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3,92

sur 2562 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une petite déception sur ce roman je dois bien l'avouer.. J'avais laisser depuis un très long temps Martin et Julian à leurs histoires en partant vers d'autres aventures et je me suis dit qu'il était temps de les retrouver enfin! C'est donc avec un enthousiasme non dissimulé que je me lançais dans cette lecture et, après quelques pages, mon plaisir s'est étiolé petit à petit...
On se retrouve donc dans un premier temps en Norvège, à suivre l'étrange et froide Kirsten Nigaard qui est chargée de prendre l'enquête sur un meurtre d'une jeune femme dans une église qui l'a mène à une plate-forme pétrolière où une belle surprise l'attend. On enchaine avec Martin, accompagné de son fidèle adjoint Espérandieu, qui est conduit pour une enquête sur les lieux plus qu'inquiétants d'un repris de justice qui va les conduire dans une course poursuite qui se terminera plus que mal pour eux...
On mélange le tout et nous voilà projeter sur les traces du retour du Suisse le plus maléfique du Monde!
Je suis déçue car je trouve cette histoire trop cousue de fils blancs et les 2 principaux protagonistes en petite forme. Les personnages secondaires apportent un peu de relief à l'histoire mais pas assez et même le rebondissement de fin d'histoire n'est pas, selon moi en tout cas, surprenant mais plutôt attendu clairement.
Bref, une déception notable mais qui ne m'empêchera d'aller voir les suivants au cas où...
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La suite des aventures de Martin Servaz.
Une enquête en Norvège fait ressurgir un vieil ennemi du de Martin : Julian Hirtmann est accusé du meurtre d'une femme. Dans sa cabine dans une plateforme en mer du Nord, une série de photos, dont celle d'un enfant avec "Gustav" écrit au dos.
En charge de l'enquête, Kirsten Nigaard se joint à Servaz pour retrouver Hirtmann et trouver quel est le lien avec cet enfant.
De vieux souvenirs refont surface, de nouvelles interrogations arrivent : pourquoi Julian sort il se sa cachette ? Qu'a-t-il fait de Marianne ?

Dans l'ensemble, c'est plutôt bien mené, bien écrit mais... Presque prévisible et un peu tiré par les cheveux. L'enquête piétine longtemps avant d'avancer d'un coup, toujours le même jeu de noir et blanc sur chacun des personnages : ils ne sont pas ce qu'ils semblent être et, au lieu de créer un effet "vrai", ces doubles personnalités ont au contraire un air presque théâtral, surjoué et c'est un peu dommage.
J'étais contente de retrouver le groupe d'enquête de Toulouse, de voyager en Norvège et en Europe mais ce tome ci est un peu moins bon que les autres, moins froid. Il n'est pas mauvais pour autant, je m'attendais juste à autre chose.
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Comme souvent Minier a l'art de faire trainer le suspense de ses romans. Celui –ci n'échappe pas à cette règle. Pour ma part, je l'ai trouvé un peu touffu, l'intrigue au du mal à se frayer un chemin entre toutes les descriptions et situations diverses de ses héros. On passe d'un à l'autre, d'une chambre d'hôtel à des paysages enneigés, de la Norvège à la France puis la Suisse. Très difficile de suivre le fil conducteur qui nous mènera à la conclusion.
J'ai lu beaucoup de Minier mais après celui-ci, je crois que je vais faire une pause.
J'avais déjà eu ce ressenti dans « le cercle »
L'impression désagréable que l'auteur noircit des pages pour noyer une intrigue et une fin qui sont loin d'être ce que l'on attend d'un thriller de 600 pages.
Cela n'engage que moi.
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Difficile de mettre une note , tout en étant objectif.
Si vous êtes un fidèle lecteur de Bernard minier et que vous connaissez son serial killer fétiche , alors vous ne serez pas gêné .
Mais si par contre, comme moi ce n'est que votre deuxième livre de l'auteur, alors vous savez que vous passez à coté de beaucoup de subtilité, sans toute fois être complètement largué .
La lecture reste cependant très agréable .
Enfin c'est décidé , j'arrête de regarder les quatrième de couverture .
Car soit, c'est exagérément prometteur, soit c'est révélateur d'une partie de l'histoire .
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Je ne peux pas dire que je me suis ennuyée, mais je ne peux pas dire non plus que cela m'a passionnée. Au vu des critiques et de la quatrième de couverture, je m'attendais à autre chose. Une sorte de chasse à l'homme entre la Norvège et la France, un stress qui monte au fur et mesure de ma lecture.
Les premiers chapitres, la découverte du crime et la recherche de l'auteur ; ça, ça va. Après on retrouve Servaz qui se fait tirer dessus et qui passe des mois dans le coma. Nous aussi, on passe trop de temps dans cet état léthargique. Ça n'apporte pas grand chose mais surtout cela casse le rythme. Et c'est comme cela tout le long. Chaque fois que l'action est lancée, elle est stoppée net par les problèmes familiaux et personnels de Servaz, par des piqûres de rappel des précédents romans.
Du coup on se retrouve, non pas à une chasse à l'homme, mais plutôt dans une sorte de chasse au trésor, un jeu de piste qui, on le devine tout de suite, se terminera pas un face à face entre Servaz et Hirtmann.
Par contre, ce que l'on ne devine absolument pas, c'est le troisième protagoniste. Là, chapeau bas Monsieur Minier. Si tout le livre avait été sur ce style, il nous aurait happé dès la première page pour ne nous lâcher qu'à la dernière.
A découvrir pour les adeptes...
Lien : http://jelisquoi.blogspot.fr..
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en prenant ce livre en mains , je me suis dit qu'il faudrait un certain temps pour venir à bout de ces six et quelques cents pages . Eh bien non, on replonge dans l'univers du précédent roman de B Minier "glacé" avec les mêmes intervenants : Martin Servaz du côté de la police avec ses précieux adjoints inchangés et du côté criminel chassé Julien Hirtmann le psychopathe.
le début de l'intrigue sur une plateforme pétrolière en Norvège sert de lien climatique avec les Pyrénées chères à l'auteur et l'ensemble crée une dynamique qui fait que l'on tourne rapidement les pages pour en savoir plus .Au final on se dit que cette signature vaut bien d'autres découvertes à effectuer
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On retrouve dans « Nuit » le commandant Martin Servaz dont la première « entrée en scène » remonte à glacé ». Comme Sherlock Holmes s'oppose au Professeur Moriarty, l'incarnation absolue du mal, Servaz affronte , de manière directe ou indirecte, Julian Hirtman, procureur psychopathe.
Si les romans de Bernard Minier se lisent plutôt bien (j'en ai lu un certain nombre mettant en scène ces deux personnages) , NUIT m'a vraiment déçu. Après un début qui laisse espérer une certaine originalité, le roman se perd dans des incohérences grossières et des banalités en nous ramenant pour la nème fois dans les montagnes pyrénéennes sous la neige et le mauvais temps déjà vues et revues chez Minier.
On n'est pas loin du roman de gare, ce qui est assez décevant pour un auteur qui sait être original (cf. glacé, le Cercle, une Putain d'histoire…).
J'ai lu , un peu plus tôt dans l'année « La Vallée » qui met en scène les mêmes personnages et qui arrive chronologiquement après « Nuit », et « Soeurs » (que je n'ai pas lu) et qui m'a laissé le souvenir d'un polar plus abouti.
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J'ai une copine qui m'avait fait une pub d'enfer de glacé. Je n'avais pas eu le temps de lire ce roman de B. Minier donc elle m'a dit de me rabattre sur la série TV. Ce que j'ai fait et...je n'ai pas du tout adhéré. le coup du cheval dépecé et suspendu, le tueur en série incarcéré en QHS, le commandant de police ayant des problèmes, la jeune psy' qui se balade à l'aise blaise la nuit en asile psychiatrique etc...Non merci ! en plus il faudrait juste rappeler à B.Minier que les QHS en France n'existent plus et que les tueurs en série sont certes terrifiants mais attention à l'exagération ! Il faut étudier le phénomène des tueurs en série notamment en France avec un peu plus de sérieux. Finalement j'ai convaincu ma copine que la série l'Inspecteur Barnaby tenait 1000 fois plus la route. Là ça nous parle: le frère qui couche avec la soeur et dégomme une partie de la famille pour l'héritage, la voisine qui complote avec le voisin pour évincer le mari sur l'acquisition d'une terre, l'homme d'église aussi pieu et pur que Satan etc...un vrai concentré d'immoralité, de rivalités pousse au crime dans la campagne anglaise. Et en plus si tu la regardes en VO, un vrai cours d'anglais mode BBC.
Alors quand des collègues m'ont offert Nuit comme cadeau de départ vers d'autres cieux (il n'y avait pas que cela) bah...j'ai été polie jusqu'au bout. Je les ai sincèrement remerciés et j'ai lu Nuit l'été arrivant.
Et ce la n'a pas loupé ! je n'ai pas aimé car je n'ai pas cru, je ne suis entrée dans l'histoire qu'on me racontait. Et en plus, j'ai pas mal rigolé tellement je trouvais l'histoire frôlant le grotesque et l'incohérence. Mais j'ai tenu à finir le roman.
B.Minier veut trop en faire si bien qu'il se perd dans de l'improbable à haute dose qui finit par faire rire. Ce n'est pas parce que on nous rabâche à longueur de temps que les Scandinaves sont les nouveaux maîtres du polar qu'il faut absolument s'en inspirer et surtout ne s'inspirer que d'elles et eux. Quel dommage ! Si on prend un A.Indridasson, dont je suis fan mais dont je reconnais bien volontiers l'inégalité entre les romans, les personnages, il nous donne à lire des chroniques sur l'Islande ancrées dans le réel. B.Minier c'est trop, beaucoup trop. Si bien que ses personnages sont antipathiques à souhait, sa trame narrative décevante, ses histoires alambiquées au possible.
Nuit n'y échappe pas. Et en plus on a droit à l'inspectrice norvégienne ! Au moins, Agatha Christie avait fait dans l'originalité avec un détective belge.
Néanmoins, je mets 2.5 étoiles car il y a une qualité que l'on peut donner à B.Minier : je reste convaincue que si on entre dans l'histoire, on s'attache aux personnages et on adhère à son atmosphère, son univers le livre se lit très, très bien !
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Une histoire qui commence en mer d'Irlande sur une plate-forme pétrolière, où en pleine tempête une inspectrice norvégienne Kirsten Nigaard est déposé par hélicoptère, car, un homme manque à l'appel. Dans la cabine du disparu, Kirsten découvre une série de photos parmi lesquelles apparaît celle de Martin Servaz, commandant de police, et, personnage récurent de l'auteur, et on découvre sans surprise que le fil qui le relie à cette affaire est le tueur insaisissable Julian Hirtmann.
Comme toujours dans les romans de Bernard Minier, on est quelque peu perdu au début du récit, car, il est difficile d'établir un lien entre les protagonistes de l'affaire, et au fil du roman, la galerie de personnages s'étoffe et l'histoire se complique à souhait.
Ce thriller est haletant et comme dans tous les romans de cet auteur, on à hâte de connaître la fin. Malgré tout, Bernard Minier nous offre là un scénario particulièrement invraisemblable car, ce Hirtmann, semble une fois de plus aussi redoutable qu'insaisissable. En aucun cas je ne me permettrais d'évoquer l'histoire de ce roman et encore moins d'en dévoiler la fin. Je me permets en revanche d'émettre une nouvelle fois une critique sur le style d'écriture qui comporte à mon avis beaucoup trop de descriptions longues et inutiles sur bien des sujets. L'auteur pourrait ô combien nous tenir en haleine avec moult détails en moins.
Néanmoins, j'ai lu ce thriller avec plaisir et les dernières lignes me laissent à penser que Martin Servaz reviendra pour une autre aventure palpitante. Mais s'il vous plait monsieur Minier, ne nous perdez plus dans des descriptions et des détails très ennuyeux, vos livres n'en seront que plus passionnants.

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Nuit ... noire comme les intentions de Julian Hirtmann.
Bernard Minier continue le filon 'glacé' avec le commandant toulousain Martin Servaz et son alter ego à l'âme tourmentée, le psychopathe Julian Hirtmann ...
La première partie du roman est agréable à lire entre la course poursuite de Servaz, son coma, et l'enquête de l'inspectrice norvégienne Kirsten Nigaard sur la plate-forme pétrolière.
Celle-ci découvre que le meurtrier d'une technicienne de la plate forme n'est autre que le psychopathe suisse ... et qu'il avait dans ses affaires la photo d'un garçonnet, Gustav et faisait référence à Servaz.
Le binôme franco norvégien entreprend alors de retrouver la trace de ce petit garçon ...
Et là, ca se gâte ... oh miracle, Gustave est gardé à proximité de Toulouse, le duo retrouve évidemment sa trace, tout ça pour découvrir que ce serait le fils de Marianne, l'ex grand amour de Martin ... et qu'il est malade.
Gustave est gardé par un couple adepte de soirées fines, ce qui permet de "faire" une centaine de pages qui ne servent à rien, avec quelques péripéties quand même pour ne pas (trop) s'ennuyer.
La fin devient plus palpitante heureusement ... et Julian est encore là, ouffff, ce qui laisse présager une suite prochaine ... aieeee
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