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Note moyenne 3.72 /5 (sur 685 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Nancy , le 13/01/1970
Biographie :

Nathalie Hug est une romancière et scénariste.

Elle a travaillé pour l'industrie pharmaceutique d'abord comme délégué médicale, puis comme responsable de formation du réseau et enfin comme directrice régionale.

En 2004, Jérôme Camut publie les deux premiers tomes de la tétralogie "Malhorne" aux éditions Bragelonne. Nathalie Hug se les procure et, bouleversée par sa lecture, décide de contacter l’auteur. Ils ne se quitteront plus et commencent très vite à écrire ensemble.

Naît ainsi "EspylaCopa", une nouvelle Fantastique publiée dans Fantasy 2006 aux éditions Bragelonne. Puis le thriller "Prédation" (2006), premier opus de la trilogie "Les Voies de l’ombre", aux éditions Télémaque. Depuis leur mariage en 2006, les deux auteurs consacrent leur vie à l’écriture.

Les Éditions Calmann-Lévy ont publié "Les Éveillés" en 2008, "3 fois plus loin" en 2009 et "Les Yeux d'Harry" en 2010.

Dans son premier roman solo, "L'enfant-rien" (2011), elle a imaginé un personnage naïf et inquiétant, à la voix singulière, aux questionnements bouleversants. Suivront "La demoiselle des tic-tac" (2012) et "1, rue des petits-pas" (2014).

Site officiel de Nathalie Hug et Jérôme Camut :
http://www.jeromecamut.com/



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Source : polars.pourpres.net/
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Citations et extraits (121) Voir plus Ajouter une citation
J'ai crié ma solitude, ma douleur d'être oublié, j'ai crié mon désespoir d'entendre le bébé hurler, juste parce qu'il avait faim alors que moi j'en étais malade de chagrin.
Ma mère était un fantôme, mon père un inconnu et ce truc inutile aspirait tout l'amour de cette maison.
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Autour d'elle, les sentiments étaient maigres, les gens se régalaient de merles en rêvant de grives. Eddie était certaine que la plupart d'entre eux ne rêvaient pas l'amour, ils rêvaient leur vie par manque de temps, excès de stress ou absence d'envie.
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Soit ma mère avait eu un amoureux secret, soit elle avait décidé de me fabriquer avec des oeufs congélés, soit elle avait été violée, soit mon père était mort et elle l'ignorait, soit c'était un bandit et elle voulait m'épargner la honte, soit elle était la Sainte Vierge et moi le petit Jésus.
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Oma Chouchou racontait tout le temps que les suicidés grillent en enfer pour toujours. Moi, je ne crois ni au paradis ni à l'enfer, c'est une invention des curés pour forcer les gens à obéir.
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Bientôt les canons cesseraient de labourer les cadavres, les bois et les prés, et un autre combat débuterait. Il faudrait soigner les blessés, soutenir les vivants, guérir le corps et le cœur des femmes, enterrer les morts et retrouver les disparus.
Tout serait à reconstruire, les murs et les gens.
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- J'ai entendu dire que vous aviez pratiqué un avortement dans un village voisin, et que vous proposiez à vos patientes des méthodes de contraception. Vous savez que l’Église condamne ce genre de pratiques.
- Nous n'avons avorté personne, m'irritai-je, mais sauvé de la mort une femme dont l'enfant était condamné. Nous devions la laisser agoniser, c'est ça ? Au nom de quoi ?
- Mais l'enfant à naître est une créature de Dieu, vous n'avez pas le droit de...
- Bien sûr, m'esclaffai-je, j'ai le droit de regarder mourir une patiente les bras croisés !
- Louise, vous ne me comprenez pas bien . Donner la mort ou empêcher la vie ne sont pas des prérogatives humaines.
- Allez dire à cette femme qu'elle devait mourir au nom de Dieu ! Et aux filles violées par leur père, ou par des déments, qu'elles doivent se réjouir d'être enceintes ! Et tant que vous y êtes, allez expliquer aux putains qu'elles ne doivent pas se prémunir d'une grossesse ! Ou mieux, pauvre curé que vous êtes, ajoutai-je folle de rage, demandez donc à votre Dieu qu'il s'incarne pour le leur dire lui-même ! Et quand il l'aura fait, alors seulement j'irai me confesser !
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Allez dire à cette femme qu'elle devait mourir au nom de Dieu ! Et aux filles violées par leur père, ou par des déments, qu'elles doivent se réjouir d'être enceintes! Et tant que vous y êtes, allez expliquer aux putains qu'elles ne doivent pas se prémunir d'une grossesse ! Ou mieux, pauvre curé que vous êtes, ajoutai-je folle de rage, demandez donc à votre Dieu qu'il s'incarne pour le leur dire lui-même ! Et quand il l'aura fait, alors seulement, j'irai me confesser.
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Dès le début de la guerre, [ma mère] m'a appris à gérer les stocks et à quitter la table avec la faim au ventre. Ce qui compte, disait-elle d'un air sévère, ce n'est pas d'être rassasié, c'est d'avoir assez de force pour courir vite. (p. 95)
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J'avais grandi dans le vide de ma mère, dans le manque de tout, dans la douleur des travaux de forçats auxquels on me soumettait, dans l'euphorie de l'alcool qu'on me faisait ingurgiter pour étouffer mes pleurs quand après avoir labouré des heures, je devais passer la nuit à ensemencer les champs, courbée au-dessus des sillons.
J'avais grandi dans l'idée que la vie n'était que souffrance, et qu'il me fallait accepter ce sort, puisque tel était celui que Dieu m'avait choisi. Ce Dieu que je devais chanter le dimanche, tellement fourbue par ma semaine que je ne parvenais plus à me lever pendant la messe, quand le curé me l'ordonnait. Ce même Dieu qui m'avait enlevé mes parents d'abord, puis Hortense, la frappant de la vérole, et qui nous avait livrées à des soudards, la Vieille et moi.
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La grippe et la guerre avaient fait tant de victimes que faute de place dans les cimetières, nombre d'entre elles étaient jetées dans des fosses communes en attendant d'être identifiées et rendues à leurs familles. Partout, des fossoyeurs clandestins ramassaient les corps pour les monnayer car nul n'avait l'autorisation d'ensevelir en dehors d'un emplacement officiel.
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