, magnifiques et musclés...

D'un avis général, je dirais que cette lecture était en demi-teinte pour moi. L'intrigue se divise en trois partie. La première, je l'ai beaucoup apprécié: la mise en place de l'histoire, les secrets en suspens, la présentation des personnages. La seconde remet tout en question, et nous livre une bonne partie de l'intrigue. Enfin, la dernière nous apporte une conclusion irréaliste au possible...
Je dirais que le rendu était assez inégal et bien souvent prévisible. J'ai vu la chose venir à dix kilomètres. Pourtant, la plume de l'autrice à quelque chose d'addictif: des phrases pointues, des mots crus, des chapitres brefs. On se demande comment peut s'achever cette histoire rocambolesque, même si on peut en deviner les grandes lignes. J'ai aimé cette ambiance malsaine, teintée de voyeurisme. Néanmoins, sur le fond, ça manquait un peu de matière, de détails. J'ai appris qu'une suite venait d'être publiée. Je pense que je la lirais si l'occasion se présente, histoire de savoir ce que peut nous raconter l'autrice après la conclusion du premier opus.

En conclusion, il est indéniable que l'autrice est douée pour créer le suspense et lâcher des bombes ici et là pour nous donner l'envie de découvrir la suite. Néanmoins, j'ai peiné à m'attacher aux personnages, j'ai trouvé certains événements trop alambiqués et beaucoup de raccourcis dans l'intrigue. La dernière partie était clairement tirée par les cheveux. Dommage, la première était appréciable. J'ai, en fait, le sentiment d'avoir lu le scénario d'un téléfilm . Divertissant, mais pas marquant.

�ésillusion

�u début, j'étais plus qu'agréablement surprise.

🗝Un style hyper fluide et très (trop?) simple, peu de personnages, du coup on rentre directement et sans soucis dans l'histoire...

�s petites graines plantent une atmosphère malsaine qui laisse présager le meilleur pour le futur ... bref j'étais plus que ravie. Je ne savais pas où j'allais, mais j'y courais ...

🗝Impossible de dire mes coups de coeur ou haine pour les personnages. Sachez en tout cas qu'ils sont bien dessinés et aucun d'entre eux ne laissent indifférents. Combo gagnant à ce niveau (du moins au début ...)

🗝Mais, mais mais ...

🗝Mais voilà, le drame arrive ... et une totale désillusion avec 😭

🗝Un personnage a perdu toute crédibilité à mes yeux à trop vouloir nous donner des explications (même si elles étaient plus que nécessaires sous peine que le livre perde toute vraisemblance) ... le trop est définitivement l'ennemi du bien...

🗝Je pourrais aussi parler d'un personnage dont je n'ai toujours pas compris le rôle à part jouer au bon samaritain qui tombe à pic 🤭

�t, 10 pages avant la fin ... le coup de grâce avec une énormissime grosse facilité...
Digne d'une série TV hollywoodienne des années 80 ...
aaaarrrrrrfffff mais non pas ça en plus 😱. Ça m'a encore plus gâché cette fin et, par la même occasion, le livre entier ... déjà que mon ressenti ne tenait plus qu'à un fil déjà usé...

�n conclusion, me voilà encore à contre courant. Je pensais, les 100 premières pages être d'accord mais entre des personnages pas vraisemblables, un rythme qui retombe vite, quelques raccourcis, et une énorme facilité, l'histoire ne m'a pas parue crédible et je suis passée totalement à côté du livre (version polie et respectueuse).

Le début m'a tout de suite captivée. Une écriture simple, fluide, une situation bien campée, peu de personnages, du mystère et une angoisse qui monte crescendo... Ça partait bien !
Et puis vers le tiers du livre les qualificatifs de beau et sexy ont commencé à devenir redondants et je me suis demandée si à défaut de thriller psychologique je n'avais pas entamé une bonne vieille romance à l'eau de rose.
Le 2eme tiers se poursuit de la sorte et arrivé au dernier tiers du livre, patatras, tout s'accélère et se mélange dans un gloubiboulga sans queue ni tête qui tient lieu de twist final.

Bon, certes ça se lit vite et ça tient un minimum en haleine mais le style est mièvre, les incohérences nombreuses et les lieux communs se bousculent.
Millie ex-taularde vit dans sa voiture en attendant de retrouver du travail. Elle se fait embaucher comme bonne à tout faire chez Nina et Andy. Très vite Nina se révélera instable et odieuse et Millie tombera dans les bras du beau mari délaissé par cette dernière. C'est à ce moment que l'on comprend que le plus terrible des deux n'est pas celui qu'on pense et que c'est l'issue que Nina avait espérée pour se débarrasser d'un mari totalement pervers qui l'enferme régulièrement au grenier pour la punir.