C'est un tome avec une ambiance très différente très rapidement, il passe très vite et il nous atteint en plein coeur. Nous sommes arrivés à deux tomes de la fin de cette histoire insolite d'un policier qui a épousé une lycéenne, ainsi que de tous les gens qui gravitent autour.
Kako fait du bénévolat dans un foyer pour enfants, elle se donne à fond, elle est très investie. A elle également de voir si elle peut gérer cela en même temps que ses cours et la préparation
de son avenir. Mais cela nous permet de réfléchir sur les situations compliquées qu'il peut y avoir, sur ce qu'elle peut faire et leur apporter, et sur la notion de sauver quelqu'un qui est
bien plus complexe que d'apporter une certaine aide. Elle aura entre autre une conversation intéressante avec un éducateur au physique insolite.
Heisuke Okami a bien avancé sur son chemin, ça fait plaisir à voir. Kako et Kôta et d'autres encore peuvent être fier de lui.
Mais ce tome au-delà des réflexions sur les enfants prend un tour inattendu, cinglant et difficile qui nous permet de revenir sur le passé de Kôta et de voir également comment les implications sont encore présentes aujourd'hui, le souvenir, combien tout peut vriller en un instant.
Autour de cela, il y aura également l'innocence et la naïveté de Koko et une réflexion sur le pardon. Des affaires qui sont souvent bien plus complexes qu'on peut le croire au premier abord.
Il y aura même un peu de tension entre Kako et Kôta, un autre souci quand quelqu'un nous fait souffrir de manière impardonnable, est de réussir à éviter que la victime elle-même ne se transforme pas en monstre.
Le tome passe ben trop vite, vivement la suite, le lecteur a envie d'en savoir plus !
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Ce quatrième tome s'est révélé moins divertissant que je le présageais. Certes, c'était plaisant de voir l'évolution d'Okami depuis le début du manga. Son apprentissage du métier de policier lui fait du bien, il apprend des choses et il se sent enfin en phase avec la voie qu'il a choisi. Toutefois, dans ce tome, apparaît un nouveau personnage : celui de l'éducateur. Un homme qui a un passé avec Kota. Toute l'intrigue qui tournait autour de son personnage n'était pas pertinente à mes yeux. Les réactions de Kako, l'héroine, me semblaient incompréhensibles et ont détérioré mon appréciation du personnage. Pour ces raisons, la lecture de ce quatorzième tome n'était pas un plaisir. Malgré ses bonnes qualités, on sent que Love under arrest tire en longueur, encore et encore, au point de perdre ses lecteurs et ses lectrices. Les péripéties racontées ne sont pas toujours intéressantes voire pertinentes, et les personnages manquent de saveur. Toutes les bonnes choses ont une fin et il est temps que ça s'arrête.
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Ce tome est bien plus sombre que tout le reste de la série et dévoile une partie de la personnalité du héros que l'on ne connaissait pas. Cela renouvelle un peu l'intrigue en montrant une héroïne qui s'affirme également dans sa relation de couple.
Malgré tout je ne prends plus autant plaisir qu'avant à lire cette série. Je lirai les prochains pour connaître la fin mais je n'en attends plus grand chose.
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Un titre intéressant et original, qui a connu son petit succès au Japon, passé un peu sous les radars en France, mais qui mérite à notre sens toute l’attention du lectorat français.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Ne compare pas l'incomparable !