La Femme de ménage

En bref :
Quelle grosse déception...

De quoi ça parle ?
D'une femme employée dans une grande et belle demeure. Ex détenue, elle prend sur elle pour endurer la toxicité de sa patronne.

Ma chronique :
Cette impression de lire un "mauvais" Desperate Housewives. (Attention j'adore cette série !!) Mais j'ai ce sentiment que ce roman est une comédie de bout en bout... Avec un peu de suspens quand même !

Si en première partie (non, les 150 premières pages à vrai dire) j'étais emballé, j'ai vite vu où l'auteure se dirigeait. Non mais, c'est beaucoup trop facile ces raccourcis !! En plus, j'ai noté quantités d'incohérences... et de clichés !

La première, cet Andrew, ultra beau gosse forcément, PDG, riche, et en plus super adorable avec ça.. Non non, un PDG déjà il n'a pas 30 ans dans la vraie vie (ou alors exception), après beau à regarder ou non c'est selon, mais disons juste que statistiquement ce n'est pas forcément le cas. Ici, ça m'a fait penser à 50 nuances de Grey (le fouettage en moins, dommage !!).

Ensuite, le beau petit jardinier Italien, regard sombre, pectoraux au vent... Je lève les yeux au ciel très fort dès sa première apparition. Cliché de chez cliché pour les deux seuls hommes du roman. Et bien sûr, ils ne peuvent pas s'encadrer... Tu m'étonnes ! Deux coqs dans une basse court...

Et si on je continuais ? Parce que oui il n'y a pas que ça !
- Millie, ex détenue, qui se voit confier la gamine de Nina...
- La dite gamine qui est une vraie peste avec Millie (pas cohérent quand on connait la fin !)
- Nina qui passe d'un état à l'autre en 2 secondes, sous anti-dépresseurs, antipsychotiques et compagnie !! Techniquement, c'est absolument impossible ! le cerveau de Nina sous ces diverses substances doivent forcément tourner au ralenti. Impossible que de ce fait qu'elle passe de l'ange à la manipulatrice !

Je comprends tout à fait qu'on puisse aimer ce roman et je respecte ça ! D'autant que quand on ne voit pas ces défauts, le roman est vraiment plaisant et facile à lire. Mais j'ai plus pensé à cette série citée plus haut, à prendre au second degré malgré quelques moments de frissons et de "noirceurs". Mais absolument pas un thriller psychologique à mes yeux, non il y en a de tellement crédible et meilleur (et de très loin !)

En conclusion :
Je ne me ferai pas d'ami aujourd'hui, mais c'est aussi ça donné son avis. Et je me suis promis à moi même de rester honnête et sincère aussi cru cela soit. Je n'ai pas aimé ce roman, je l'ai subi, et il ne me restera en tête que ces défauts.

Bon, lecteur, c'est quand même pas le thriller du siècle, je peux pas m'empêcher de le dire. Car au-delà de cette couverture qui cherche à t'appâter, j'avoue avoir eu la sensation d'être arrivée au beau milieu d'un téléfilm de M6, version cul-cul-la-praline mal doublé.

Si l'idée d'un huis-clos domestique aux allures machiavéliques promises en quatrième de couv' m'a direct donné l'eau à la bouche, j'ai vite déchanté au contact de cette prose de piètre qualité, traduite à la va-vite et qui use et abuse des ficelles hyper mal tendues de ce genre littéraire : indices gros comme une maison, héroïne nunuche au possible, situations improbables et personnages clichés à souhait. le tout est bien capillotracté.

Un grenier malsain, un patron beau à en crever et une femme cinglée empêtrée dans sa vie maritale, ça a de quoi faire frissonner pas mal de lecteurs, moi je suis restée hermétique... Pourtant, et comme à chaque fois que je zappe sur M6 les après-midi où il caille et où le rhume me cloue au canap', je suis allée au bout, habillée d'une fascination masochiste.

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Ayant vu des avis dithyrambiques sur ce livre, j'avais très très hâte de m'y plonger, croyant être tout aussi surprise que les autres. Cette histoire, c'est celle de Millie qui sort de prison et va trouver un job de femme de ménage dans une famille riche. Elle va devoir nettoyer la maison et s'occuper aussi de la fille de Nina, son employeuse. Et la tâche ne va pas être aisée, Nina a le don pour mettre le désordre, mais surtout elle se comporte assez bizarrement, de façon hyper lunatique. Et puis, il y a ce petit détail qui perturbe Millie, la chambre du grenier où elle sera installée ne se ferme que de l'extérieur.

C'est un ramassis de clichés, tant est si bien que je voyais venir les choses de très loin et que le plot twist ne m'a pas vraiment fait tomber de ma chaise. Je me doutais dès le début qu'il y avait un truc et j'ai vu venir ce qui allait se passer. Si j'avoue que la deuxième partie du livre était un peu plus intéressante, je suis quand même restée peu surprise par les événements. Un détail à la fin m'a paru un peu facile. Et la toute dernière révélation ne m'a pas arraché de hoquet de stupeur parce que je l'avais pressenti.

J'ai trouvé certaines choses vraiment incohérentes même si on finit par y voir une explication. Il y a quand même des trucs trop faciles. Je ne peux pas en dire trop sans vous gâcher le peu de suspens que contient ce livre.

En vérité, ce livre m'a rappelé Verity de Colleen Hoover (même si ce n'est pas du tout la même histoire) dans sa façon d'être et dans mon sentiment de lecture et ce n'est pas un compliment.

En bref, je suis surprise de la hype autour de ce livre, je dois l'admettre. Je n'ai guère aimé et je ne lirai sans doute pas la suite.
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Commençons par les points positifs :
- l'histoire se lit assez rapidement (quelques heures pour ma part)
- l'intrigue est suffisamment intéressante pour avoir envie de connaître le fin mot de l'histoire

Malheureusement les points négatifs ont un peu plus pesé dans la balance pour ma part :
- les personnages : je les ai trouvés extrêmement caricaturaux, clichés et qui ont manqué beaucoup de fois de cohérence par rapport à leur personnalité. j'ai trouvé certains passages assez sexistes (la scène où plusieurs femmes se retrouvent pour se critiquer entre elles était vraiment too much) et souvent pas assez crédibles.
- l'intrigue est assez mystérieuse mais finalement manque un peu d'originalité dans son développement et dans son dénouement. je trouve que les éléments se trouvent assez rapidement au début-milieu de l'histoire. je m'attendais à être beaucoup plus surprise que cela.

Ce n'est pas une mauvaise lecture mais j'avoue que j'attendais plus de rebondissements, des personnages moins manichéens et plus de subtilité dans l'action et dans leur personnalité. Je pense quand même que je passerai mon tour sur le second tome.

Il est vrai que ce roman tient en haleine et qu'il est facile d aller au bout, même si j'en avais finalement soupçonné la fin très rapidement, disons que c'est un peu cousu de fil blanc.
C'est une lecture facile, le style est pauvre, les personnages clichés. Bref, ça peut se lire pour se divertir de la même manière que l'on peut regarder un téléfilm de Noël de M6 un dimanche froid et pluvieux.
J'ai noté beaucoup de redondances "les pas qui claquent comme des coups de fusil" nous est tout de même servi a minima 3 fois .....
Je ne lirai pas la suite, j'en ai assez lu.
Je ne comprends pas l engouement pour ce livre qui n'est pas un chef d oeuvre, qui n'a ni poésie ni réalisme.
Le tout dernier chapitre, c'est le coup de grâce, la goutte d eau qui fait déborder le vase.

Je viens de passer quelques jours en compagnie de Millie, La femme de ménage. À la recherche d'un travail, celle-ci emménage chez les Winchester en tant qu'employée de maison. Mais très vite, elle ressent un malaise dans cette famille.

J'ai bien accroché aux premiers chapitres de ce roman. Des petits détails étranges nous plongent dans une ambiance malsaine et angoissante, à commencer par la porte de la chambre de Millie qui ne s'ouvre que de l'extérieur. Mais, j'ai assez rapidement désenchanté en raison de la tournure prise par l'intrigue. Pardonnez-moi l'expression, mais on dirait que Mille veut se taper tout ce qui bouge. Forcément, les hommes qui l'entourent sont si "sexys" (mot utilisé à outrance par l'auteure qui apparaît des dizaines de fois dans le récit). J'avais l'impression de lire un mauvais roman à l'eau de rose. Finalement, j'ai eu un regain d'intérêt dans les derniers chapitres, une fois que l'on sait qui se cache derrière toute cette machination. J'avais déjà deviné qui c'était. Mais, c'est intéressant de suivre le cheminement des évènements. Au-delà de l'intrigue, l'écriture n'est pas très travaillée. Mais, peut-être est-ce dû à la traduction.

Comme vous pouvez le lire, je n'ai pas été enthousiasmée par ma rencontre avec La femme de ménage. Mais, je suis à contre courant de nombreux lecteurs. Alors, n'hésitez pas à ouvrir la porte pour faire sa connaissance et ainsi vous faire votre propre opinion.

Quelle vitesse folle sur cette lecture. On ne peut lui enlever ça, addictive, oui on a envie de connaître la suite. Bien Écrit ? Mh pas sur ! Je suis quand meme tombée dans le panneau et ne me suis pas méfiée. En revanche par moment, j'ai été fortement agacée dans l'écriture, avec des phrases plate et bateau, comme une mauvaise romance écrite pleine de mièvrerie . Notamment un moment ou grosso modo il est écrit : (je ne reprend pas les termes exact)

" tu veux en parler ? " "non je ne préfère pas" "j'ai une autre idée de ce qu'on pourrait faire" Et il le fait. Fin de chapitre.
Non mais c'est ça va quoi, plus nunuche tu meurs.

Par moment j'oubliai carrément que la fille été adulte et sortais de taule tellement elle est gamine dans sa tête. C'est gonflant. C'est non pour moi ce genre de chose , ça me fait lever les yeux au ciel.

Tout comme le moment où (ATTENTION PETIT SPOIL ):
Nina est virée de la maison, elle a à peine quitter le coin de la rue avec sa voiture que l'autre se retrouve déjà à investir les lieux. C'est mal amené !!! Cela m'a semblé peu probable, comme si l'écrivaine a vite voulu arrivée à la fin de son livre pour le coup de grâce ce qui donne une sensation de vouloir bâcler ce moment là .

Mais je me suis dit que c'était justement pour en venir la ou l'écrivaine souhaité qu'elle a vite conclu l'histoire Millie et Andrew …

J'arrive pas a dire si c'est une bonne lecture ou pas.

PS : je suis femme de ménage et le clichée des femmes bourgeoise qui parle comme à des chiens et ce comporte comme des pestes envers les employés de maison c'est quand même rare maintenant, en 2024 . C'était mal fait en plus je trouve trop dans l'exagération .

Étant donné les avis, je me suis empressé de d'acheter ce livre … étant fan de thriller et encore plus psychologique.

Une vraie déception, je trouve l'histoire bien trop prévisible et les personnages en plein dans le cliché …

Malgré tout je dois avouer qu'on a envie de finir le livre, comme un vivendi feuilleton, histoire de confirmer qu'il était vraiment pas top.

Je n'ai pas du tout accroché à l'histoire de ce livre.
Les personnages sont trop outrés,l'écriture n'est pas vraiment travaillée et les chapitres s'enchaînent sans surprise ;pas de réels rebondissements dans ce qui était annoncé comme un vrai suspens.
Peut-être tout se bouscule après la page 215 soit un peu plus de la moitié du livre,mais j'ai abandonné

Suite aux très nombreuses critiques positives, je me suis lancée avec enthousiasme dans la lecture de « La femme de ménage ».
Le premier chapitre me conforte dans cette idée. Puis, arrive la rencontre entre Nina Winchester et Millie, la future femme de ménage.
Bien évidemment, malgré un passé et un CV peu recommandable, elle sera engagée.
La découverte de la demeure des Winchester et le ressenti de Millie, me conforte dans mon envie de lire l'ouvrage de Freida McFadden.
Malheureusement, la suite du roman me déçoit rapidement. le style d'écriture ne m'emballe pas (à moins que ce ne soit dû à une mauvaise traduction !), c'est mou et d'une platitude qui m'incite, à plus d'une reprise, à abandonner la lecture. Seule la rapidité de lecture, liée à de cours chapitres, fait que je persiste.
Finalement, le rebondissement final pimentera légèrement cette lecture un peu fadasse à mon goût. Bref, vous l'avez compris, je ne lirai pas la suite.