Dans El pecado del mundo, les couleurs sont aussi crues que celles utilisées par l'auteur pour peindre la misère des hôpitaux et des dispensaires. Cette fois, l'ambiance est celle des ateliers d'usine, des maisons misérables et des tavernes, qui constituent le monde des déshérités. Maxence Van der Meersch ne tombe pas dans la tentation de soulever des protestations ou de défendre des théories. Il se borne à exposer ce que l'on peut voir au quotidien dans les faubour... >Voir plus