«J’ai tout aimé ce jour-là : les sommets déjà enneigés de Belledonne, le col amidonné de l’arbitre et la prestance qu’il lui confère, le sommet des perches qui danse sous l’effet du foehn, le regard noir des piliers avant l’entrée en mêlée, la ligne oblique des trois-quarts prêts à l’attaque, la trajectoire impeccable de leurs passes vissées, les vieux derrière moi qui s’égosillent, la détermination des avants qui partent en percussion le poing serré, la frustration... >Voir plus