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3,73

sur 275 notes
Nous sommes en Belgique, dans la région de Liège pour être un peu plus précise. Lionella et Kevin sont deux ados qui sont amis depuis longtemps.


Kevin vit avec sa mère et son frère dans un quartier populaire. Il est fasciné par les bâtiments industriels laissés à l'abandon dans lesquels il se plaît à déambuler tandis que Lionella est fille de musiciens. Elle s'entraîne au violoncelle pour le concours Arpège. Elle doit trouver un morceau original pour se faire remarquer. Lionella est une virtuose du violoncelle alors qu'elle cherche désespérément quel morceau présenter à un prestigieux concours de musique, son ami Kevin a déniché dans un marché aux puces une mystérieuse caissette contenant une partition et un journal...


Dans ce roman, l'auteur jongle dans le temps, entre le présent et le passé, dans le Venise du XVIIIème siècle, au temps de Vivaldi.


Autant j'ai apprécié les passages se déroulant dans le passé autant j'ai été déçue du récit se déroulant dans le présent. La relation entre les deux personnages principaux ne sont pas assez aboutis à mon sens, et on tombe vite dans le cliché malheureusement.


"La sonate oubliée" est un roman qui donne envie d'écouter du violoncelle et du Vivaldi...
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J'ai eu un coup de coeur pour ce livre si bien écrit de façon poétique. L'auteur m'a fait voyager 300 ans auparavant, m'a fait découvrir la vie à l'Ospedale della Pietà des orphelines et ainsi celle de Vivaldi, tout en mêlant somptueusement le réel et le fictif.
J'ai aussi aimé cette jolie histoire de Lionella et Ada toutes deux passionnées de violoncelle qui sont liées par ce journal intime et cette mystérieuse partition.

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Roman dévorée en a peine deux jours, La Sonate oubliée aura marque mon esprit.
On est très vite pris dedans et impossible de se détacher de cette histoire poignante et touchante à tous les points de vue.

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Un roman tout en douceur, croisant le destin de deux jeunes femmes éprises de la musique et de leur instrument : le violoncelle. Au travers de l'interprétation d'une sonate oubliée, Lionella va découvrir la vie d'une femme du XVIIIe qui côtoyait le grand Vivaldi. Malheureusement, l'héroïne est agaçante et ne nous permet pas de la suivre avec entrain. L'histoire reste belle et constitue un hommage exceptionnel à la musique et aux jeunes orphelines musiciennes oubliées.

Chronique plus détaillée sur mon blog
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C'est en Belgique que nous partons faire la connaissance de Lionella, jeune fille passionnée de violoncelle qui se présente à un grand concours.
Cherchant à tout prix à se démarquer dans son interprétation, elle choisit de jouer une partition inconnue trouvée dans un vide-grenier par son ami Kevin, qui lui semble être une oeuvre de Vivaldi.

Lionella est une jeune fille très sure d'elle qui m'a très vite beaucoup agacée. En fait, elle est infecte. Elle montre très peu d'attachements et se sert de Kevin comme d'un subalterne.
Lionelle a beau indiquer à de nombreuses reprises qu'elle est son amie, il donne surtout l'impression de n'avoir personne d'autre à qui s'accrocher et qu'il ferait à peu près n'importe quoi pour garder son affection.

Le récit alterne entre ce présent et un passé dans lequel évolue Ava, une autre jeune fille élevée à l'Ospedale della Pietà de Venise et qui devient une grande violoncelliste en apprenant au contact de Vivaldi.

Ada est une étrange fille, que j'ai trouvé assez curieuse dans sa manière d'écrire son journal, mais finalement assez attachante dans sa simplicité.
J'ai finalement beaucoup aimé tous ses passages parce que j'ai appris beaucoup de choses sur Venise, sur le fonctionnement des orphelinats de cette ville et sur Vivaldi.

Le travail effectué par l'auteur sur ces sujets m'a permis d'apprécier pleinement ce livre et je suis contente d'avoir pu mieux découvrir ce monde de la musique classique.
Malgré des personnages qui ne m'ont pas forcément séduite, j'ai beaucoup aimé le voyage qu'ils m'ont permis de faire.
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Lionnella, 17 ans, vit à Seraing en Belgique. Passionnée par le violoncelle, elle se prépare pour un concours international, mais n'arrive pas à trouver un morceau qui lui convienne. Elle les trouve tous rebattus, entendus mille fois. C'est alors que son meilleur ami lui trouve au fin fond d'une brocante, une vieille boîte métallique avec une sonate pour violoncelle. Accompagnée d'un cahier écrit il y a plusieurs siècles, la partition semble être une sonate inédite de Vivaldi !

Lionnella décide alors de lire le cahier qui s'avère être celui d'Ada, vénitienne du XVIIIème siècle. Elle découvre alors la vie de cette orpheline élevée à l'Ospedale della Pièta, violoncelliste elle aussi, musicienne de Vivaldi, surnommé le prêtre « roux ».

Ce roman assez court est plutôt agréable à lire. On découvre l'univers de la musique du XVIIIème siècle et j'ai ainsi appris l'existence de l'Ospedale della Pièta. L'alternance des deux époques est bien faite, même si j'ai préféré la partie qui se déroule à Venise. le personnage du meilleur ami est à mon avis un peu sous-exploitée et l'intrigue qui se déroule à l'époque actuelle un peu plus facile et expédiée que l'autre partie.

Néanmoins on passe un bon moment, ce n'est pas tous les jours qu'on peut lire un roman dans l'univers de la musique et c'est agréable !
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Gentillet...
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Un premier roman sympathique, comme on dit. Prix des lecteurs Club - je ne sais pas ce que c'est - mais tellement naïvement écrit, souvent, que cela en devient souvent irritant. A 17 ans, Lionella, une jeune violoncelliste fille d'immigrés italiens, rêve de passer un grand concours en jouant une partition originale. Elle vit à Seraing, ville sinistrée de la Belgique sidérurgique, et n'a qu'un seul ami : Kevin, un très gentil gars mais qui ne connaît rien à la musique et vient d'un milieu plus populaire. Voilà-t-y pas que Kevin dans une brocante trouve un étrange coffret dans lequel se trouve une partition manuscrite et un journal écrit par Ada, une pensionnaire de l'Ospedale della Pietà, qui jouait pour Vivaldi ? Lionella joue cette partition, gagne évidemment un prix et va débuter ainsi sa carrière. Les chapitres se passant aujourd'hui alternent avec ceux extraits du journal d'Ada. Celle-ci découvre l'amour malgré la réclusion imposée aux pensionnaires, mais est abandonnée par un beau comte belge, et pense alors au suicide (un moyen de sortir de réclusion est d'épouser le vieux luthier Gofriller, mais il est laid et elle n'aura plus le droit de jouer, p.185).
L'histoire est complètement invraisemblable, non pas tant par l'histoire du coffret (j'aime bien ce genre d'intrigue) que parce que Lionella met tout le livre ou presque à finir le journal d'Ada – qui pourtant ne doit faire que dans les 80 pages – et c'est seulement p.188 qu'on lit qu'Ada a signé la sonate de trois notes faites de son nom A-D-A. Et puis l'auteure n'a pas eu le courage (ou l'idée) de renforcer le parallèle entre les deux époques : le comte a abandonné Ada car ils venaient de milieux trop différents, explique Vivaldi lui-même (p.184). En correspondance, il aurait été logique que Lionella s'éloigne de Kevin. Surtout, le style est très appliqué, voire caricatural. « … La dernière acqua alta a laissé sa carte de visite » sur les murs, écrit Ada dans un style typique 18ème siècle ! (135). Et le petit musée Vivaldi ne doit pas « craindre les voleurs » (213), alors qu'il contient deux violoncelles Gofriller !
Il reste des descriptions intéressantes, des masques vénitiens (au long bec utilisés par les médecins pendant la peste, p.96), du smerdariol qui propose aux dames un seau pour faire pipi derrière une cape, 142, et surtout de la musique au pensionnat. Et la lecture du registre des pensionnaires au musée par Lionella, avouons-le, est une réussite (217) car il faut tourner des pages de tableaux pour savoir si Ada s'était suicidée ou non…
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