La belle vie

Une belle écriture, bien travaillée. Une histoire d'adultère - sur fond de reproduction du schéma parental - qui n'aboutit pas en raison du besoin de se fondre dans le moule familial et routinier. Malheureusement, le roman perd de son souffle au fil des pages.

Amis du livre, bonjour.
Il faut être un peu prétentieux pour émettre une critique sur un auteur qui se donne beaucoup de mal pour nous faire plaisir en le lisant, mais puisque l'on peut émettre son avis, alors…..
Incroyable, je n'ai jamais pu dans cette lecture m'accrocher à quoique ce soit, je me suis ennuyé ferme.
Les personnages, gens riches, mondains, urbains, décalés de la réalité ne servent à rien dans ma réflexion de la société, ils sont inutiles.
J'attendais à un moment quelque chose, mais non, rien, à part un peu d'humour de temps en temps.
Je suis plutôt du côté de l'Amérique chantée par le Boss, pas celui décrit ici.
Mais ce n'est que mon humble avis.
Bonne lecture à tous.

Je n'ai trouvé aucune qualité à ce roman qui a mon sens est superficiel, creux, vain mal écrit. On me dira que c'est la quête de sens post 12 septembre... ouais.,. Sur cette perte de sens d'autres s'y sont attelés avec talent. Agacée en suis je ressortie

Bon je m attendais à un livre sur les conséquences du 11 septembre dans le quotidien de la vie... J ai été déçue. Au début du livre nous sommes le 10 septembre avant que tout cela n arrive. On partage un repas de la grande bourgeoiserie avec des conversations très stéréotypées et un peu inintéressantes. Puis arrive la deuxieme partie où la lecture devient plus agreable, plus humaine. Corrine rencontre Luke dans les lieux du Ground Zero. Belle histoire d amour mais Corrine ne cesse de culpabiliser. Et puis enfin (car c est tres long) arrive la 3e partie et la fin décevante. Et on se demande pourquoi on a lu ce roman. Je pense qu'il faut être américain pour aimer (peut-être) ou vouloir lire une étude des moeurs américaines de cette époque pas si lointaine.

Une histoire d'amour et d'adultère sur fond de 9/11. Bof !

Roman post- 11 Septembre, La belle vie est également la suite de Trente ans et des poussières. C'est donc avec plaisir que l'on retrouve les personnages de Russell et Corrine. Peut-être le plus mélancolique et le plus touchant des romans de McInerney.

Comme quelques autres critiques, je trouve l'ensemble assez inégal et même presque brouillon à certains moments.
Je n'ai pas réussi à "intégrer" ce livre qui démarrait pourtant bien (je parle réellement du démarrage c'est-à-dire les premières pages) car rapidement, je me suis perdue dans ces personnages que l'on quitte et que l'on rejoint quelques pages voire quelques lignes plus tard, que l'on survole en somme. L'auteur ne rentre pas dans certains points que l'on voudrait approfondir mais s'attarde sur des menus détails, sur des personnages très secondaires. Plusieurs fois, j'ai perdu le cours de ma lecture, m'obligeant à remonter quelques lignes pour comprendre ce que je lisais.
Cette lecture a été pénible pour moi et j'avoue ne même pas avoir pu l'achever (ce que je n'aime pas faire généralement).

Je suis restée sous le charme de l'histoire d'amour contée dans ce roman. Ma note est pour cet amour pas pour l'ensemble du roman qui met en scène la situation, l'ambiance, les personnages. Ce sont les ultra riches de l'Upper East Side de Manhattan juste après le 11 septembre.
Cette description était peut-être nécessaire mais c'est très long et je me suis lassée de voir évoluer ces ultra nantis avec leur vacuité, leur arrogance, leur égocentrisme. J'ai failli stopper ma lecture avant que ne commence la belle histoire (a plus de la moitié du livre).
Jay McInerney écrit très bien et il a dû vivre un amour sublime pour si bien en parler. Ça fait du bien de rêver...

Beaucoup de mal a accrocher ca devient un peu plat a la fin.

J'ai mis beaucoup trop de temps à lire ce livre pour tenter d'argumenter comme si c'était un bon roman... Clairement, ce n'est pas un bon roman... au mieux c'est un bon roman "sentimentale" !
Mais c'est dommage car l'histoire de départ et qui donne le fil rouge à ce livre est enviable et intéressant : en quoi les attentats du 11 septembre ont bouleversé socialement des milliers de vies et de familles ? Peut-on (alors que des choses atroces viennent de se passer) trouver son âme soeur? J'aurais aimé que les 200 premières pages se prolongent mais que les 200 dernières s'arrêtent bien avant...
Bref, l'écriture du roman est inégal et donne l'impression qu'une fois le décor planté, l'auteur n'a plus su quoi écrire et a donc acheminé son récit là où il le pouvait !!