Le prof, moi et les autres

Lara est le bouc émissaire de sa classe. Sa pauvreté, un père qui a fait faillite, une mère contrainte de faire des ménages et surtout sa couleur de cheveux, un magnifique roux, font d'elle une cible.

Intelligente, elle essaye de se défendre. Mais sa répartie ne fait qu'enflammer la haine à son égard. Mais Lara doit tenir le choc car ses parents ont tout misé sur elle en lui offrant une école hors de leurs moyens.

Alors la jeune fille tente de survivre tant bien que mal. C'est alors qu'arrive un nouvel enseignant, qui porte sur la jeune fille un regard différent qui l'aide à s'aimer et à reprendre confiance. Mais Lara tombe amoureuse et la situation devient vite inextricable...

Le livre nous offre le journal intime d'une jeune fille confrontée à plusieurs problèmes : la question de la misère et des difficultés financières de la famille, la mise en place d'un harcèlement de plus en plus terrible et enfin celle des relations de l'élève et de son professeur.

Elles vont s'entremêler et former un puits qui va aspirer la jeune fille. le lecteur partage les émotions et les interrogations de la jeune fille à travers son journal.

Une lettre finale éclaire de façon plus stricte la responsabilité des adultes dans l'histoire. Un livre à partager pour réfléchir tous ensemble et lutter contre toutes les formes de harcèlement !
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L'histoire que Lara nous partage à travers son journal, dévoile une partie de son adolescence pendant laquelle elle a subi un harcèlement quotidien et a trouvé refuge dans les bras de son professeur de littérature. Ce que cette pauvre adolescente a vécu est dur à lire, je dirais même insupportable. L'histoire d'amour interdite est très belle et vient contrebalancer son quotidien, Ben est sa bouée de sauvetage. J'aurais aimé une autre fin, malheureusement, je crois que l'auteur a bien analysé la situation et que cela ne pouvait finir que de cette manière... Une belle histoire qui a sauvé et fait grandir Lara.

Donc je pense que je viens de me prendre une sacré claque et je ne l'ai pas vu venir celle là, mais vraiment cette gifle sort de nulle part. Je m'explique. En voyant la couverture et le titre rigolo je m'attendais à une lecture légère genre doudou. Et puis vient cette quatrième de couverture plutôt brève et l'on se dit que l'on va lire le journal intime d'une adolescente de 15 ans typique avec ses fantasmes obsessionnels sur un prof sexy.
Et bien que nenni. Ce roman jeunesse m'a d'abord donné des frissons genre sueurs froides, envi de vomir à plusieurs reprises (mais pas pour le sujet sensible au premier abord), ensuite j'ai eu des crise de fous rire et heureusement car Lara peut se montrer déroutante parfois et j'ai fini en pleurs à la fin (même si j'ai eu pratiquement la larme à l'oeil tout le long de ma lecture).
Alors Rachel McIntyre décide de traiter plusieurs sujets sensibles dans son court roman (250 pages mais ça suffit pour le concentré d'émotions) auxquels on ne s'y attend pas du tout jusqu'à réussir à me faire digérer la "situation inacceptable". Je me suis demandée où voulait en venir l'auteur et les 3 dernières pages m'ont achevé!
Lara cette jeune fille intelligente et extraordinaire qui a la malchance d'être "différente" pour sa classe de snobinard et heureusement ou malheureusement (comme vous le souhaitez) va trouver sa bouée de sauvetage en cours de littérature. Une jeune fille perdue qui aura comme seul véritable ami son journal intime et cherchera à exister pour quelqu'un. Lara m'a touché, m'a ému, m'a fait pleurer et m'a fait mourir de rire (je dirais heureusement sinon j'aurais fini en miette).
Pour moi ce sera le coup de coeur surprise. Je voulais une lecture sans prise de tête et je me suis retrouvée avec mon coeur malmené. Sacré coup de maitre quand on sait que son journal intime ne fait que 250 pages.
Un très belle découverte pour l'auteure en espérant la relire mais c'est dommage qu'il n'y a pas d'autres livres d'elle même en VO

Thèmes forts, sujets importants, ce roman les multiplie et l'auteure aurait pu trouver tellement d'autres manières de les traiter. le choix narratif n'a pas été pour moi optimal. le récit ne s'attache qu'à l'essentiel, en plus de mettre trop de distance avec les personnages, alors que ce dont l'auteure parle aurait mérité d'être plus approfondi. Si ce qui se passe, ce qui touche au harcèlement est arrivé à franchir ce mur qui me séparait de l'héroïne, l'histoire d'amour m'a laissée indifférente. À la fin j'ai compris certaines choses sur cette romance, il n'en reste pas moins que je n'ai pas aimé comment l'auteure terminait son histoire, comment elle concluait toutes les choses importantes. Aucune prise de risque et aucune originalité (si ce terme peut être employé dans ce genre de récit). La lettre de fin m'a permis d'atténuer ce sentiment négatif que je ressentais en découvrant les dernières pages, mais le roman reste pourtant bien décevant.
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Quand on voit une fille de quinze ans affirmer « Ma vie est un enfer », on lève souvent les yeux au ciel en murmurant « Crise d'adolescence... ça lui passera ! ». Sauf qu'ici, il faut bien l'avouer, l'expression est de mise et frôlerait même l'euphémisme ! Ça m'a d'ailleurs étonnée car en entamant cette lecture, j'avais en tête quelque chose d'assez léger et pétillant, d'autant plus que le style d'écriture s'y prêtait. Comme quoi, la première impression n'est pas toujours la bonne mais ne gâche en rien la suite ! La parole est donnée à Lara et le roman se présente sous la forme d'un journal intime. le parler est jeune, sans réelles figures de style, mais l'ensemble est fluide, soigné et agréable à parcourir. Certaines expressions sont typiques d'une adolescente de cet âge, avec toute la rébellion et le sarcasme qui sommeillent même dans le coeur des gentilles filles comme Lara, et j'en ai souri à plusieurs reprises.

Lara est une lycéenne aux cheveux roux flamboyants, au physique apparemment tout sauf ingrat, mais avec un terrible défaut aux yeux de ses camarades de classe : elle est pauvre. Son père a perdu son emploi il y a deux ans de ça, et depuis, c'est la dégringolade. La vente de la maison familiale, les factures impayées qui s'accumulent, les privations constantes,... Pire encore, le père de Lara est complètement démotivé et passe ses journées devant la télévision, une canette de bière à la main, pendant que sa femme accepte des petits boulots de plus en plus ingrats pour leur maintenir la tête hors de l'eau. Les tensions se font de plus en plus fortes, dans un couple qui était pourtant solide à la base, et il n'en faudrait pas beaucoup pour que leur mariage implose à tout jamais. Pris entre les deux feux, on retrouve Lara et son petit frère qu'elle n'a plus trop plaisir à chahuter depuis que tout va de travers... même si elle s'attire souvent les foudres de sa mère à cause de ses bêtises à lui.

Au lycée, la situation de Lara n'est pas plus enviable. Sa position sociale n'est qu'un prétexte pour la peste fortunée locale, Molly, qui prend un malin plaisir à la rabaisser et à l'humilier sans lui laisser un seul moment de répit. Molly embringue autant de monde que possible dans sa petite guerre personnelle, gratuite et mesquine, et malheureusement, cela marche bien... Harcelée de toute part, piégée quotidiennement dans le bus scolaire, Lara étouffe à petit feu et personne ne semble s'en rendre compte. L'ambiance du roman est dès le départ assez oppressante et on se demande combien de temps encore Lara va bien pouvoir tenir bon face à tant d'injustices. J'ai eu plusieurs fois envie de la secouer, de lui dire d'agir, qu'elle n'avait de toute façon plus rien à perdre en en parlant aux adultes, parents ou enseignants. Même si elle nous explique bien pourquoi elle ne le fait pas, j'ai eu du mal à accepter de la voir tolérer tout ça, encaisser à la maison, à l'école,... En cela, Rachel McIntyre nous montre bien les mécanismes pervers du harcèlement scolaire.

Heureusement pour Lara, une rencontre va progressivement changer la donne : Ben Jagger, son nouveau professeur de littérature. Il est le premier à la valoriser, à pressentir qu'elle cache un lourd fardeau et à s'efforcer de la convaincre de se livrer à lui. Pour le meilleur ou pour le pire, M. Jagger n'a que vingt-quatre ans et est très séduisant. Ajoutez ces données au fait qu'il porte à Lara une attention sincère et advient l'inévitable : Lara en tombe amoureuse. L'auteur s'aventure dès lors en terrain miné, celui du détournement de mineur (en plus d'un manque d'éthique total de la part du professeur). Leur relation naissante est très touchante et apporte une lueur d'espoir dans ce noir tableau. Ben est conscient des ennuis que cela pourrait lui attirer, il oppose des arguments comme on en voit partout dans ce genre de situations mais n'en prend au final pas vraiment compte. Ce qui aurait pu me mettre mal à l'aise pendant ma lecture s'est pourtant révélé constituer l'un des deux points forts de ce roman. En plus de dénoncer la virulence et l'implacabilité du harcèlement scolaire, Rachel McIntyre nous fait entrer dans les coulisses d'une relation que la plupart jugerait malsaine. Sans en faire l'apologie, elle nous montre ce que les liens tissés entre Lara et son professeur lui ont apporté dans la vie, comment ils vont la tirer vers le haut malgré le bourbier sans nom dans lequel elle s'enlise avec impuissance depuis si longtemps. Il n'y a nullement besoin d'être d'accord avec ce qu'ils font pour sentir qu'au moins, ils sont sincères et bien intentionnés. Et surtout, l'auteur a su trouver la conclusion avec un C majuscule, celle qui sonne incroyablement juste. À mes yeux, elle est parfaite et donne toute sa grandeur et son intelligence au roman.
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3.25/5 : le Prof, moi & les autres m'a tout de suite donnée envie du fait de son résumé accrocheur qui fait appel à des problèmes contemporains importants. Est-ce que le résultat est à la hauteur ?

Ce livre se dévore d'une seule traite et c'est déjà un aspect positif pour l'ensemble. On suit avec intérêt les événements difficiles subis par l'héroïne. Cette dernière fait l'objet d'un harcèlement scolaire poussé, virulent, dangereux et qui ne peut qu'interpeller le lecteur vis-à-vis de ce problème grave. Je pense d'ailleurs que c'est le gros point fort de ce livre : créer une réaction du lecteur contre le harcèlement, l'amener à se sentir réellement concerné.

Je dois avouer qu'au regard de la couverture et du résumé j'ai eu plus tendance à penser qu'il s'agissait d'une romance avec une héroïne malicieuse et drôle alors qu'au contraire ce livre est plus de l'ordre du "drame". Je pense que l'auteure a trop hésité dans son livre : une romance ? une comédie pour adolescents ? un drame adolescent ? Dès lors je me perdais dans le rythme de cette aventure.

J'ai trouvé certaines réflexions de Lara pertinentes, certaines situations m'ont faite penser à Pretty Little Liars, certains moments relevaient plus d'un roman à la John Green : c'est un mélange intéressant mais le fait que ce livre soit aussi court et qu'il repose sur un journal intime ne permettait pas de tout appréhender. On passe de phrases à l'eau de rose à des passages de pure colère face à l'injustice : mais après tout c'est cela l'adolescence. Je pense que j'aurai beaucoup plus apprécié ce livre si la fin ne m'avait pas gênée en réalité. J'ai trouvé le dénouement assez "moralisateur" ce qui n'est pas le but de ce genre de livre. Au contraire on recherche la compréhension et non un jugement.

En définitive, une lecture agréable mais qui aurait gagné en efficacité et en émotion avec une fin moins moralisatrice et plus enjouée.
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Lorsque j'ai vu le speech et la couverture, ce livre m'a de suite attirée. Ça parle du harcèlement scolaire et d'une histoire d'amour entre un prof et une élève. Et puis ça fait du bien de lire du contemporain de temps en temps, aussi ! de ce fait, je partais très positive quand je l'ai commencé, et j'ai été directement déstabilisée par la narration. Je ne m'attendais à ce que ce soit écrit sous forme de journal intime et j'ai mis un peu de temps avant de m'habituer. Je ressors assez mitigée de cette lecture.

Lara a quinze ans et rentre tout juste dans l'adolescence. Sa vie au lycée n'est pas ce qu'il y a de meilleure. Brimée par ses camarades de classe, elle cache sa douleur à ses proches et ne se confie qu'à son journal intime, qui sait tout de sa vie. Mais sa vie va radicalement changer, le jour où son nouveau prof de français arrive dans le lycée. Toutes les filles se pâment devant lui, essayant de le draguer à coup de clin d'oeil, de maquillage qui ressemble à un pot de peinture et de niaiserie. Évidemment, elle aussi tombe sous son charme, mais garde pour elle son attirance, et ne se montre pas autant que ses camarades. Et « miracle de la vie », comme elle le dit, lui aussi tombe amoureux d'elle. Dès lors, leur vie se complique, car une relation prof/élève est évidemment interdite. Ils devront se cacher pour vivre leur amour, mais ce dernier va-t-il durer longtemps ?

Comme je le disais plus haut, dès le départ j'ai été déstabilisée par le choix de la narration. Je ne m'attendais pas à un journal intime. Puis je m'y suis habituée, et après un second point m'a vraiment dérangée : leur relation. Oui, normalement, une histoire d'amour me fait craquer, mais pour le coup, je l'ai trouvée très glauque et disproportionnée. Je m'explique : étant donné que nous suivons Lara sous forme de journal, la vision de leur relation est très différente. J'ai souvent levé les yeux devant ses réactions, à tel point que pour moi, elle était loin d'avoir 15 ans, mais plutôt 12-13 ans. Elle avait des réactions de gamine, alors qu'elle est censée être au lycée (lycée à 15 ans ? Pour moi on est encore au collège, m'enfin... Et être en terminale à 15 ans ? Bizarre aussi. Après, elle peut avoir sauté des classes, mais ce n'est pas mentionné. Bref!).

Ensuite, je trouve que le résumé en dit trop, étant donné que l'on sait que le prof est amoureux d'elle que vers la fin, ce qui fait qu'on est un spoilé de l'histoire, même si on se doute comment ça va se terminer. Donc cette première partie m'a assez déçue, mais comme je voulais savoir comment ça allait se finir, j'ai tout de même continuer ma lecture. Au-delà de cette relation, il y a aussi un thème difficile qui est abordé : le harcèlement scolaire. Pour le coup, l'auteure a vraiment bien réussi à retranscrire ce que peut ressentir un élève qui est brimé par ses camarades. de ce fait, le lecteur est outré du comportement de ces derniers, et à juste envie de défendre Lara, qui reçoit tout ces insultes et coups sans broncher. Bon, elle a aussi un sacré caractère qui fait qu'elle a du répondant, ce qui n'est pas forcément une force, car ses agresseurs y trouvent une excuse pour aggraver son cas.

La seconde partie m'a plus plu, par contre. La relation entre Ben et Lara est vraiment mignonne, même si on voit que Ben, bien qu'il soit amoureux, essaye aussi de la préserver en répétant que leur relation n'est pas bien, qu'il peut être viré, faire même de la prison, et qu'elle sera automatiquement reléguée au camp de victime. Il est vrai que vu la tournure que prenait le roman, je ne savais pas à quoi m'attendre avec la fin. Je ne savais pas ce que l'auteure avait en tête et je dois dire que cette fin est triste, même si c'est la meilleure fin qui puisse être dans ces conditions. J'en ai presque eu les larmes aux yeux, et j'ai eu mal pour Ben et Lara, car on se doute tout de même de la finalité de leur relation. Donc pour moi, cette fin relève un peu la première partie que j'ai trouvé un peu hors du temps et pas vraiment réaliste, de par l'âge de Lara et sa mentalité qui sont vraiment opposés.

En résumé, une lecture en demi-teinte avec une première partie qui ne m'a pas transportée, et une seconde partie qui a remonté un peu le livre. Un sujet douloureux pour beaucoup d'élèves écrit avec beaucoup de réalisme, qui énerve le lecteur devant la méchanceté des jeunes entre eux. Une romance qui devient mignonne vers la fin, mais qui au début m'a parue trop peu réaliste. Et une fin qui paraît logique mais qui est aussi très triste.

* Je remercie Elodie et Macadam pour leur confiance ! *

Justine P.
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Lara est une ado de 15 ans banale, sans rien de spécial. Petit hic : elle est harcelée et maltraitée par ses camarades de classe, qui lui font vivre des choses abominables. Et puis un jour, un homme merveilleux, parfait et blablabla arrive et se présente comme étant leur professeur de littérature. Je ne vous en dis pas plus, découvrir les péripéties de vous même pourrait s'avérer assez amusant :)
Bon le résumé me tentait, "Le prof, moi et les autres" avait l'air d'être un livre frais, sucré et sans prise de tête. Ce qu'il est ! Cela a été une lecture super agréable et très distrayante. J'ai seulement été un peu irritée par le côté très jeunesse du roman, comme le comportement de Lara...
Cela a malgré tout été une bonne lecture, que je recommande à tous ceux qui aiment les livres jeunesse et sans prise de tête !

Sous la forme d'un journal intime, Lara raconte sa vie d'adolescente, son coup de coeur pour son prof mais surtout de l'enfer qu'elle vit au lycée car elle est victime d' harcèlement moral et physique par d'autres élèves.
L'auteur arrive à décrire avec beaucoup de réalisme le harcèlement. J'ai souffert avec Lara. J'ai été ulcérée, choquée par la violence des autres élèves.
Mais j'ai aussi eu des petits papillons au ventre quand la relation entre Lara et Ben, son prof se développe. Il va la valoriser, l'aider
C'est, je crois la première fois que je fais ma curieuse et que je lis ( un peu) la fin alors qu'il ne me restait que 50 pages à lire !!
Celle ci est logique, Juste mais.... A vous de la découvrir !

Un roman assez frais, rapide à lire et qui aborde un sujet, à mes yeux, assez peu exploité : les relations profs-élèves.
J'ai trouvé le ton relativement juste, quoique je ne sais pas si beaucoup d'ado pourront se reconnaître dans le personnage principal, mais en tout cas, il ne me semble ni trop niais, ni trop en décalage avec son âge.
Je regrette légèrement que le thème du harcèlement scolaire, qui est un sujet fort également, même s'il n'est pas censé être central, ne soit pas plus abouti, l'issue choisie me semble trop mise en retrait.
Ce livre, sans être impérissable, me laisse donc une bonne impression finale, je le recommanderai facilement à des collégiens.