Un grand classique de l’écoféminisme – un livre fondateur des humanités écologiques Entre le 16e et le 17e siècle, l’image d’une Terre organique, féminine, et vivante fait place à une nouvelle vision du monde dans laquelle la nature est reconceptualisée comme une machine morte et passive, autorisant ainsi sa spoliation sans limite aux mains de l’homme. Dans La Mort de la nature, Carolyn Merchant montre que ce changement de paradigme aurait justifié non seulement la ... >Voir plus